Archive of Our Own ^beta

Chapter Text

Il avait peur.

C’était un sentiment qui ne lui était en vérité pas vraiment familier, d’ordinaire, c’était plutôt lui, Ramsay Bolton, le bâtard, le monstre, le tueur, qui inspirait un sentiment de peur panique à la plupart des gens.

Il en jouait souvent d’ailleurs, il aimait lire la peur dans les yeux de ses ennemis, de ses victimes, mais aujourd’hui…

Aujourd’hui, alors que les rôles étaient inversés, il avait bien du mal à rester stoïque.

Attaché à une chaise, pieds et poings liés, incapable de s’enfuir, il regarda ses deux interlocuteurs.

Il n’avait rien vu venir honnêtement, à vrai dire, ce Kaz Brekker avec sa cane, et cette Inej Ghafa, tous deux sortis de nulle part, ne lui semblaient être rien de plus que des gens venus d’ailleurs qui avaient décidé de venir à Westeros pour faire il ne savait quoi, et il ne s’en était pas soucié.

Il aurait dû.

« Ramsay Bolton, commença alors le bâtard du Barrel (ironique tout de même, lui, un bâtard, avait été fait prisonnier par un autre bâtard), Sansa Stark nous a engagés Inej et moi pour vous exécuter.

Il aurait dû s’en douter, qui d’autre que la louve aurait bien pu envoyer des assassins pour le tuer ?

(Oui, la majorité du Nord aussi, c’est vrai, mais il n’était pas étonné que ce soit elle qui avait fini par y parvenir, elle avait bien réussi à lui échapper après tout.)

- Vous allez mourir, ajouta la Suli, et c’est moi qui vais vous tuer. »

Si le regard de Kaz Brekker était rempli de mépris et de dégoût, il y avait en plus de cela, dans les yeux du Spectre, une lueur de haine et de rage pure, et si le fils de Roose Bolton avait su ce qu’elle avait enduré à la Ménagerie, il aurait compris pourquoi.

Il n’eut pas vraiment le temps d’y réfléchir plus longtemps, que la dague d’Inej lui tranchait la gorge.

Et tout devint noir.

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« Oh par pitié, se lamenta le Ténébreux, dites-moi que c’est une blague ! »

L’immortel avait vécu et vu beaucoup de choses dans sa vie, mais ça, ça…

Ça, c’était une première !

Sérieusement, c’était la Saint-Valentin aujourd’hui, il était censé passer du temps en amoureux avec Belle, se réjouir du fait que Storybrooke était calme ces derniers temps, et essayer d’oublier que son fils sortait avec son pire ennemi.

Pas voir un pangolin d’âme-sœur surgir devant ses yeux pour clamer ensuite que le dit pire ennemi en question était son âme-sœur bordel de merde !

Alors oui.

Ça devait forcément être une blague, une blague de mauvais goût qui plus est, ou une erreur oui, le pangolin s’était trompé, et en réalité, il était là pour lui dire que Belle était son âme-sœur !

Alors certes, cela voudrait dire que le pangolin était en retard, mais au moins ça avait déjà plus de logique.

Le pangolin secoua la tête, laissant Rumplestiltskin s’enfoncer encore plus dans le désespoir.

« Non, je regrette mais ce n’est pas une blague. Rumplestiltskin, vous et Killian Jones êtes bels et bien des âmes-sœurs.

Ils n’étaient pas le premier avril pourtant, alors pourquoi, pourquoi était-il obligé de subir une chose pareille ?

Le sorcier fixa le pangolin pendant quelques secondes, hébété, et si les pangolins d’âme-sœurs n’avaient pas été des créatures à qui il ne fallait faire aucun mal, il l’aurait étranglé sur le champ.

- Que… Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?

Il se tourna vers le pirate, s’attendant à voir la même incompréhension et la même horreur sur son visage, et pourtant il semblait ne pas être surpris, et même… extatique ?

Quoi ?

Quoi quoi quoi ?

QUOI ?

D’où est-ce qu’il…

Pourquoi est-ce qu’il souriait comme ça ce con ?

D’eux deux, celui qui avait le plus haï l’autre, ça avait toujours été le pirate, c’était lui qui avait passé deux cents à essayer de le tuer, et même si ils avaient arrêté de s’entre-tuer, ça n’apaisait pas totalement la rancœur qu’il y avait entre eux, alors…

Alors ça n’avait aucun sens qu’il s’en réjouisse !

Il aurait compris si Zelena avait réagi ainsi pour se foutre de sa gueule, ou Regina, ou même un des héros, mais pas lui !

- Âmes-sœurs… Quand vous dites ça, vous voulez dire âmes-sœurs de haine, hein, c’est bien ça ? Tenta alors Rumple, dans un dernier élan de désespoir.

- Non, lui rétorqua alors la bestiole, âmes-sœurs romantiques.

L’antiquaire poussa un hurlement de pur désespoir.

Ce ne fut définitivement pas aidé par l’attitude du pirate, quelqu’un lui avait jeté un sort ou quoi ?

- Rumple-chou, vraiment tu me fends le cœur !

Rumplestiltskin s’étrangla et haussa un sourcil perplexe.

- Rumple-chou, sérieusement ? Même Belle ne m’appelle pas comme ça ! Heureusement d’ailleurs.

- Tu me brises le cœur ! Fit le pirate en posant une main sur le dit-cœur en question. Je suis déçu, vraiment. Je croyais que tu me haïssais. Moi je n’ai toujours voulu qu’une seule chose : que tu m’aimes. »

Okay si cet abruti continuait comme ça, la bonne résolution de ne pas le tuer allait bientôt voler en éclats.

Le pirate ne tint pas plus de trente secondes avant d’éclater de rire.

« Killian ! Râla alors Neal, suivi par Belle et les autres.

- Je suis désolé, j’ai pas pu tenir plus longtemps, explosa le pirate avant d’avoir un fou rire incontrôlable. Ah ah si tu voyais ta tête ! »

Et le Ténébreux comprit alors qu’une fois de plus, il venait de se faire troller.

« Je vous hais, marmonna-t-il. Surtout vous, fit-il en levant la tête vers le ciel.

De là-bas, l’autrice lui fit un petit coucou.

- Oui oui, moi aussi je vous adore. »

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Lady Zelena Harloi n’était pas retournée depuis des années à la cour de Port-Réal.

La rousse viva i t depuis bien longtemps avec son époux, Lord Hadès Frey, loin de la capitale, et pour la première fois depuis des mois, elle avait enfin l’occasion de revoir son fils Lancel.

Ni elle, ni Hadès ne s’attendaient à ce qu’ils allaient découvrir en le revoyant, lui qu’ils avaient envoyé auprès du roi pour qu’il devienne son écuyer, ils pensaient naïvement que tout se passerait bien.

Certes, le roi Robert n’était pas le meilleur des rois, mais sa réputation de guerrier rayonnait sur les Sept Couronnes depuis la rébellion, alors ils avaient tous les deux cru qu’il pourrait enseigner ce qu’il savait à leur fils bien aimé.

Et pourtant…

Pourtant, la chute n’en avait été que plus rude lorsqu’ils avaient réalisé que leur enfant n’était pas heureux à Port-Réal, et que c’était la faute du roi en personne , que c’était lui qui le rabaissait.

Les deux nobles avaient échangé un regard rapide en comprenait ce qu’il se passait, et ils s’étaient instantanément compris.

Ils feraient payer le roi pour ce qu’il avait fait subir à leur fils, et ils feraient en sorte que Lancel soit à nouveau heureux à Port-Réal et ne soit plus jamais traité de cette manière.

C’était une promesse.

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Il se souvenait de l’explosion.

Il se souvenait de la douleur, de son visage à moitié arraché.

Édouard se souvenait, et surtout il se souvenait d’à quel point ça faisait mal.

Il aurait voulu hurler, et il ne le pouvait plus.

Il n’avait pas le droit de hurler déjà autrefois, lorsqu’il était encore le fils de son père, Édouard Péricourt, qu’il se devait de rester digne, silencieux, de ne pas faire de vague, d’être normal, mais normal, ça, il ne l’avait jamais été.

Et désormais, il n’était plus normal du tout, d’une façon qu’il était totalement impossible de cacher, aux yeux du monde, il était…

Il était un infirme, et il aurait aimé s’en foutre, tout comme il se foutait toujours de tout et du monde, mais ça faisait tellement mal.

Il ne pouvait plus hurler, alors même que son visage, tout son être, lui faisait tellement mal qu’il se demandait parfois comment il faisait pour supporter la douleur.

Parfois, il voulait s’arracher le visage, il voulait juste…

Il voulait juste ne plus avoir mal…

Est-ce que c’était trop demander ?

Mais parfois aussi, oh parfois, il n’était pas seul, il y avait Louise, mais aussi Albert qui venait le voir, qui lui parlait, qui évoquait l’avancée de leur arnaque, qui lui racontait des blagues, essayait de le faire rire, et son cœur se réchauffait.

Parfois, vivre semblait être une bonne idée.

Parfois, Albert le serrait dans ses bras, et il avait le bref sentiment que la douleur s’atténuait, un peu.

Et parfois, dans son visage déchiré, un sourire sincère se déchirait.

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« Tu sais que mon père est un connard. »

Kaz sursauta.

Le bâtard du Barrel n’était pas vraiment le genre de personne qu’on pouvait facilement surprendre, que ce soit en paroles ou en actes, lui qui avait pour habitude de prévoir toujours tout à l’avance, y compris ce que feraient ses adversaires.

Et de même, Wylan l’avait certes surpris à quelques reprises, mais jamais de cette manière, cela, combiné au fait qu’il ne s’attendait absolument pas à entendre cela, le fit donc légitimement sursauter.

« Oui, effectivement, ce n’est pas franchement une nouveauté, ce serait comme d’être surpris du fait que le Barrel ne soit pas un endroit sûr.

Wylan sourit.

- Où est-ce que tu veux en venir exactement ?

- Mon père est une ordure, et il ne m’aime pas, ce qui est parfaitement partagé… Mais je… Jesper m’a demandé de l’épouser, et j’ai dit oui, et normalement… mon père est supposé me conduire à l’autel mais vu les circonstances…

- Oui, il va avoir du mal à le faire depuis sa cellule…

- De toute façon, admit Wylan, même dans le cas contraire, je ne voudrais pas que ce soit lui qui le fasse.

- Parce que c’est un connard oui, j’avais compris cette partie-là, lui rétorqua Dirtyhands en restant patient même si il ne voyait pas où il voulait en venir (c’était Wylan après tout, il n’allait pas s’énerver contre lui). Qu’est-ce que ça a à voir avec moi au juste ?

- Voilà… Vu que mon père est une ordure, et qu’il n’y a personne pour me conduire à l’autel (ma mère assistera au mariage mais elle n’est pas en état de le faire), je voulais te demander… Est-ce que tu pourrais le remplacer et m’emmener à l’autel à sa place ?

Kaz se figea alors.

Wylan n’aurait eu de cesse de le surprendre aujourd’hui.

- Tu me le demandes à moi ? Pas à Inej, ou à Nina ou même à Matthias ?

- Non. Parce que je les aime fort eux aussi, mais toi… Tu m’as recueilli à Ketterdam, tu m’as aidé à m’en sortir, tu m’as entraîné dans cette folle aventure, tu m’as aidé à me débarrasser de mon père, à retrouver ma mère, et même si on a le même âge, tu es presque comme une figure parentale pour moi, alors je te le demande… Est-ce que tu veux bien m’accompagner à l’autel le jour où j’épouserai Jesper ?

Kaz se mit à sourire et hocha la tête.

- C’est d’accord. »

§§§§

En voyant les sourires radieux de Wylan et Jesper alors qu’ils se disaient oui, Kaz se dit qu’il avait définitivement bien fait de recruter le roux parmi les corbeaux.

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Crowley et Rowena se regardaient en chien de faïence.

Bon, Castiel devait probablement s’estimer heureux que cette fois-ci, aucun des deux n’essaie de tuer l’autre, c’était… un progrès notable.

Mais bon, c’est vrai qu’entre les diverses trahisons des deux côtés, ça semblait peine perdue au départ, mais, si Amara avait bien pu se réconcilier avec son frère, malgré plusieurs millénaires d’enfermement, alors ça ne devait pas être si désespéré que cela pour que la sorcière et le démon se réconcilient, non ?

Et puis honnêtement, si ils travaillaient ensemble plutôt que de se tirer dans les pattes, ça les arrangerait mieux, lui et les Winchester, dans l’hypothèse où ils auraient un jour besoin d’eux, et puis Castiel ne pouvait pas nier qu’il les avait effectivement aidés contre les Ténèbres, alors bon il pouvait bien leur filer un coup de main.

Bref.

Toujours est-il que, entre deux missions à chercher Lucifer avec Crowley, Castiel faisait en sorte d’apaiser les choses entre la rousse et le roi de l’enfer, et pour la première fois depuis plusieurs semaines, il allait les laisser seuls.

Si il avait su à quoi ça allait mener, il serait peut-être resté pour voir ça (et avec du pop-corn en plus.)

§§§§

« Fergus.

Crowley ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel.

- Maman… Je pensais qu’on avait dépassé ce stade à force.

- Pardon, fit-elle, sans avoir l’air le moins du monde d’être désolée. Crowley.

- Alors, de quoi veux-tu qu’on parle aujourd’hui, rebondit-il, d’à quel point tu as été une mère horrible ? L’interrogea le démon en se servant un verre d’alcool.

Une lueur de malice apparut dans les yeux de sa mère, qu’il ne vit pas.

- En fait non, lui rétorqua-t-elle, un verre de vin en main, j’aurais une question à te poser.

- Je t’écoute, lui rétorqua-t-il avec un air blasé.

- L’ange… Depuis quand est-ce que tu sors avec lui ?

Crowley s’étouffa avec son whisky.

- Que… Qu’est-ce que… Mais enfin de quoi est-ce que tu parles ?

Rowena haussa les épaules.

- Hé bien, je ne sais pas, vous avez l’air plutôt… plutôt proches.

Son fils la regarda avec des yeux exorbités.

- Tu sais maman, ce n’est pas parce qu’on a pas envie d’arracher les yeux d’une personne et qu’on travaille avec cette personne qu’on veut forcément sortir avec. Ou coucher avec. Je savais que t’étais rouillée niveau relations sociales, mais là ça montre que c’est plus grave que ce que je pensais !

La sorcière eut un sourire amusé.

- Tu détournes la conversation Fergus.

- Maman, ne m’appelle pas…

- Très bien, très bien… Crowley. Soit. Le fait est que tu aimes bien cet ange, tu ne vas tout de même pas le nier ?

- Oui peut-être mais… Et alors ? Qu’est-ce que ça peut te foutre de ce que je fais de mes relations sociales ?

- Rien, je suis curieuse ? Alors, Castiel, il te plaît hein ?

- Mais… Y a un petit détail que tu as oublié… C’est un ange, et je suis un démon.

- Et alors ?

- Et alors ? Et alors ? On est ennemis ?

- Vous travaillez ensemble ?

- Oui enfin c’est juste une alliance temporaire, le temps qu’on retrouve et qu’on arrête Lucifer. Les alliances entre anges et démons, ça a jamais vraiment été conçu pour marcher tu sais.

- Ça marche dans Good Omens.

- Toi t’as lu Good Omens ?

- Oui bien sûr, le démon s’appelle comme toi d’ailleurs. Et y a un ange, et ils sont tous les deux très shippables c’est un signe non ?

- De quoi ? Mais depuis quand tu sais ce que c’est un ship ? Et depuis quand tu nous ship ? Et est-ce que j’ai vraiment envie que ma mère me ship avec quelqu’un ? Pas vraiment non à vrai dire.

- La dynamique ennemies to lovers est ma dynamique préférée, lui confia la sorcière en finissant son verre de vin.

- Je suis pas sûr que je voulais vraiment connaître cette information…

- Je suis ta mère, c’est mon devoir de m’intéresser à ta vie.

- Dis plutôt que tu veux faire ça pour me faire chier.

- C’est un bonus non négligeable, je le reconnais. »

Il allait tuer sa mère.

Ou plutôt non, sinon ça allait ruiner les efforts de Castiel et il allait être triste, et il détestait quand l’ange…

Et merde.

Peut-être que sa mère avait raison finalement.

Il détestait quand sa mère avait raison.

« Je te déteste, marmonna-t-il.

- Je sais, moi aussi. Tu reconnais donc que j’ai raison.

- J’ai jamais dit ça ! »

Ce fut à ce moment-là que choisit Castiel pour ressurgir.

« Bien je vais y aller, en profita le roi de l’enfer, Lucifer ne va pas s’attraper tout seul.

- Crowley, lui dit finalement sa mère, je pensais ce que j’ai dit, et dans ses yeux, il y avait un peu moins de malice qu’avant.

- Ouais ouais, bien sûr, marmonna son fils.

- De quoi est-ce qu’elle parle ? Finit par lui demander Castiel quelques secondes plus tard, avec ce même air d’incompréhension adorable…

Re-merde.

- De rien, de rien, mentit-il. »

Sa mère n’avait pas tort pour cette fois, mais bon il réglerait ça plus tard.

Une fois qu’ils auraient mis la main sur Lucifer tiens.

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« C’est quoi un pique nique ? »

Adora sursauta, ne s’attendant pas vraiment à entendre cette question, surtout qu’elle n’était pas sure de savoir pourquoi sa petite-amie lui posait une telle question.

« Pourquoi ? Demanda-t-elle, curieuse.

Catra haussa les épaules.

- J’ai entendu le mot passer dans une conversation entre Scintilla et Flèche d’or, ils prévoient d’en organiser un d’ailleurs, et enfin je me demandais, comme on a jamais eu ça à la Horde…

Oh.

Oui, parfois il était facile d’oublier que, contrairement à elle, Catra ne se trouvait à Brightmoon avec elle que depuis quelques mois et qu’il y avait certaines choses qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion ou le temps de découvrir.

Comme ce qu’était un pique nique.

- Un pique nique c’est un repas que l’on prend en plein air et par terre.

- On mange… par terre ? Fit Catra en haussant un sourcil sceptique.

- Pas à même le sol, rectifia Adora en pouffant, on met une nappe et on s’assoie dessus pour y manger. On apporte ce qu’on a préparé à l’avance et on mange entre amis, parfois on en profite pour y passer la journée et ne rien faire. C’est souvent une occasion de passer un bon moment.

Catra lui sourit.

- Merci Adora. »

La blonde lui sourit et ne vit pas la lueur calculatrice apparaître dans les yeux de l’ancienne Hordienne.

§§§§

Quelques semaines plus tard.

« Est-ce que je vais avoir le droit d’ouvrir les yeux à un moment donné ?

- Sois donc un peu patiente pour une fois ! Lui rétorqua Catra, on est presque arrivées. »

Adora se tut, ayant du mal à contenir son impatience.

« Voilà c’est bon !

En ouvrant les yeux et en voyant ce que Catra avait préparé, elle écarquilla les yeux de surprise.

- Tu nous as préparé un pique nique ?

- Flèche d’or, Scintilla et Fougor m’ont aidée, reconnut-elle, je cherchais à te faire un cadeau d’anniversaire, et apparemment, un pique nique en amoureuses est une bonne idée de cadeau à faire, alors je me suis dit… Bon anniversaire !

- Merci Catra, fit Adora avant de l’embrasser. Je t’aime, c’est un très beau cadeau que tu me fais.

- De rien Adora. Je t’aime aussi. »

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Elle était vivante.

Parmi toutes les choses qui étaient arrivées depuis que la malédiction de Crystal Cove avait été brisée, le retour de Marcie était probablement l’une de celles qui l’avait la plus ravie.

Marcie était morte, dans l’autre monde, tuée par le professeur Périclès, elle se souvenait l’avoir perdue, elle se souvenait de son cœur meurtri qui s’était brisé en mille morceaux, elle se souvenait avoir eu conscience que jamais il ne se réparerait, et s’être dit qu’elle y penserait plus tard, parce qu’il y avait plus urgent à faire.

Et maintenant…

Maintenant elle n’avait même pas à y penser, parce que la jeune fille était vivante à nouveau, et elle avait beau y penser et y repenser, elle n’arrivait toujours pas à en croire ses yeux.

Parfois, elle regardait Marcie comme si c’était la première fois qu’elle la voyait, comme si elle avait peur qu’elle disparaisse, et c’était le cas d’ailleurs, bien sûr qu’elle avait peur, c’était même pire que ça, elle était terrifiée.

Terrifiée à la simple idée que tout cela ne soit en réalité qu’un beau rêve, que tout redevienne comme avant que la malédiction ne soit brisée, et que sa petite-amie ne lui soit arrachée une nouvelle fois.

Et la boule d’angoisse qui l’envahissait à chaque fois qu’elle y pensait ne voulait pas partir, parce qu’il y avait toujours, là, dans le creux de son esprit, tout au fond, cette crainte qu’elle ne soit pas réelle.

Pourtant, elle l’était, oui, elle l’était, cela, Véra le savait à force, elle était bel et bien réelle, elle était vivante, et elle ne partirait pas, et si pour s’en assurer elle devait la prendre dans ses bras, lui tenir la main ou l’embrasser, hé bien, ce n’était pas un problème.

Marcie était vivante, à nouveau, et Véra allait tout faire pour qu’elle le reste.

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Cersei attendait.

Il faisait froid d’ailleurs, mais elle n’en avait absolument rien à faire, parce que c’était pour la bonne cause.

La jeune femme attendait qu’un train arrive, et pas n’importe lequel, celui dans lequel se trouvait sa petite-amie, Catelyn Tully.

Cela faisait des semaines que la blonde ne l’avait pas revue, la rousse étant partie à Vivesaigues et dans le Val pour rendre visite à son père, à son frère et à sa sœur pour les fêtes de fin d’année, et l’étudiante revenait finalement à l’université de Port-Réal, peu de temps avant la rentrée.

Et bientôt, elle allait revenir dans leur appartement, et la lionne pourrait enfin la serrer dans ses bras.

D’ailleurs, en voyant une chevelure rousse se détacher de la foule, son regard pétilla de joie, et elle se fraya un chemin jusqu’à elle, la prenant dans ses bras dès qu’elle en eut l’occasion.

« Tu m’as manqué Catelyn, murmura-t-elle à son oreille.

Elle sentit la truite sourire contre elle.

- Toi aussi tu m’as manqué Cersei. »

Puis elle l’embrassa.

Elle était revenue à la maison.

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Loras n’aurait jamais cru dire cela quelques années plus tôt, mais il était heureux.

Oh certes, lui et Renly ne pouvaient pas encore vivre ensemble au grand jour, même si le royaume était de toute évidence au courant depuis bien longtemps de leur relation, mais tout de même.

Maintenant que Robert était mort et que Renly était devenu le roi, beaucoup de choses avaient changé, et l’une d’entre elles était le fait que c’était lui qui décidait comment vivre sa vie désormais, et si son frère aîné avait eu d’innombrables maîtresses, lui, n’avait qu’un amant à qui il était fidèle.

Et Loras était profondément heureux d’être cette personne, d’être celui que Renly aimait vraiment, et si le cerf était toujours marié à Margaery, cela n’avait pas d’importance.

Parce que la rose savait qu’il était le seul à réellement compter dans son cœur.

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Il avait la plus belle voix du monde.

Même en étant à moitié inconscient, le prince Jaime Lannister en était viscéralement persuadé.

Il se souvenait du bateau, de la fête, celle organisée pour son anniversaire, puis il y avait eu la tempête, et…

Et il avait failli se noyer.

Il se souvenait être tombé à l’eau, et quelqu’un l’avait l’avait repêché.

Mais qui ?

Il ouvrit les yeux, toujours bercé par le chant mélodieux qui résonnait à ses oreilles.

Il était vivant, et il n’avait pas la moindre idée de qui lui avait sauvé la vie, et alors qu’il reprenait connaissance, il réalisa qu’il était seul et que la seule chose dont il se souvenait, c’était de cette voix magnifique et d’une chevelure noire comme les ailes d’un corbeau.

Il fallait absolument qu’il le retrouve, à tout prix.

§§§§

Son oncle allait le tuer.

Il n’était pas censé venir à la surface, pas après ce qui était arrivé à sa mère Lyanna, mais il n’avait tout simplement pas pu résister.

Et lorsqu’il avait vu ce prince à la chevelure dorée tomber dans la mer, il avait plongé pour le repêcher, et, lorsqu’il avait cru qu’il était mort, il n’avait pas pu s’empêcher de chanter pour le réveiller.

Pour certains peuples, chanter est leur dernier refuge.

Pour Jon, chanter était une chose qu’il adorait faire, et aujourd’hui, il chantait pour cet inconnu dont il ne connaissait même pas le nom.

C’était stupide, et il le savait, de tomber amoureux de quelqu’un qu’il ne connaissait même pas, surtout un humain, et c’était sans doute perdu d’avance, mais…

Mais il ne pouvait pas empêcher son cœur de tambouriner dans sa poitrine alors qu’il le regardait, inconscient et allongé sur le sable.

Il lui sourit en voyant que Jaime se réveillait enfin, et il arrêta de chanter, avant de plonger dans les eaux profondes de la mer, sachant qu’il ne devait en aucun cas se faire voir.

Tout ce qu’il espérait, c’est qu’un jour, il pourrait avoir la chance de le revoir.

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Henri de Montmorency se figea sur place.

Littéralement.

Il ne pouvait plus du tout bouger.

Il sentit la peur l’envahir, incapable de comprendre ce qu’il lui arrivait.

« Bonjour, bonjour ! S’exclama alors une voix féminine un peu trop enthousiaste pour lui au vu des circonstances présentes, résonnant dans le silence complet qui régnait encore dans la demeure des Montmorency quelques secondes plus tôt. J’aimerais bien vous dire que je suis ravie de vous voir, mais la vérité, c’est que je vais plutôt être ravie de vous éventrer.

Le noble cligna des yeux, estomaqué.

D’abord son corps qui refusait de bouger, et maintenant ça.

Qu’est-ce qu’il se passait bon sang ?

- Je vous demande pardon ? Finit-il enfin par dire.

Enfin, l’inconnue se révéla à lui, sous la forme d’une jeune femme d’environ vingt-cinq ans, aux cheveux bruns mi-longs et aux yeux marrons, pas vraiment jolie (« Angie qu’est-ce qu’on avait dit sur l’auto-dénigrement ? » « Ça va, ça va j’arrête. ») et qui le regardait avec un sourire joyeux et tout sauf rassurant.

- J’ai dit que j’allais vous éventrer. Enfin non, ce n’est pas vraiment exact, mais laissez-moi vous dire que vous allez bientôt mourir, et que je vais adorer assister à ça. Bon je dis ça mais j’ai très souvent détourné les yeux devant Hannibal, mais là c’est une fic donc c’est pas vraiment moi donc ça passe. Bref, vous avez quelque chose à dire ?

- Que… Qui êtes-vous ?

- Angelica R. Mon vrai nom n’a pas d’importance, on s’en fout, ce qui importe c’est vous et ce qui va arriver dans ce texte.

- Ce quoi ?

- Le quatrième mur ne va définitivement pas survivre à tout ça, marmonna-t-elle, l’ignorant totalement. Je suis là pour vous dire que vous allez mourir, parce que je vous aime pas, que Félicia non plus, que je veux lui écrire un texte et que c’est Noël !

Le noble la regarda avec un air perplexe.

- Oui bon je sais, tuer quelqu’un dans un texte c’est pas ce qu’il y a de plus joyeux mais hey, je l’ai fait pour Almayen et elle a aimé ! Bon en même temps c’était Ramsay.

- Je comprends absolument rien à ce que vous me dites.

- Et moi j’en dis le moins possible pour pas spoiler les gens qui voudraient potentiellement lire ça sans avoir lu Les Pardaillan (d’ailleurs lisez cette saga, c’est le bien) et vous m’aidez pas vraiment.

- Vous voulez me tuer, pourquoi je voudrais vous aider ?

- Cherchez pas la logique, on est dans une fanfic. Bref, vous êtes un connard, et vous allez mourir. J’aurais bien fait appel à Hannibal mais je l’ai déjà fait pour Poulpi donc on va partir sur mon autre idée, celle que j’avais avant, l’un dans l’autre vous allez vous faire bouffer donc bon…

- Pardon ?

- Ta gueule Henri. Bref. »

Elle claqua des doigts, et il réalisa qu’il était en train de se vider de son sang.

« Voilà… Pipeau ?

Un chien apparut devant lui et il sursauta.

- Oui c’est le chien de Pardaillan, et oui il va vous bouffer. Je ferai pas de description parce que je suis nulle pour ça mais bon au revoir quoi. »

Alors qu’elle partait, la pièce commença à résonner des hurlements de douleur de Henri de Montmorency.

Quelques minutes après, il était mort.

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Une part d’Helen ne pouvait pas s’empêcher d’être un peu déçue.

Elle savait bien que c’était stupide, que c’était hautement futile comme réaction mais elle ne pouvait pas s’en empêcher, même si elle le cachait bien, comme d’habitude, et même si elle savait également que ce n’était pas la faute de John, elle aurait vraiment voulu qu’il soit là.

C’était son anniversaire, et cela faisait des années que, invariablement, il ratait la fête organisée par leurs amis et leurs enfants, et tout en sachant que son mari lui souhaiterait son anniversaire et lui offrirait un magnifique cadeau, elle se sentait triste de réaliser qu’il ne serait à nouveau pas là.

Il n’en était pas le responsable, se raisonna-t-elle, il avait beaucoup de travail, comme toujours, et ce n’était pas grave, pas vraiment, aussi, elle n’y pensa plus de la journée, même en voyant que l’heure tournait et qu’il n’était toujours pas là.

Les voisins, les amis, et ses enfants étaient là, et c’était ça le plus important, elle aurait John tout à elle plus tard, ce n’était pas un souci.

Secouant la tête, elle se prépara à retourner dans le salon (l’accès à la cuisine lui était totalement interdit, ordre des enfants et de Bridget, aujourd’hui elle n’avait à s’occuper de rien du tout) lorsqu’elle vit soudainement quelqu’un qu’elle ne s’attendait définitivement pas à voir.

John.

John était là, avec un immense bouquet de fleurs dans les mains.

« John ? Dit-elle, n’en croyant pas ses yeux. Qu’est-ce que tu fais ici ?

Son mari lui sourit.

- Joyeux anniversaire mon amour, lui répondit-il en plaçant le bouquet dans ses mains avant de l’embrasser.

- Mais je croyais que tu avais beaucoup de travail aujourd’hui, que tu avais beaucoup de réunions et que tu rentrerais tard ? Lui demanda-t-elle, confuse.

- C’est vrai. Mais j’ai réussi à toutes les décaler, soit aujourd’hui plus tôt, soit pour demain, afin de pouvoir être là pour ton anniversaire. Je n’aurais pas manqué ça pour rien au monde. Je ne t’ai rien dit pour te faire la surprise, et aussi pour ne pas te faire de fausse joie au cas où mon plan ne marcherait pas.

Helen lui sourit, le cœur gonflé de joie de tendresse et d’amour.

- Merci John, merci infiniment. Je t’aime.

- Je t’aime aussi Helen. De tout mon cœur. »

Et ils s’embrassèrent une nouvelle fois.

Chapter Text

1. Angst :

Neal était mort.

Il était mort pour que son père vive, pour que le Ténébreux vive, et il avait fait ce qu’il fallait faire, il était mort en héros, c’était certain, mais Mulan ne pouvait pas faire disparaître le sentiment d’amertume qui l’envahissait à chaque fois qu’elle pensait au fait que les choses auraient pu être si différentes dans d’autres circonstances.

2. AU :

Mulan ne put s’empêcher de frissonner.

Ouvrir le caveau du Ténébreux n’avait pas tué Neal finalement mais l’avait changé en ce qu’il détestait le plus autrefois.

La guerrière ne savait pas exactement comment les choses allaient tourner, mais la lueur sombre dans les yeux de l’ancien enfant perdu ne lui disait rien qui vaille.

3. Crack!Fic :

« T’avais pas dit que tu voulais un truc facile pour cette fois ?

- Oui mais bon j’avais pas d’idée et je maîtrise pas SPN alors c’est nope, donc j’ai pris le premier truc qui me tombait sous la main dans ma liste. Et puis c’est pas si compliqué que ça à faire comme ship comparé à d’autres. D’ailleurs tu râles pas aujourd'hui ?

- Hein ? Ah non pas besoin, je veux dire je ship pas mais au moins ils se rencontrent eux.

- Je me sens pas du tout visée là. Cache les micro-fics précédentes.

- Tu devrais… »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait rencontrée, c’était un rêve devenu réalité.

Il s’agissait de Mulan bon sang, ce n’était pas rien tout de même !

5. Fluff :

Au sein de tout ce bordel, de Zelena et de son père disparu, Neal y trouvait en revanche une consolation, celle de faire découvrir le monde sans magie à Mulan.

6. Humor :

« Ah mais c’est vraiment les fonds de tiroir maintenant.

- Difficile de se renouveler quand t’en a écrit presque deux-cents sur le même fandom hein.

- Certes. »

7. Hurt/Comfort :

Il est mort.

Il est mort, et elle n’a pas pu le sauver.

Il est mort et elle n’était pas là.

Sa seule consolation est qu’au moins, il a pu dire au revoir à Emma et à son père.

8. Family :

Elle n’avait plus de famille, pas après être partie de son pays, loin de ceux qui l’avaient élevée.

Neal et Storybrooke, en l’accueillant, lui en avaient offert une autre.

9. Love :

Mulan aimait Aurore, ça c’était un fait que Neal ne pouvait pas nier, tout comme le fait que la princesse ne lui retournait pas son amour, il le lisait dans ses yeux, c’était le prince Philippe qu’elle aimait.

Neal connaissait cela aussi en un sens, il aimait toujours Emma, mais il n’était pas sûr qu’elle puisse sincèrement l’aimer à nouveau, pas après ce qu’il lui avait fait.

Chapter Text

1. Angst :

Myrcella était morte, alors que Ramsay était encore là, à la tourmenter de toutes les manières possibles.

Pourquoi fallait-il que les monstres survivent toujours ?

2. AU :

Ce n’était pas le beau prince blond de ses rêves que Sansa allait épouser, mais une jolie princesse blonde, et en rétrospective, le fait est qu’elle avait vraiment gagné au change.

3. Crack!Fic :

« Euh…

- Oui ?

- Ben elles ont pas des masses d’interactions dans la série.

- Alors déjà depuis quand c’est un problème pour moi, et de deux, y a bien des Robb/Myrcella alors qu’ils se sont vus durant genre deux épisodes maximum ? Elles au moins elles ont passé un peu de temps dans le Donjon Rouge ensemble.

- C’est pas très romantique comme ambiance.

- C’est Game of Thrones, tu t’attendais vraiment à autre chose ?

- Pas vraiment. »

4. First Time :

La première fois que Sansa réalisa que Myrcella n’était pas comme la plupart des membres de sa famille, ce fut lorsque la lionne lui dit qu’elle était sincèrement navrée pour la mort de son père, et qu’elle la crut.

5. Fluff :

Lorsque Oberyn et Ellaria l’avaient aidée à s’échapper de Port-Réal et l’avaient emmenée à Dorne, la louve s’attendait à beaucoup de choses, mais certainement pas à retrouver une lionne qui allait l’aider à panser ses blessures et l’aider à sourire à nouveau.

6. Humor :

« Alors elle aurait dû épouser Joffrey, elle a failli épouser Lancel, mais en fait elle a épousé Tyrion, et maintenant tu la cases avec Myrcella ? Ça commence à faire beaucoup quant même.

- Je suis celle qui ship Sansa avec Yara, je suis plus vraiment à ça près. »

7. Hurt/Comfort :

Myrcella était une personne certes emplie de gentillesse, mais son passage chez les Dorniens, où elle avait failli mourir l’avait endurcie, et avait réveillé la lionne en elle, farouche et protectrice, et c’était aussi pour cela que Sansa l’aimait.

8. Family :

Son frère a ordonné l’exécution de son père et la torture depuis des mois, sa mère n’aide définitivement pas , et son grand-père est responsable de la mort de sa mère et de son frère.

Sansa devrait détester Myrcella, mais elle ne le peut pas tout comme elle ne peut pas détester Tommen non plus.

Comment détester quelqu’un d’aussi innocent et qui n’est pas responsable des horreurs qu’elle a endurées ?

9. Love :

Tomber amoureuse, surtout d’une lionne, et dans ces circonstances, ce n’était définitivement pas idéal, mais au moins, ça avait le mérite de faire oublier à Sansa sa souffrance et d’essayer de croire en des jours meilleurs.

Chapter Text

1. Angst :

Jamil était mort, il était mort parce qu’il avait été trop arrogant, trop joueur, parce qu’il n’avait pas fait attention, il était mort et c’était de sa faute.

Son frère n’était plus, et il était hors de question que Anwar subisse un jour le même sort que lui, il se le jurait.

2. AU :

Que Jamil ait eu envie de devenir médecin, ça, ça avait un peu étonné Sinbad, mais tant que cela, après tout, son frère avait toujours voulu aider les gens, et puis si ça le rendait heureux, alors tant mieux.

Ce n’était que plus tard, alors qu’il commença à rendre visite à son frère à l’université qu’il le bénit véritablement d’avoir choisi cette voie, parce que grâce à ça il avait pu faire la connaissance d’un étudiant en médecine nommé Anwar qui était adorable et qui était beaucoup trop facile à faire rougir.

3. Crack!Fic :

« Je…

- Chut, ne dis rien.

- Mais j’ai encore rien dit !

- Oui mais tu allais dire quelque chose et je refuse. Le Sinwar c’est mon OTP un point c’est tout.

- T’as vu que neuf épisodes ! Et le neuvième est encore en court !

- Oui peut-être mais déjà y en a que douze en tout et ensuite ben ils sont ultra shippables ! Et Sinbad a littéralement sorti Anwar d’un placard, si ça c’est pas un signe ! Surtout que la déesse elle dit que Anwar est la personne dont Sinbad a le plus besoin ! C’est presque canon à ce stade ! L’univers les ship littéralement, je vois pas ce qu’il te faut de plus ? Et de toute façon ils sont trop choupis alors merde.

- Tu sais j’allais juste te dire que c’était cool que tu inaugures un nouveau fandom hein.

- … Je t’emmerde. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait rencontré, Sinbad n’avait pas été impressionné.

Ce n’était que plus tard qu’il s’était finalement rendu compte de la valeur et de l’importance qu’avait le médecin pour lui.

5. Fluff :

Si Sinbad pouvait revenir en arrière, il reviendrait avant la mort de Jamil, pour l’empêcher, pour le sauver, pour réparer cette erreur qui a fait tant de mal à ceux qu’il aime.

Mais il sait également que si il parvenait, ça signifierait aussi tout faire pour être réuni avec Anwar.

Parce qu’il ne pouvait pas imaginer sa vie sans le médecin à ses côtés.

6. Humor :

Sinbad et Anwar regardèrent la déesse avec incrédulité.

« On doit quoi ? S’exclamèrent-ils en même temps.

- Vous devez vous embrasser, leur confirma Kuji en gardant son sérieux, et pourtant ils ne purent s’empêcher de penser que c’était forcément une blague.

- Mais pourquoi ? Demanda Sinbad.

- Parce que les dieux l’ont décidé, se contenta-t-elle de répondre. Et parce que vous en avez envie tous les deux, ajouta-t-elle.

Ils piquèrent tous les deux un fard en même temps et elle sourit.

- Seul un baiser du véritable amour me permettra de partir d’ici (oui je sais on est pas dans OUAT mais on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a), alors, puisque vous vous aimez… »

Ils haussèrent les épaules avant de s’embrasser et la déesse dut se retenir de lever un poing victorieux en l’air.

Son cœur de shippeuse était comblé.

7. Hurt/Comfort :

Ce que Anwar n’avait jamais su, c’est que Kuji avait dit à Sinbad qu’il comptait quitter le Providence.

En comprenant à quel point le médecin allait mal, et à quel point aussi personne n’avait rien vu, le marin s’était juré de ne jamais laisser cette situation se reproduire.

Il ne pouvait pas se permettre de le perdre, c’était hors de question.

8. Family :

Ses parents l’aiment oui, c’est vrai, mais ce n’est pas suffisant, pas alors qu’il y a dehors tout un monde à découvrir, pas alors que dehors, il y a le Providence, ses amis, et surtout Sinbad.

Anwar le sait, il ne peut pas rester.

9. Love :

Il n’avait pu qu’être jaloux face à cette fille, et il savait que Sinbad ne faisait sans doute que jouer un jeu, et qu’il ne lui devait de toute façon rien, mais Anwar ne pouvait s’empêcher de ressentir un pincement au cœur en les voyant interagir.

Et puis lorsque Sinbad était revenu et l’avait embrassé, il avait compris qu’en réalité, il n’avait aucune raison d’être jaloux.

Chapter Text

1. Angst :

Quelque chose est mort dans le cœur de Yara Greyjoy le jour où le Septuaire a explosé.

Margaery a brûlé, en même temps qu’une partie de son être et de son cœur, et c’est une chose qu’elle ne pardonnera jamais à Cersei Lannister.

2. AU :

Le jour où la réunion à Fossedragon rassemble les différents membres des familles dirigeantes des régions des Sept Couronnes, Yara l’admet, son regard ne peut pas se détacher de Margaery Tyrell.

Et qui sait, peut-être qu’elle parviendrait à forger une alliance avec la famille de la rose en la séduisant ?

3. Crack!Fic :

« Bon, et cette fois c’est quoi ? C’est pas comme si elles se croisaient dans le canon ou que le ship était populaire quoi.

- Le tirage au sort.

- Oui enfin c’est beau d’accuser le tirage au sort, n’empêche que ce ship il était déjà dans ta liste, alors ?

- Si j’accuse starck encore une fois ça peut passer ?

- Boh, vu que c’est soit lui, soit ton cerveau, soit le kink meme, soit les copc et les cerveaux des autres alors j’imagine que oui.

- Okay ça marche. »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait embrassée, Margaery avait senti quelque chose exploser en elle, un feu, une passion qu’elle n’avait jamais ressenti avant, et elle ne sut si c’était parce que c’était la première fois qu’elle embrassait quelqu’un qu’elle aimait vraiment ou juste parce que Yara embrassait très bien.

Peut-être les deux qui sait.

5. Fluff :

Margaery avait peur du feu, et Yara ne pouvait que la comprendre, après ce qui avait failli arriver au Septuaire, et puisqu’elle ne pouvait pas supprimer sa peur, tout ce qu’elle pouvait faire, c’était la prendre dans ses bras et lui promettre qu’un jour, tout irait bien.

6. Humor :

Elle se ramassa légèrement sur elle-même, prête à combattre, mais sans se soucier de couvrir sa glorieuse nudité. Du regard, elle cherchait aux alentours ce qu’elle pourrait bien utiliser comme arme. Elle ne l’en apprécia que plus.

« Hey temps mort, temps mort ! Hurla Yara. Pourquoi on est dans Contes des royaumes maintenant ?

- Ben je sais pas, tu serais pas mal en chasseuse, et Margaery en Blanche-Neige ce serait cool aussi non ?

- Ouais enfin ça veut dire que sa belle-mère c’est Cersei ? Fit la fer-née.

- Euh… Possible ouais sauf que là Blanche-Neige elle est pas mariée donc je sais pas si c’est pareil en fait… Faut que la nana soit mariée à son père.

- Et me demander mon avis ce serait trop vous demander ? Se plaignit Margaery.

- Ça veut dire que Cersei serait mariée à Mace Tyrell dans cette configuration ?

- …

- …

- Excusez-moi je vais aller vomir.

- Ouais je t’accompagne, et vous savez quoi ? On oublie ça en fait.

- Ouais, ça vaut mieux, marmonna Margaery en se rhabillant. »

7. Hurt/Comfort :

Daenerys lui avait fait des promesses, tant de promesses qu’elle n’avait pas pu tenir, et la dragonne avait surtout tout brûlé sur son passage en chevauchant Drogon, elle qui avait autrefois promis de ne pas être la reine des cendres, et dans le processus, elle avait brisé la confiance que Yara avait en elle.

Margaery se jura qu’elle ne ferait pas la même erreur, alors qu’elle ramassait un à un les morceaux de la seiche au cœur brisé.

8. Family :

Yara reconnaissait cette lueur farouche dans le regard de Margaery, parce qu’elle avait été dans ses propres yeux pendant un temps, jusqu’à ce qu’elle s’éteigne.

C’était celle d’une sœur voulant à tout prix protéger son frère de tous les dangers du monde.

Elle n’avait peut-être pas pu sauver Theon de Ramsay, mais elle se le jurait, elle ferait tout pour que la rose parvienne à sauver Loras des moineaux.

9. Love :

Elle avait aimé Daenerys, elle l’avait aimée si fort, mais ça n’avait pas marché, parce que la Targaryen n’avait pas pu ne pas tout détruire sur son passage, et avant cela elle avait aimé Margaery aussi, Margaery qui était morte .

Était-elle donc maudite et condamnée à toujours perdre ceux qu’elle aimait ?

Chapter Text

1. Angst :

Les flammes et les cendres recouvrent Port-Réal, Drogon et Daenerys ont tout brûlé, ils ont tout ravagé, sans la moindre hésitation et sans le moindre état d’âme, il ne reste plus rien.

Horrifiées, Sansa et Yara se contemplent, la gorge nouée, une envie de vomir à peine contenue commençant à grandir en elles, ainsi qu’une impossibilité de respirer correctement.

La folie a gagné cette fois, a détraqué l’esprit de la femme qu’elles aimaient, et maintenant il est trop tard pour revenir en arrière.

À croire que Varys avait raison, cette fois, la pièce n’est pas tombée du bon côté.

2. AU :

Depuis qu’elle était arrivée à Meereen, le regard fasciné de Yara ne cessait de suivre la reine des dragons, et Daenerys devait admettre qu’elle aimait beaucoup ce genre d’attention.

Et puis il y avait eu la réunion à Fossedragon, la fer-née avait découvert la chevelure de feu de Sansa Stark et ses yeux bleus comme la mer et c’était sur elle que d’un seul coup, ses yeux s’étaient posés.

Si la dragonne avait été jalouse au premier abord, ça n’avait pas duré bien longtemps, pas lorsqu’elle avait finalement réalisé ce qui captivait tant sa compagne chez la nordienne.

3. Crack!Fic :

« TROUPLE ! Hurla une voix sortie de nulle part alors que Sansa et Daenerys se faisaient face.

- Pardon ? Fit la rousse, tandis que la blonde fronçait les sourcils.

- Je veux un trouple, vous deux plus Yara !

- Mais, protesta la dragonne, c’est absurde, Sansa et Yara ne se sont même pas rencontrées !

- Je m’en fous ! Je vous ship toutes ensemble, donc autant faire un trouple ! Et tout est mieux que le Jonerys de toute façon !

- Ah ben si pour éviter ce ship, d’accord, acceptèrent-elles. »

Et la guerre fut alors évitée, fin.

4. First Time :

« Et comment pensez-vous pouvoir réussir à me convaincre de faire confiance à votre reine ? Demanda Sansa à Yara la première fois qu’elle la rencontra.

- C’est que j’ai de grands pouvoirs de persuasion, lui rétorqua la seiche, et je suis sure que vous ne pourrez pas y résister. »

Son sourire charmeur marchait peut-être sur les autres, mais pas sur elle, se promit Sansa.

Lorsque, quelques semaines plus tard, elle atterrit dans le même lit que la fer-née et la dragonne, elle comprit qu’elle s’était trompée.

Étonnamment, ça ne lui déplut pas.

5. Fluff :

Daenerys et Yara ne sont pas Joffrey, ni Baelish, et encore moins Ramsay, lorsqu’elles l’embrassent, elles s’assurent que c’est ce que la louve veut.

Et à chaque fois que cela arrive, la noble sent son cœur s’envoler jusqu’aux cieux.

6. Humor :

Si il y avait bien une chose certaine dans les Sept Couronnes, c’était à quel point la chevelure rousse de Sansa Stark était sublime, magnifique, éblouissante, le fait qu’elle en prenait grand soin et qu’elle fascinait clairement ses deux compagnes, de plus…

« Angie ? Tu vas quant même pas nous écrire une ode à la gloire des cheveux de Sansa Stark ? Tout le monde n’est pas obsédé par ses cheveux tu sais.

- J’ai écrit un putain de mémoire sur la chevelure, crois-moi quand je te dis que je m’y connais, et zut alors je fais ce que je veux ! »

7. Hurt/Comfort :

Il y a des choses qu’elles n’oublieront jamais.

Des cicatrices qui ne disparaîtront jamais, des souvenirs qui resteront pour toujours gravés en elle, et si la douleur restera toujours, elles savent au moins qu’elles peuvent compter les unes sur les autres.

C’est bien plus que ce qu’elles pouvaient espérer quand la seule chose qui leur restait vraiment, c’était la souffrance.

8. Family :

Daenerys ne comprenait pas toujours la profonde affection qui unissait Yara et Sansa à leurs frères et sœurs respectifs, mais parfois, elle avait le sentiment d’y arriver, au moins un peu.

Après tout, elle avait aimé Viserys a utrefois , avant qu’il ne perde totalement la raison.

9. Love :

Quand Yara avait essayé de rapproch er les deux reines, la reine du Nord et celle qui voulait conquérir Port-Réal, elle voulait simplement éviter une guerre et qu’elles soient heureuses.

Elle ne s’attendait pas le moins du monde à en tomber amoureuse, ou même à être incluse dans la relation que partageaient ensemble la louve et la dragonne.

Chapter Text

1. Angst :

Elle ne le connaissait pas, elle ne l’avait jamais rencontré, que ce soit dans le royaume des vœux ou à Storybrooke, mais Alice avait entendu parler de lui par Rumplestiltskin, par Henry, par Emma mais aussi par son père qui regrettait sincèrement de l’avoir perdu.

Elle ne le connaissait pas vraiment, mais la blonde avait en revanche une absolue certitude, celle que la mort de Neal Cassidy n’était rien de plus qu’un immense gâchis.

2. AU :

Lorsque Gothel avait lancé son sortilège et tué la quasi-totalité de la population, Alice n’avait pas pu le supporter.

Son père était mort, sa petite-amie aussi, et elle n’avait pas pu se résoudre à les laisser partir, alors elle avait fait comme Wanda l’avait fait dans une autre partie des États-Unis.

Elle avait utilisé sa magie pour créer une réalité où ils vivaient, où tous ceux qui avaient perdu la vie à Hyperion Heights étaient revenus, pour créer une ville dans laquelle vivraient tous ceux qu’elle avait perdus, et si Neal avait été inclus dans le processus, parce que fils de Rumplestiltskin et père de Henry, quelque chose avait dysfonctionné, parce qu’il se souvenait.

Et si il comprenait parfaitement ses raisons et sa douleur, il avait conscience qu’il fallait que cela cesse.

Ce n’était pas une vie ça.

3. Crack!Fic :

« Je ferais bien le coup du « ils se sont jamais rencontrés wsh ! » mais bon ce serait un peu redondant.

- Ouais.

- Au moins tu ship pas.

- Hey pour une fois que je vois un duo comme une relation père-fille ça va hein !

- Quoi ?

- Oui.

- Tu veux rendre l’arbre généalogique de Henry encore plus bordélique ?

- Oh ça c’est rien, j’ai l’intention de faire un UA où Neal est un vampire, Hook un chasseur de vampires, et où Alice est leur fille.

- …

- Ouais je sais. »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait vu, elle avait hurlé quand elle avait constaté qu’il était vraiment là, c’était un fantôme après tout, sorcière ou pas, il y avait des choses à laquelle elle n’avait jamais été confrontée.

Et puis, elle avait souri, en réalisant qu’elle n’était plus seule dans sa tour.

5. Fluff :

Neal se souvenait, et il y avait tellement de choses douloureuses qui étaient liées à son passé avec le père d’Alice que, si ce dernier n’avait pas été maudit et amnésique, il ne l’aurait honnêtement pas approché.

En fait, il évitait le plus possible sa présence dès qu’il le pouvait, mais Alice, elle, ne l’entendait pas de cette oreille.

Tilly ne savait rien de leur passé commun, et pour elle, rapprocher ses deux pères de cœur était une évidence.

C’était à la fois gênant et adorable.

6. Humor :

« Tu fous quoi ?

- Je cherche une citations de CDR pour illustrer le duo.

- Et ?

- Ben… fouille dans ses notes. Alors… « En fait, songea-t-elle, on ne se connaît même pas. »

- Effectivement ça marche vu qu’ils se sont pas rencontrés, mais t’étais pas censée écrire le thème humour toi ?

- Oui sauf que je suis pas drôle.

- Ouais ça on avait remarqué… »

7. Hurt/Comfort :

Alice avait tellement été privée de contact humain durant son emprisonnement dans la tour, après le départ forcé de son père, que Neal la serrait dans ses bras dès qu’il en avait l’occasion.

Ce n’était pas suffisant, et ça ne le serait jamais, mais c’était déjà quelque chose.

8. Family :

En fait , songea-t-elle, on ne se connaît même pas .

Après tout, il avait été le fantôme de la tour pour elle pendant si longtemps qu’elle savait à peine qui il était réellement, pourtant, elle savait qu’ils avaient quelque chose en commun.

La volonté de se battre pour leur famille, quelque soit le prix à payer.

9. Love :

Alice était aimée de tous (Gothel ne comptait pas, elle n’avait jamais compté) et Neal pouvait comprendre pourquoi, parce qu’elle était un putain de soleil qui ramenait la lumière même dans les cœurs les plus sombres.

Lui aussi avait envie de la protéger, parce qu’elle le méritait.

Chapter Text

1. Angst :

Il était là, lorsqu’elle était à Port-Réal, qu’elle vivait l’enfer aux mains de Joffrey et des autres, il était là et il n’avait absolument rien fait pour la sauver.

C’était l’un de ses plus grands regrets.

2. AU :

Joffrey croyait l’humilier en la promettant en mariage au cousin de l’homme qui avait exécuté son père, mais il ignorait que par ce geste, il libérait enfin Sansa de sa cage.

Pour une fois, elle n’allait pas avoir peur de son futur promis, et c’était honnêtement très réconfortant.

3. Crack!Fic :

« Vu la choupitude des deux persos, je suis étonnée que tu l’ais pas fait plus tôt ce ship.

- Alors je ship pas plus que ça et de toute façon je peux pas tout faire non plus hein.

- Ouais on voit ce que ça a donné quand t’as fait ça sur Once Upon A Time…

- Ta gueule. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait vue, elle avait l’air tellement triste…

Il s’était aussitôt juré d’essayer de tout faire pour changer cela.

5. Fluff :

Elle était contente qu’il soit ici, malgré les circonstances, malgré la Longue Nuit, malgré la menace de mort imminente, ça prouvait que les monstres n’étaient pas les seuls à toujours s’en sortir, et qu’il y avait peut-être de l’espoir pour qu’eux survivent aussi à tout ça.

6. Humor :

Elle le chevauchait la tête renversée en arrière, perdue dans les chimères de ses propres fantasmes.

Elle lui enserrait la tête de ses cuisses musclées et haletait de plus en plus fort tout en bougeant de plus en plus vite, lancée à l’assaut d’un sommet de plus en plus proche.

C’est elle qui me chevauche.

Cette pensée le frappa avec la violence d’un coup.

« Vraiment Angie ? Sérieusement ? C’est tout ce que t’as trouvé ?

- Quoi ? Il fallait bien que je recase cette citation un jour quoi et je savais pas comment faire ! Et puis c’est pas comme si Game of Thrones était une série avec du sexe et qu’on parlait des prouesses sexuelles de Podrick… Et puis si l’un d’eux devait dominer dans le couple, je pense que ce serait…

- S’il te plaît… Ne dis plus un seul mot.

- T’es pas drôle.

- Ouais ben toi non plus. »

7. Hurt/Comfort :

Sansa avait bien changé depuis Port-Réal, cela, Podrick avait pu s’en rendre compte alors qu’il la voyait se battre pour récupérer ce qui avait été arraché à sa famille.

La colombe aux ailes brisées était devenue une louve forte et combative, et si il déplorait toutes les souffrance qu’elle avait dû subir par le passé, il était heureux de voir qu’elle s’en était malgré tout relevée.

8. Family :

Lorsqu’elle entendait Podrick chanter, Sansa se souvenait de la fillette naïve qui rêvait de chevaliers et d’être l’héroïne d’une chanson, la Sansa qui avait encore une famille.

Elle pleurait lorsqu’elle l’entendait chanter, mais surtout elle ne voulait pas qu’il s’arrête, parce que c’était bien trop beau.

9. Love :

Elle avait mis tellement de temps à réaliser qu’elle était amoureuse de lui.

Après tout, la première fois que c’était arrivé, son cœur avait été piétiné et mis en pièces.

Mais pas cette fois, elle le savait, Podrick l’aimait bien trop pour ne serait-ce que songer à lui faire du mal.

Et puis surtout cette fois, elle était capable de se défendre.

Chapter Text

1. Angst :

Robin était mort, il était mort des mains d’Hadès, il était mort et il ne reviendrait pas, il était mort, et son âme s’était consumée, était partie en fumée, et Mulan n’avait même pas pu lui dire au revoir.

Ce n’était pas juste.

Ce n’était pas comme ça que c’était censé se passer.

2. AU :

Neal avait raison, il ne fallait pas qu’elle perdre de temps, et il fallait dire aux gens qu’on aime qu’on les aime, aussi, elle n’avait pas hésité une seule seconde avant de se déclarer à Robin.

Elle avait eu infiniment de chance que ses sentiments soient réciproques.

3. Crack!Fic :

« Ah ben enfin !

- Quoi ?

- Enfin un ship à peu près logique avec deux personnages qui se sont rencontrés, qui se sont côtoyés pendant un moment et qui sont potentiellement shippables.

- Ouais certes, moi je ship pas mais bon un copc est un copc. Et tu veux savoir la blague sur ce ship ?

- Quoi ?

- Le tag existe pas sur AO3.

- Oui bon ça c’est le genre de chose qui arrive.

- Par contre y a du Mulan/Marianne.

- …

- …

- Où est la logique ?

- Y en a pas. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait rencontrée, elle avait une tristesse dans le regard qu’il rêvait plus que tout de pouvoir effacer, et lorsqu’elle avait rejoint les joyeux compagnons, il avait été heureux de constater qu’à chaque jour qui passait, elle disparaissait de plus en plus.

5. Fluff :

Ils devaient tous les deux l’admettre, ils étaient un peu perdus quand il s’agissait de Storybrooke et du monde sans magie en général, qu’ils commençaient à peine à découvrir.

Mais au moins, ils étaient perdus ensemble.

6. Humor :

Elle se courba en deux, prit son allure fragile et se prépara à accueillir ses visiteurs.

Elle était bien contente.

Elle jeta un coup d’œil au dehors à travers les rideaux.

Un garçon et une fille.

Ni trop jeunes, ni trop vieux.

Et le petit garçon avait de bonnes joues.

Elle sourit et l’eau lui vint à la bouche.

Elle avait bien mérité un bon dîner.

« Et là c’est quoi l’excuse ?

- Robin des bois est littéralement dans la trilogie alors excuse-moi mais mon parallèle se tient.

- Et Mulan c’est qui alors ? Cendrillon ?

- Oh non, ce serait plutôt Petra.

- Mais alors ton ship marche même pas dans cette configuration, les deux personnages se rencontrent même pas !

- Oui ben j’ai déjà casé Blanche-Neige avec Petra alors que c’est pareil je te signale.

- C’était pour un bingo.

- Oui mais je l’ai quant même fait alors zut ! »

7. Hurt/Comfort :

Aujourd'hui, Zelena tenait entre ses mains le cœur de l’homme qu’elle aimait.

Et aujourd'hui, qu’elle affronte une sorcière ou pas, peu importe, la guerrière allait se battre, parce que c’était tout ce qu’il lui restait.

8. Family :

Mulan prépara son épée, prête à la dégainer sans la moindre hésitation, quant bien même elle savait déjà que celle-ci n’aurait aucun effet sur l’ombre qui risquait d’enlever Roland.

Il était hors de question que le voleur perde son fils aujourd'hui, ça, elle se le jurait.

9. Love :

Elle savait bien qu’Aurore ne l’aimerait jamais, que Philippe était son véritable amour, mais comme cette vérité lui faisait mal.

Elle n’en parla jamais à Robin, parce que lui avait perdu la femme qu’il aimait, et ça, c’était encore pire.

Chapter Text

1. Angst :

Alors que Rhaegar s’éteignait, transpercé par le marteau de Robert Baratheon, il sentit les regrets l’envahir.

Si seulement il n’avait pas eu cette idée stupide de fuir avec Lyanna, en abandonnant Elia derrière, et les entraînant dans sa chute, avec le reste de Westeros.

2. AU [Timeline de « Crie en silence »] :

Le royaume avait été étonné lorsque Rhaegar avait épousé Lyanna en plus de Elia, mais quitte à avoir deux reines, mieux valait ça en ayant le dragon comme roi plutôt que Aerys.

3. Crack!Fic :

« Bah tu râles pas aujourd’hui ?

- Honnêtement non, les personnages se connaissaient, Rhaegar a canoniquement été avec les deux, ça aurait simplifié les choses et au moins ils auraient pas foutu la merde. Et par ils, c’est Rhaegar et Lyanna évidemment.

- Ils savaient pas que papa Aerys allait péter les plombs à ce point-là ?

- Fallait y penser avant de se barrer ! Et potentiellement attendre que le paternel crève avant aussi.

- Et le drama ?

- Oui ben le drama ça va bien deux minutes ! »

4. First Time :

La première fois que Elia avait compris ce qui était en train de se passer, c’était lorsqu’elle avait vu Lyanna Stark pleurant en entendant Rhaegar jouer de la musique, elle avait vu le regard du dragon se poser sur la louve, et là, elle avait su.

Elle aurait dû se sentir jalouse, et pourtant, ce n’était pas arrivé.

5. Fluff :

And she never wanted to leave

Never wanted to leave.

Oh que non, Lyanna ne voulait pas quitter Harrenhal, elle ne voulait pas quitter Rhaegar et Elia, et ce qu’ils avaient construit ensemble en quelques jours, mais si jamais elle n’avait pas d’autre choix, alors elle allait faire en sorte que ça compte le plus possible.

6. Humor :

« Pourquoi tu aimes bien ce ship en dehors de l’aspect trouple et du fait que ça permet de régler pas mal de trucs ?

- Pour le plaisir de faire chier Robert, ça me paraît être une raison suffisante. »

7. Hurt/Comfort :

Alors que Lyanna hurle, encore et encore, tandis qu’elle accouche, Elia et Rhaegar sont là, à ses côtés, la tenant par la main et lui murmurant des mots d’encouragement, tandis qu’un mestre l’assiste également.

(Cette fois-ci, personne ne mourra.)

8. Family :

Ce n’était pas la famille à laquelle Lyanna s’était attendue autrefois, la louve perdue au milieu des dragons, c’est vrai, mais elle n’en aurait changé pour rien au monde.

9. Love :

Parfois, Lyanna se sentait de trop parmi eux, après tout, elle était l’intruse, celle qui était arrivée après, et puis Rhaegar et Elia l’embrassaient, et ses doutes s’envolaient d’un seul coup, et elle savait qu’elle était aimée.

Chapter Text

1. Angst :

Il se souvenait de Milah morte dans ses bras, et oh comme il les haïssait, tous les deux, avec leur véritable amour qui survivait à toutes les épreuves, eux qui avaient encore ce qu’on lui avait si injustement arraché.

2. AU [Wishverse] :

Ils auraient pu n’en avoir rien avoir à faire, quand ce pirate complètement perdu était venu implorer leur aide pour être réuni avec sa fille, après avoir eu le cœur maudit, mais…

Mais ils avaient aussi failli être séparés d’Emma dix ans plus tôt, avant qu’ils ne parviennent à arrêter Regina, alors ils ne pouvaient que comprendre sa détresse.

Bien sûr qu’ils l’avaient aidé.

3. Crack!Fic :

« Et donc aujourd'hui c’est… que… HEIN ?

- Euh…

- QUOI ? COMMENT ?

- Je peux tout t’expliquer !

- ANGIE !

- C’est la faute de Sarah !

- Je t’en foutrais moi des « c’est la faute de Sarah », t’as bien dit oui au copc, non ?

- Hum… oui ?

- Ah ! »

4. First Time :

La première fois qu’il avait flirté avec eux, ils avaient juste levé les yeux au ciel avec agacement (parce que un ils étaient mariés, et deux, on ne flirte pas avec l’ennemi) et c’en était resté là.

La première fois qu’ils avaient compris qu’il était parfaitement sérieux, c’était lorsqu’il les avait embrassés tous les deux.

Oh…

La vie pouvait vraiment être pleine de suprises.

5. Fluff :

Le Jolly Roger.

Pour eux ce n’était qu’un bateau comme les autres, mais pour lui c’était un véritable trésor, alors qu’à cela ne tienne, ils allaient l’aider à retrouver son navire.

6. Humor :

« Tu comptes faire la blague sur l’arbre généalogique ?

- C’est soit ça, soit le fait qu’entre Neal, Emma et maintenant Blanche-Neige et David, tu vas finir par le faire sortir avec tout le monde.

- Ne rajoute pas Rumplestiltskin et Belle dans le bordel, sinon ça risque d’être encore pire.

- Oh n’en rajoute pas toi. »

7. Hurt/Comfort :

Ce n’était pas lui le héros de l’histoire, et le pirate le savait très bien, c’était bien pour ça qu’il était parti après leur retour dans la Forêt Enchantée, peu importe à quel point David avait essayé de le convaincre du contraire.

C’était lui le prince, et le prince devait toujours être le héros, et il avait déjà sa princesse, son héroïne.

Ils n’avaient pas besoin de lui.

Il était parti en sachant qu’au moins ils étaient là l’un pour l’autre.

8. Family :

Avec tout ça, le pirate n’arrêtait pas de changer de place sur l’arbre généalogique de Henry, et ça le faisait terriblement rire .

9. Love :

C’était absurde non ?

Que son plus grand secret, celui qu’il n’avait pas voulu tout d’abord révéler lorsqu’ils étaient piégés dans la grotte de l’écho, ce soit le fait qu’il soit tombé amoureux non pas d’une mais de deux personnes, qui plus est, déjà en couple ?

Lui qui avait cru ne plus jamais pouvoir aimer quelqu’un après Milah, il était servi…

Chapter Text

1. Angst :

Amerei pleure lorsqu’il apprend la mort de Lancel, ancienne dame de compagnie de la reine Cersei, morte parce qu’elle se trouvait là lorsque le Septuaire avait explosé.

Le chevalier le savait, il n’était qu’un Frey, mais ça n’avait pas d’importance.

Il ferait payer la lionne pour avoir causé la mort de la femme qu’il aimait.

2. AU :

Lancel lança un regard étonné sur le nouvel écuyer du roi Robert.

C’était un Frey, et contrairement aux précédents, il n’avait pas peur du cerf, et n’hésitait pas à lui répondre lorsque celui-ci s’emportait, ce qui lui arrivait souvent.

Se souvent observé, Amerei se tourna vers elle et lui adressa un clin d’œil, et elle se mit à rougir.

Elle n’avait pas l’habitude d’être au centre de l’attention.

3. Crack!Fic :

« T’as pas déjà fait ce couple toi ?

- En vrai je sais même plus… Mais bon j’aime le genderbend alors ça passe.

- C’est du genderswap ici…

- M’en fous j’aime quant même. »

4. First Time :

C’était arrivé la première fois que le roi Robert l’avait frappée.

Apparemment, dame de compagnie de Cersei ou pas, ça n’avait pas d’importance pour lui, elle était une Lannister, alors elle avait forcément quelque chose à se reprocher.

La lèvre en sang, elle était partie retrouver Amerei, emplie de détermination.

« Apprenez-moi à me battre s’il vous plaît. »

Le chevalier n’avait rien, lui avait sourit, et lui avait enseigné tout ce qu’il y avait à savoir à ce sujet.

5. Fluff :

Lorsqu’il était arrivé à Port-Réal, Amerei ne s’attendait honnêtement pas à grand-chose.

Surtout pas à tomber amoureux de la cousine de Cersei Lannister, bien trop mignonne et adorable pour son propre bien.

6. Humor :

« Donc si Lancel est pas l’écuyer de Robert ici, alors ça veut dire qu’il meurt pas le roi ?

- Est-ce que je viens tout juste d’exploser le canon juste en échangeant deux rôles ?

- Fais pas comme si c’était la première fois Angie. »

7. Hurt/Comfort :

Mariée contre son gré, Lancel n’avait choisi ni son époux ni le pays dans lequel elle vivait désormais, mais elle tâchait de faire avec et d’en tirer le meilleur parti.

Sa vie aurait pu être pire.

Au moins, son époux Amerei était quelqu’un de bien, et c’était plus que ce que certaines autres femmes auraient jamais.

8. Family :

Elle avait perdu ses deux petits frères, morts parce qu’ils étaient des Lannister, morts parce qu’ils étaient au mauvais endroit, morts alors qu’ils ne le méritaient pas.

Amerei repensa au vieux Walder Frey, toujours vivant, et il serra dans les bras la jeune femme alors qu’elle se mettait à pleurer, tout en rageant en constatant que c’était toujours les innocents qui payaient en premier.

9. Love :

Elle avait aimé Cersei, et pourtant, celle-ci lui avait cassé le bras sans la moindre hésitation, alors même qu’elle était déjà blessé.

Elle aimait Amerei maintenant, et elle le savait déjà, il ne lui ferait pas le moindre mal, elle en avait la certitude.

Chapter Text

1. Angst :

Il est mort, mort en combattant les marcheurs blancs, mort alors qu’elle avait envoyé ses troupes au Nord comme promis, et qu’elle était même venue, il était mort alors qu’il aurait dû survivre, il était mort alors qu’elle l’aimait.

Ce n’était pas juste.

2. AU [Modern UA] :

Les mains de Cersei Lannister tremblent, et pourtant elle reste droite, elle ne flanche pas, et Jorah Mormont ne peut faire autrement que de l’admirer pour cela, surtout en sachant ce qu’elle a vécu ces derniers temps.

Et alors qu’il regarde son visage, où la trace des coups de Robert Baratheon est encore présente, il réalise à quel point elle a vécu l’enfer durant ces dernières années.

L’avocat se le jure, il l’aidera à gagner son procès contre son ex-mari.

3. Crack!Fic :

« Alors euh… Je sais pas trop quoi dire…

- Alors dis rien ?

- Non. Juste… Pourquoi ?

- Je voulais écrire un truc pour Solène pour après le bac tu sais, comme le Jorah/Cersei m’inspire pas trop, ben j’ai décidé de le faire en micro-fic.

- Mais le bac est pas encore passé ?

- Ah ah tu vas rire, j’ai fait un tirage au sort et euh ben c’est ce ship qui est tombé… Donc je l’écris maintenant, c’est-à-dire deux mois en avance.

- Bravo championne.

- Ouais je sais.

- Du coup ça veut dire que tu vas devoir lui écrire un autre texte ?

- Oui, t’as vu, je suis dévastée.

- Ouais t’as l’air… N’empêche tu vas galérer.

- Ouais vu que niveau ships en commun, c’est pas trop ça…

- Ah là là… C’est beau le masochisme.

- Ouais… Mais elle mérite. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait vue, c’était à Port-Réal, juste avant son mariage, il se souvenait avoir pensé qu’elle était belle, jeune, radieuse et innocente, et heureuse aussi.

La première fois qu’il l’avait revue, plus tard, c’était à Fossedragon et quelque chose s’était éteint dans son regard.

Il ne put s’empêcher de ressentir de la tristesse.

5. Fluff :

A quoi rimait donc ce besoin de paraître bienveillant ?

Quand la vie nous place dans une position où il faut se montrer cruel, autant l’admettre et s’y faire.

Tout le reste n’est que faiblesse et aveuglement.

C’était comme ça que Cersei avait pensé et fonctionné toute sa vie, c’était comme ça qu’elle avait été élevée, c’était comme ça que le monde tournait, c’était comme ça que les gens se comportaient.

Jorah, lui, n’était pas comme ça, bien au contraire, c’était un homme bon, quelqu’un qui essayait de faire ce qui est juste, et pour lui faire honneur, elle essayait, parfois, de commencer à penser un peu comme lui.

6. Humor :

« Non mais caser Jorah et Cersei ensemble, et après, quoi ? Daenerys et Jaime ?

- Alors non déjà parce que je ship pas et ensuite parce que dans cette configuration, Jaime il est mort là.

- Mais pourquoi ?

- Parce que c’est ce que fait Solène, et aujourd’hui je fais comme elle voilà !

- Certes… »

7. Hurt/Comfort :

Elle n’avait jamais aimé Daenerys, il est vrai, elle l’admettait elle-même, mais la mère des dragons avait perdu la raison, et avait failli brûler Port-Réal, et lui, l’homme qui l’avait servie, qui l’avait aimée, avait assisté à ça sans rien pouvoir faire, alors elle avait de la peine pour lui.

Elle ne savait pas ce que cela faisait de voir quelqu’un sombrer dans la folie, mais Jaime lui avait parlé du roi fou autrefois, alors elle ne pouvait que comprendre à quel point c’était affreux.

Aussi elle était là pour lui, si jamais il en avait besoin.

(Une raison de plus de haïr la dragonne.)

8. Family :

Jorah n’aurait pas dû se sentir triste que Joffrey soit mort, et c’était le cas, il n’était pas triste pour lui, mais en revanche, il était triste pour Cersei.

C’était abominable d’avoir à perdre un enfant, aussi monstrueux soit-il.

9. Love :

Aimer cet homme, si différent de Robert, qui était vu par tous comme un criminel, l’aimer après avoir tué son ancien époux et s’être libérée de lui, c’était un victoire que Cersei savourait désormais pleinement.

Chapter Text

1. Angst :

Shireen brûlée sur un bûcher, la guerre des cinq rois, son père orchestrant les Noces Pourpres, le monde n’était qu’un bain de sang perpétuel.

Dans quel univers allait-elle donc devoir grandir ?

2. AU :

Stannis l’admettait volontiers, il n’avait aucune sympathie pour les Frey, et devoir héberger une des filles de Walder Frey chez lui ne lui plaisait pas du tout, mais la petite ne semblait pas méchante, et depuis qu’elle était là, Shireen souriait un peu plus qu’avant.

C’était déjà quelque chose, supposait-il.

3. Crack!Fic :

« starck ?

- starck.

- Hé ben… T’as rien trouvé de plus drôle aujourd'hui ?

- Alors si Shireen est déjà un personnage secondaire sur lequel on a pas grand-chose comparé à d’autres, Shirei, c’est encore pire, j’ai ouvert sa page sur le wikia et sur la Garde de nuit.

- Et ?

- Et tout ce que j’ai retenu c’est que tout comme Shireen s’appelle Shôren dans les bouquins, Shirei s’appelle en fait Shorei…

- Ah…

- Ouais…

- …

- …

- C’est pas beaucoup hein ?

- Non.

- On passe au thème suivant ?

- Oui je t’en prie ! »

4. First Time :

La première fois que Shirei avait eu ses règles, elle avait voulu hurler, non pas à cause de la douleur, mais à cause de ce que cela allait engendrer.

Elle qui avait espéré ne pas avoir à être séparée si tôt de Shireen et ne pas être obligée d’épouser quelqu’un qu’elle ne connaissait pas, ses espoirs venaient tout juste de s’envoler.

5. Fluff :

Shirei se moquait bien de sa cicatrice, des stigmates de sa maladie, elle se fichait bien du fait qu’elle ne soit pas comme les autres filles.

Shirei l’avait embrassée, et Shireen avait senti son cœur s’envoler ce jour-là.

6. Humor :

« T’avais pas plus inconnu comme personnage ?

- Je peux te sortir aussi quelqu’un qui vient que des bouquins hein genre Amerei.

- Non merci, ça ira. »

7. Hurt/Comfort :

Shirei n’avait aucunement participé aux Noces Pourpres, mais savoir qu’un tel massacre avait été perpétué dans sa maison et qu’elle avait servi à piéger le roi du Nord et ses alliés la faisait frissonner d’horreur.

Shireen lui assurait qu’elle n’avait pas à se sentir coupable, et elle n’arrivait pas forcément à y croire, mais le sourire de la biche parvenait toujours à la faire se sentir mieux.

8. Family :

« C’est mon père, et il… Il a essayé de me faire brûler vive ! L’univers me hait, il me hait, murmura-t-elle dans un sanglot. Il me hait vraiment.

- Moi je t’aime, lui chuchota Shirei en lui caressant les cheveux. »

Ce ne serait pas suffisant pour effacer ce que Stannis avait voulu lui faire, mais c’était concret et c’était réel, et Shireen savait qu’elle devait se raccrocher à ça si elle voulait pouvoir réussir à survivre.

9. Love :

Sa mère ne l’avait jamais aimée, et si son père l’aimait, il avait du mal à le montrer, il n’y avait que Davos qui y parvenait.

Shirei, elle, l’aimait entièrement et sans conditions, et c’était la première fois qu’elle vivait cela.

Chapter Text

1. Angst :

L’un était mort le cœur réduit en cendres, et l’autre avait été brisé en mille morceaux par celui-là même qui avait prétendu le sauver.

À croire que les fins heureuses, ce n’était définitivement pas pour eux.

2. AU :

Il avait l’air bizarre.

Enfin, il avait surtout l’air malheureux.

À chaque fois qu’il le voyait, avec son air triste de chiot perdu (ironique vu qu’il était supposé être un kraken, et l’ennemi des loups), Graham ne pouvait que vouloir lui parler et l’aider, peu importe ce qu’il avait pu faire avant d’arriver à Storybrooke.

C’était la ville des secondes chances et des rédemptions après tout, alors oui, Theon Greyjoy était parfaitement à sa place ici.

3. Crack!Fic :

« Est-ce que tu vas faire tous les couples crossovers possibles et imaginables ?

- Oulah non, ça jamais, et de toute façon j’en ai plus que sept à faire après celui-là, alors ce serait pas matériellement possible. Et de toute façon tout le monde s’en fout alors fuck hein. »

4. First Time :

Theon était le premier à lui avoir donné un nom, un vrai nom, autre que chasseur, et Graham lui en serait toujours reconnaissant.

5. Fluff :

A chaque fois qu’il pouvait s’approcher du loup de Graham et passer sa main dans sa fourrure, il avait le sentiment de rentrer à Winterfell, à la maison, et ça lui faisait sincèrement du bien.

6. Humor :

« En fait d’après ta logique, il tombe amoureux que de mecs qui sont accompagnés en permanence d’un loup ?

- Exactement ! »

7. Hurt/Comfort :

Un chasseur qui pleurait en achevant une de ses proies, ça, ce n’était définitivement pas banal, mais Theon ne pouvait s’empêcher de respecter cela malgré tout, et d’être là pour lui, bien entendu, s’il en avait besoin.

8. Family :

Il avait été élevé par une famille dont le symbole était un loup géant, et maintenant, il vivait avec un homme qui vivait parmi les loups ?

Quelque part, le dieu noyé devait être en train de bien se foutre de sa gueule.

9. Love :

Il avait cru aimer Regina à une époque, mais maintenant il voyait clair, et il savait, il savait qu’il n’avait jamais été capable d’aimer qui que ce soit, et c’était la faute de la reine.

Mais maintenant, alors qu’il ressentait quelque chose là où aurait dû être son cœur, quelque chose qui était peut-être de l’amour, et pour Theon qui plus est, alors qu’il n’avait quasiment rien ressenti pendant vingt-huit ans, il ne pouvait s’empêcher de se poser des questions.

Et si cela ne venait pas de lui, mais d’elle ?

Et si ce n’était pas vraiment de l’amour, et si rien de tout cela n’était vrai ?

Et si rien n’était réel ?

Est-ce sa magie qui est à l’œuvre ?

Comment savoir ?

Il ne saurait sans doute jamais, pas avant que la malédiction ne soit brisée.

Chapter Text

1. Angst :

Alors que Rumplestiltskin s’écroule en même temps que Peter Pan, transpercé par sa propre dague, Ruby hurle.

D’abord, elle perdait l’homme qu’elle aimait en le tuant elle-même, et maintenant elle devait en voir un autre mourir ?

Pourquoi fallait-il donc que la mort la suive à chaque pas qu’elle faisait ?

2. AU :

Ainsi donc, la jeune femme qui venait tout juste d’offrir de devenir sa prisonnière était une louve et elle ne le savait même pas ?

Voilà qui était intéressant.

3. Crack!Fic :

« Alors le Belle/Rumple je vois oui, le Ruby/Belle aussi, ça c’est sûr, mais… le Ruby/Rumple ? Vraiment ?

- Ne dis pas un mot de plus sinon je fais un trouple.

- Okay je me tais alors. »

4. First Time :

Elle ne se souvenait pas de la première fois qu’elle l’avait rencontré.

Ce dont elle se souvenait en revanche, c’est qu’il les avait tous condamnés à l’oubli éternel, et qu’elle n’était pas sure de pouvoir le pardonner pour ça.

5. Fluff :

Oui d’accord, il trouvait Ruby mignonne sous sa forme de louve, et alors ?

Bon il la trouvait aussi mignonne en humaine, mais ça, ça ne regardait personne.

6. Humor :

« La reine a essayé de me tuer, leur confia alors Déodat.

Rumplestiltskin échangea un regard perplexe avec Ruby.

- Alors je suis navré pour vous hein, mais je vois pas trop ce qu’on vient faire là-dedans.

- Ouais, moi non plus, ajouta la louve.

- SAUVEZ MON BÉBOU DE CETTE CONNASSE DE CATHERINE ! Leur ordonna l’autrice.

- Mais pourquoi nous ?

- Parce que j’avais pas d’autre idées. Je vous rappelle que je vous ship pas, je dois bien trouver un moyen de meubler. Vous êtes dans Les Pardaillan et vu toutes les histoires et les contes de cette série, ce serait bien un comble que ceux-là y soient pas non plus, alors bougez-vous ! »

7. Hurt/Comfort :

Ils avaient tous les deux autrefois assassiné la personne qu’ils aimaient, volontairement ou non, et ils étaient tous les deux des monstres, mais au moins, ils étaient des monstres ensemble et c’était déjà quelque chose.

8. Family :

« Eux aussi ils vont monter un club des parents de merde ?

- Alors autant pour Rumplestiltskin j’approuve, autant pour Ruby, on sait pas qui est son père, et sa mère, ben son attitude était un peu compréhensible.

- Certes. Le club des gens qui ont tué au moins un de leurs parents ?

- Regina et Killian vont être ravis de les rejoindre. »

9. Love :

Ce n’était pas de l’amour, ça n’en avait jamais été, durant ces vingt-huit longues années, juste un moyen de ne plus être seuls, et d’oublier un peu plus ceux qu’ils avaient perdus et dont ils n’arrivaient même pas à se rappeler.

Chapter Text

1. Angst :

Sur leurs corps respectifs, il y avait eu des mains d’hommes qui n’avaient jamais voulu entendre les non qu’elles avaient voulu leur hurler au visage, il y avait eu la douleur et la souffrance.

Un jour, Sansa ferait payer Ramsay Bolton.

Un jour, Inej réduirait la Ménagerie en cendres.

Mais pas maintenant, pas aujourd'hui.

Aujourd'hui, la seule chose qu’elles pouvaient faire, c’était souffrir et se taire.

2. AU :

Dans l’un des bordels de Littlefinger, Ned Stark avait trouvé une jeune fille qui ne venait pas de Westeros, couverte de blessures, aux yeux emplis de peur, et même si il n’avait pas compris un mot de ce qu’elle disait, il avait tout de suite su qu’elle appelait au secours.

Alors, puisque lui, Sansa et Arya devaient quitter Port-Réal, et qu’aider cette inconnue était une bonne action, qui en plus aurait comme effet d’irriter Petyr Baelish (ce qui était toujours un bonus), il l’emmena avec lui.

Alors que quelques mois plus tard, il réalisa qu’une romance grandissait entre la suli et sa fille aînée, il se félicita encore plus de ce choix.

3. Crack!Fic :

« Euh…

- L’idée vient d’Almayen, on juge pas.

- Ah ben si ça vient de la déesse des pangolins, moi je m’incline. »

4. First Time :

La première fois qu’elles s’embrassent, ça n’efface pas les cicatrices qu’elles possèdent toutes les deux, qu’elles soient gravées dans leurs chairs ou non, mais c’est une preuve, même infime, qu’elles peuvent encore être heureuses, et guérir.

C’est aussi une preuve qu’elles peuvent être aimées.

5. Fluff :

Si il y avait bien une chose qu’Inej aimait faire, c’était passer sa main dans les cheveux de Sansa, ils étaient tellement beaux, comme des flammes qui elle le savait, ne la brûleraient jamais.

6. Humor :

« Alors d’abord tu colles Sansa et Inej ensemble parce qu’elles ont toutes les deux subi le même genre de trauma, et après quoi ? Wylan et Jaime ensemble parce qu’ils savent pas lire ? Loras et Matthias parce qu’ils sont blonds ? Kaz et Littlefinger à cause de leurs plans machiavéliques ? Tyrion et Nina parce qu’ils aiment profiter des plaisirs de la vie ?

- Donne pas des idées aux gens toi… »

7. Hurt/Comfort :

Ramsay a violé Sansa de nombreuses fois, et Inej sait ce que ça fait, elle ne le sait que trop bien, aussi, la suli n’hésite pas une seule seconde avant de trancher la gorge du bâtard avec une de ses dagues.

Le regard reconnaissant que lui envoie Sansa vaut bien les goutte de sang qu’elle a sur les mains.

Et puis, ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’elle tuait un monstre.

8. Family :

Au début, Kaz n’avait pas vraiment compris d’où sortait ce drôle d’oiseau que leur avait ramené Inej, cette colombe aux ailes brisées qui ne pouvait plus voler.

Et puis Sansa s’était finalement révélée être une louve prête à défendre sa nouvelle famille, et soudainement, le bâtard du Barrel avait compris.

Les corbeaux accueillaient toujours les êtres brisés après tout.

9. Love :

« Vous ne pouvez pas la toucher comme ça, lança Inej au client de la Ménagerie qui s’approchait de Sansa. Elle est endormie. On ne touche pas les jeunes filles endormies pendant qu’elles dorment. »

La suli avait recueilli la rousse lorsqu’elle était arrivé à Ketterdam, à la recherche d’un travail, et puisqu’elle travaillait toujours pour tante Heleen, Inej n’avait pas pu l’abriter autre part.

L’homme se contenta de l’ignorer, mais Inej n’était plus cette enfant perdue qu’elle était autrefois lorsqu’elle avait été enlevée à ses parents, et cette fois-ci, il n’hésita pas à planter son arme dans le cœur de l’homme.

Lorsqu’il s’écroula, elle réveilla immédiatement Sansa, avant de se préparer à fuir.

Elle avait pris sa décision.

Ce soir, la Ménagerie allait tomber.

Elle aimait bien trop Sansa pour accepter qu’elle subisse ce qu’elle avait elle-même enduré.

Chapter Text

1. Angst :

Elle aurait pu pardonner l’abandon.

Mais revenir pour lui arracher son père, celui-là même qui l’élève depuis la naissance, qui fait tout ce qu’il peut pour devenir un meilleur homme pour elle, être le meilleur père possible, et qui n’a fait qu’une seule erreur pour lequel sa mère l’a condamné, ça elle ne pourra pas, jamais, malgré toute la bonté que contient son cœur.

La part la plus sombre qu’il y a en elle se le jure.

Un jour, elle la tuera.

2. AU :

Oh, comme ça avait été facile de la manipuler, maintenant qu’elle avait tout oublié, qu’elle nageait entre lucidité et folie, entre mémoire et oubli, isolée comme elle l’était, n’ayant même pas conscience d’à quel point elle était puissante.

Ça avait été un jeu d’enfant pour Gothel de la pousser dans le vide, de lui faire croire que c’était la bonne chose à faire, de faire en sorte qu’elle l’aide à lancer son sortilège pour éradiquer la quasi-totalité de l’humanité.

Et alors que tout disparaissait, Alice la folle se mit à éclater de rire.

À ce moment-là, alors même que, contrairement à Cora, elle avait bel et bien un cœur, Gothel ne ressentit aucun regret ou remords en voyant ce qu’elle avait fait de sa fille autrefois si joyeuse, lumineuse et innocente.

C’était sans doute ça le pire.

3. Crack!Fic :

« Pas de blague pour aujourd'hui ?

- Alice est un bébou adorable qui mérite le monde et Gothel peut aller crever ou se faire foutre, voire les deux.

- Ma foi, je valide. »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait vue, qu’elle l’avait vraiment vue finalement, ce n’était pas lorsqu’elle l’avait portée pendant quelques secondes après sa naissance, non, ou même dix ans plus tard quand elle lui avait arraché son père.

C’était lorsqu’elle était devenue adulte et que la dryade avait finalement estimé qu’elle pouvait se servir d’elle.

Alice aurait aimé ne pas ressentir une telle détresse en y pensant, mais c’était plus fort qu’elle.

5. Fluff :

Sa fille ne deviendrait pas comme elle, elle ne serait pas malheureuse, ou seule, ou même détruite, elle aurait une famille, et peut-être qu’au fond du cœur sombre et déjà mort de Gothel, il y avait une part d’elle qui se réjouissait sincèrement pour elle.

6. Humor :

« Je te donne cette magie.

- Ta magie tu peux te la foutre au cul j’en veux pas ! Les génocides, très peu pour moi, donc merde hein. »

7. Hurt/Comfort :

Alors qu’elle voyait sa fille la regarder avec les yeux brûlants d’une haine qu’elle savait déjà ne mériter que trop, Gothel pensa fugitivement que sa mère aurait eu terriblement honte de ce qu’elle était devenue si elle avait encore été en vie.

(Mais justement, c’est pour ça qu’elle était devenue comme ça, parce qu’elle n’était plus là.)

8. Family :

Peut-être auraient-ils pu être une famille à une époque, si seulement Gothel n’avait pas laissé la haine et la colère empoisonner son cœur.

Alors qu’elle changeait sa mère en arbre, la blonde se mit à espérer que les graines du regret qui se trouvaient désormais en elle n’éclosent jamais.

Elle était bien mieux sans elle.

9. Love :

Au final, jamais Alice n’avait voulu de l’amour de sa mère, elle en avait suffisamment avec son père, Robyn, Rumplestiltskin, Henry et le reste de son étrange famille.

Tout ce qu’elle avait toujours voulu, c’est qu’elle les laisse tranquille et ne tente pas de ruiner leur bonheur.

À croire que même ça, elle ne pouvait pas le leur accorder.

Chapter Text

1. Angst :

Parfois Wylan voulait pleurer.

Le bâtard du Barrel, Dirtyhands, un criminel, le traitait mieux que son propre père.

C’était là qu’il avait compris qu’il ferait tout ce qu’il faudrait pour le faire payer.

2. AU :

Lorsque le mercurien les avait recueillis, lui et son frère, alors qu’ils n’avaient plus rien, Kaz en avait été reconnaissant, au début.

Et puis, des années après alors que Jan négligeait et rabaissait son fils unique au profit des deux frères, il avait compris que quelque chose n’allait vraiment pas.

3. Crack!Fic :

« Et là à ce moment-là, Jan Van Eck se prend les pieds dans le tapis, puis il trébuche parce que Kaz lui fait un croche-pied, il tombe dans les escaliers ce qui on ne sait comment le fait chuter par la fenêtre du vingt-cinquième étage, et il meurt.

- Tu pars pas en mode « râlage sur le choix des personnages » ?

- J’ai que neuf thèmes je te rappelle, c’est pas assez pour cracher à la gueule de Van Eck, alors je vais en utiliser le plus possible.

- Hum, ça me semble être une raison valable. »

4. First Time :

« Mon fils ne sait pas lire.

- Oui peut-être, mais à ma connaissance, ne pas savoir lire n’a jamais tué personne. En revanche vous savez ce qui tue les gens ? Les tentatives de meurtre ! »

C’était la première fois que quelqu’un défendait Wylan face à lui.

5. Fluff :

Parfois, quand Wylan entendait Kaz le féliciter, il s’attendait presque à ce que le corbeau ne finisse en fin de compte par le rabaisser, comme le faisait son père autrefois.

À quand remontait exactement la dernière fois où ce dernier lui avait fait un compliment sincère exactement ? Il ne le savait même plus.

Saints, qu’il avait bien fait de partir loin de lui !

6. Humor :

« Et le trophée du pire père du Grishaverse est attribué à… Jan Van Eck, ouais !

- Je ne vois pas du tout pourquoi je…

- On peut vous tuer sinon si vous êtes pas content, lui lança Kaz avec nonchalance. »

Le mercurien se tut aussitôt.

7. Hurt/Comfort :

« Mon fils n’est rien de plus qu’un poids mort, lança alors Jan Van Eck à Kaz, et viendra un jour où vous regretterez le choix que vous avez fait.

Wylan baissa la tête, par réflexe, et un sourire mauvais se fraya un chemin sur le visage de Kaz.

- Non. Bien au contraire, je pense que ce sera vous qui regretterez un jour de l’avoir laissé partir. »

(Au final, c’était lui qui avait eu raison, et jamais Wylan n’en avait été aussi heureux.)

8. Family :

Kaz Brekker était beaucoup de choses, un criminel était l’un d’entre eux, et il avait fait un bon nombre de choses horribles pour arriver là où il en était, mais il avait aussi été un fils et un frère autrefois.

Et ce que Jan Van Eck osait faire subir à son propre fils, la chair de sa chair, cela, il ne le comprendrait jamais.

9. Love :

Peut-être que Jan Van Eck avait un jour aimé son enfant, cela, Kaz n’en doutait pas, mais la façon dont il l’avait traité, le dénigrement perpétuel de ce pauvre Wylan…

Ça ce n’était pas de l’amour, ce n’en était plus depuis longtemps.

Chapter Text

Elle tremblait.

Elle aurait voulu hurler en vérité, de peur, de terreur, d’horreur, d’effroi.

Elle voulait hurler et elle ne le pouvait pas .

Des monstres, elle en avait déjà côtoy és pourtant, mais, ça, ça…

Ce que cette reine faisait, ce qu’elle était, c’était…

Oh par les dieux…

Belle regarda la femme droit devant elle, et elle sentit son estomac se retourner, il y avait tellement…

Il y avait tellement de sang .

La reine, Belle , et belle elle l’était, et monstrueuse aussi, et…

Et elle buvait du sang .

La jeune femme se tourna vers Rumplestiltskin.

Si ils avaient su sur quoi ils allaient tomber en arrivant dans ce monde, ils n’y auraient jamais mis les pieds.

Chapter Text

1. Angst :

Alors que le sorcier immortel avait perdu la femme qu’il aimait, l’habitant de Westeros, lui, n’avait jamais eu les faveurs de celle qui possédait son cœur.

À croire que le bonheur leur était interdit.

2. AU :

Alors qu’il apparaissait devant l’humain, Rumplestiltskin haussa un sourcil étonné.

Il avait l’habitude d’être invoqué par des âmes désespérées, mais celui-ci, oh…

Ce n’était pas le désespoir qui l’animait.

« Que voulez-vous ?

- Je veux le pouvoir. »

Le Ténébreux eut un sourire amusé.

Voilà qui promettait d’être tout à fait intéressant.

3. Crack!Fic :

« Alors ?

- Je n’ai qu’une seule chose à dire, le monde va exploser.

- Oh que oui. »

4. First Time :

La première fois qu’il avait rencontré Rumplestiltskin à la cour de la reine, il l’avait pris pour un homme vieux, faible et sans défense.

Oh, comme il avait été détrompé par la suite.

5. Fluff :

Il est jaloux.

Oh évidemment qu’il était jaloux d’Eddard Stark, c’était le mari de son premier amour après tout.

Hé bien, Rumplestiltskin allait tout faire pour faire disparaître sa jalousie.

6. Humor :

« Pourquoi j’ai subitement envie d’un UA avec Rumplestiltskin en main du roi qui intrigue avec Petyr ?

- Ma foi, si il tue Robert dans le processus, je dis pas non. »

7. Hurt/Comfort :

Ils avaient passé toute leur vie à chasser le pouvoir, à tenter de s’en emparer par tous les moyens.

En rétrospective, ça n’avait pas été la meilleure des décisions.

8. Family :

« Hum…

- Oui ?

- Tu comptes faire de l’arbre généalogique de Henry un plus grand foutoir en ramenant tout Westeros ?

- Ouais bon ça va, y a juste Petyr Baelish.

- Ouais… Qui est lié à Lysa Arryn. Et comme toutes les grandes familles de Westeros sont plus ou moins reliées entres elles, je te laisse faire le calcul.

- Oups.

- Ouais, je te le fais pas dire. »

9. Love :

Il avait aimé Milah, et Cora, et Belle aussi, et à chaque fois, il avait fini par souffrir.

L’avantage avec Littlefinger, c’est qu’il savait au moins que cette fois, il n’aurait pas le cœur brisé à la fin.

Chapter Text

1. Angst :

Elle se changeait en louve, tandis que lui se transformait peu à peu en pantin de bois.

L’un comme l’autre, ils étaient condamnés à ne pas pouvoir contrôler ce qu’ils étaient réellement.

Un monstre et un menteur.

2. AU :

Ruby et August virent la bombe exploser sans rien pouvoir faire, et si Albert survécut, Édouard y perdit une partie de son visage.

(Qui aurait cru que tant d’histoires qu’ils croyaient pourtant fictives puissent être en réalité être vraies ?)

3. Crack!Fic :

« Là aussi je suis étonnée qu’il soit pas sorti plus tôt celui-ci.

- Je ship pas August avec elle.

- Ouais ben tu ships Graham avec lui c’est mieux peut-être ?

- Oui certes mais c’est pour l’amour du drama !

- Avec toi c’est toujours la même excuse. »

4. First Time :

La première fois qu’il lui avait dit que, si il venait si souvent au Granny's, c’était pour la voir, elle avait trouvé cela tout simplement adorable.

5. Fluff :

Lorsqu’elle était en louve, la jeune femme avait une vue perçante, et elle pouvait le voir où qu’il se trouve.

Quand elle disait qu’elle retrouverait toujours, c’était au sens littéral.

6. Humor :

« Je devrais l’embrasser.

- Non, vous ne devriez surtout pas faire ça. Ce ne serait vraiment pas bien. Si quelqu'un m’embrassait sans me demander la permission, prince ou pas prince, je lui collerais un coup de poing dans le nez. »

« Alors je proteste hein ! Parce que autant oui, Ruby est Petra à 100 %, mais August c’est pas le prince !

- Ce serait qui le prince, James ?

- Nan, James c’est un connard, le prince il est juste con.

- Donc August, c’est le chasseur ?

- Non le chasseur c’est Graham.

- Ouais mais Graham est mort.

- Pas faux… Okay August est le chasseur !

- Cette phrase est très bizarre à dire. »

7. Hurt/Comfort :

Il se souvenait de la jeune femme qu’il avait connu autrefois lorsqu’il était encore enfant, et il avait envie de pleurer.

Comment Regina avait-elle pu oser lui faire oublier à quel point elle était merveilleuse, quelle guerrière et amie extraordinaire elle était en réalité ?

(Il pleurait parfois, pour elle mais aussi pour tous les autres.)

8. Family :

Un père qu’il avait déçu, une mère qu’elle avait été forcée de tuer.

Ils n’avaient jamais vraiment eu de chance avec leurs familles.

9. Love :

Il s’attendait à beaucoup de choses en arrivant à Storybrooke, mais certainement pas à tomber amoureux.

Ce n’était pas comme si il pensait le mériter après tout.

Chapter Text

1. Angst :

En un sens, Zelena relativisait un peu sa situation avec Regina en regardant la relation de Mary et Edith.

Regina, elle, au moins, n’avait jamais su qu’elle existait avant qu’elle n’apparaisse dans sa vie alors que les deux sœurs, elles, s’étaient presque toujours faits la guerre.

Même si au final, des deux côtés, il y avait des blessures qui ne cicatriseraient sans doute jamais.

2. AU :

Mary pourrait se moquer du béguin qu’a clairement Edith pour la nouvelle venue, mais elle ne le fera pas, pas cette fois.

Parce que sa sœur mérite d’être heureuse, et qu’elle se refuse de tout gâcher une fois de plus.

Alors qu’elle échange un regard avec Regina, elle réalise qu’elles sont sur la même longueur d’onde.

Qui a dit qu’elles ne pouvaient pas être entremetteuses ?

3. Crack!Fic :

« Tu vas devenir la spécialiste des ships crossovers toi.

- Ah parce que c’est pas déjà le cas ?

- Certes. »

4. First Time :

Mary aurait sans doute dit que c’était une mauvaise idée, qu’elle était trop bien pour elle, mais Edith n’en avait que faire pour une fois.

Qui se soucie de ce qu’elle pense ?

Alors pour la première fois, elle avait pris son courage à deux mains et avait demandé à la sorcière de sortir avec elle.

(Elle avait dit oui, bien sûr.)

5. Fluff :

Là où les gens l’avaient regardé avec peur et horreur autrefois lorsqu’elle faisait de la magie, il n’y avait que de la fascination dans les yeux de Edith dans ces moments-là.

Zelena se sentait encore plus tomber amoureuse d’elle.

6. Humor :

« Tu veux ramener tout le monde dans ce foutu arbre généalogique c’est ça ?

- Oh flûte d’abord ! »

7. Hurt/Comfort :

Zelena connaissait tout comme Edith le déchirement de risquer d’être séparée de son enfant, mais les circonstances étaient différentes.

Elle, elle avait menti à Robin, elle l’avait manipulé, elle l’avait utilisé pour avoir ce qu’elle voulait, alors que Edith n’avait fait de mal à personne en tombant enceinte.

Lorsque la noble lui confiait ses craintes de ne pas être une bonne mère, la sorcière la rassurait en lui assurant que Marigold n’aurait pas pu rêver d’une meilleure mère qu’elle, et puis elle l’embrassait, et le joli sourire de Edith faisait enfin sa réapparition.

8. Family :

Elles étaient si semblables en un sens, l’autre fille, qui n’était pas aussi bien que l’autre ou les autres, toujours mise de côté.

Zelena admirait sincèrement Edith pour avoir toujours réussi à aimer sa famille et à les pardonner.

Peut-être était-ce tout simplement parce que au moins, sa famille, malgré tous ses torts, ne l’avait jamais abandonnée, et l’aimait sincèrement.

La sorcière aurait aimé connaître ça, elle aurait voulu que sa mère la choisisse elle plutôt que sa propre réussite.

9. Love :

Elle avait cru que l’amour lui serait interdit après la mort d’Hadès.

Et puis il y avait la fusion entre les mondes, et elle était tombée sur cette noble anglaise venant d’une réalité alternative et elle avait senti son cœur s’envoler.

Peut-être n’était-il pas trop tard après tout.

Chapter Text

1. Angst :

Des cœurs arrachés par centaines puis réduits en cendre…

Oh par tous les démons de l’enfer, pourquoi fallait-il que Petra tombe toujours sur des reines folles ou des méchantes reines ?

2. AU :

Oh, comme ça avait été facile de battre cette petite sorcière buveuse de sang qui au final n’avait pas tant de pouvoirs que cela.

La reine fut certaine d’entendre l’imperceptible écho de ses cris de rage alors qu’elle la détruisait.

Et cela lui fit du bien.

Petra aurait sans doute dû avoir peur d’elle, tout comme elle avait eu peur de Belle, et pourtant, tout ce qu’elle ressentait c’était de la fascination.

Elle n’aurait pas dû, vraiment.

3. Crack!Fic :

« Tu vas nous la shipper qu’avec des reines qui tuent des gens cette pauvre Petra, c’est ça ?

- C’est une possibilité en effet. »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait vue, Petra avait eu le souffle coupé, face à la reine Regina, vêtue d’une de ses robes noires, élégante, magnifique comme à son habitude.

Belle était belle, c’était certain, mais elle, elle était tout simplement sublime.

5. Fluff :

Regina aurait pu sombrer dans la haine après la mort de Daniel, mais elle avait eu Petra à ses côtés, et ça avait fait toute la différence.

6. Humor :

« Ce ship n’a aucun sens, même si t’essayais d’établir un lien logique en mode Regina c’est Lilith, ben elle rencontre jamais Petra.

- Ouais mais y a la thématique contes de fée en commun donc on va dire que ça compte. »

7. Hurt/Comfort :

Pour elle la malédiction de Regina avait été une bénédiction, parce qu’elle avait pu oublier, oublier le sang, les morts, la folie dans les yeux de Belle, elle avait pu oublier la Bête, elle avait pu oublier qu’elle avait toujours envie de hurler alors qu’elle repensait à celle qu’elle avait tant aimé.

Et puis le sort avait été brisé et elle s’était souvenue, et c’était Regina qui l’avait aidée à reconstituer tous les morceaux de son être brisé.

8. Family :

Sa grand-mère ne la reverrait plus jamais, mais ça n’avait pas la moindre importance, parce que le royaume avait été sauvé, et que Rumplestiltskin allait enfin être réuni avec ce qu’il lui restait de famille.

Regina ne pouvait s’empêcher d’admirer une telle abnégation, elle qui avait autrefois tué son père pour avoir sa vengeance.

9. Love :

C’était si facile d’aimer Petra, dans ce monde où personne ne savait qui elle était réellement, où personne ne voyait tout le sang qu’elle avait encore sur les mains, c’était si facile d’être heureuse.

C’était si facile qu’elle en avait parfois honte.

Chapter Text

1. Angst :

Frédéric ne se réveillerait pas, il ne se réveillerait jamais.

Alors, pour qu’un autre véritable amour ne disparaisse pas lui non plus, la princesse avait décidé d’accompagner le prince et de se battre pour lui et Blanche-Neige.

Elle ne serait plus jamais heureuse, mais ça ne voulait pas dire qu’ils n’avaient pas le droit de l’être.

2. AU :

« Alors, comment se porte le véritable amour ? Lança la mairesse à l’institutrice avec un air ravi, savourant sa victoire. »

Oh, si Regina avait su qu’en réalité ils n’avaient pas choisi les mensonges et les tromperies, mais plutôt l’amour, elle n’y aurait sans doute pas cru, et Mary-Margaret garda sa joie pour elle.

Un jour viendrait où ils pourraient vivre heureux ensemble tous les trois, au grand jour.

3. Crack!Fic :

« Et Jim dans tout ça ?

- Qui ça ?

- Jim. Frédéric. Tu sais son mec, son prince.

- Ah ! On s’en fout ?

- On s’en fout. »

4. First Time :

Alors qu’elle rencontrait Blanche-Neige et David pour la première fois, Abigail réalisa qu’elle n’avait jamais rencontré de personnes aussi gentilles.

Elle n’y était définitivement pas habituée.

5. Fluff :

Ce qu’ils avaient ensemble, ni Regina ni Georges ne pourraient le leur enlever, et ce malgré les guerres, les combats, les mensonges, les trahisons, et les malédictions, et l’oubli.

Ils se retrouveraient.

Ils se retrouveraient toujours.

6. Humor :

« Sinon, fit le roi Georges, j’ai une autre solution pour régler ce problème de mariage.

- Laquelle ? Lui demanda son fils adoptif avec méfiance.

- Épouse les deux ! Comme ça après on part en guerre contre Regina, Blanche-Neige récupère son royaume et tout est réglé ! Deux reines pour le prix d’une, c’est plus que ce que j’aurais jamais espéré !

- Vous êtes sérieux père ?

- Totalement ! Maintenant dis oui sinon je lance mes gardes à tes trousses si jamais tu arrives à t’enfuir. »

7. Hurt/Comfort :

Après avoir passé des années à batailler contre sa belle-mère pour enfin avoir le droit d’être heureuse avec le prince et la princesse qu’elle aimait, voilà qu’elle les perdait à nouveau, en même temps que sa fille.

Quand ce cauchemar s’arrêterait-il ?

8. Family :

D’accord, donc ses parents étaient la princesse Blanche-Neige et le prince Charmant, et en plus ils vivaient en trouple avec la princesse Abigail.

Emma avait simplement haussé les épaules en l’apprenant, pas plus déphasée que cela.

Elle commençait à s’habituer aux trucs bizarres dans sa famille.

9. Love :

Kathryn n’était pas jalouse de Mary-Margaret, et elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi.

Elle aimait David, ça, elle en était persuadée, mais elle ressentait également quelque chose pour l’institutrice, et ça aussi c’était de l’amour, et ce n’était pas normal.

Pas vrai ?

Chapter Text

Ygritte enrageait.

Ce n’était pas censé se passer comme ça.

Elle étouffa avec difficulté un hurlement de douleur, pourquoi avait-il fallu qu’elle se prenne une flèche au juste ?

Pourquoi avait-il fallu que ce soit pile dans une de ses ailes ?

La fée se retint à grand peine de hurler, Opale, Agathe et Ambre lui avaient bien dit que ça risquait d’arriver un jour ou l’autre, que personne n’était invulnérable aux blessures, mais elle avait cru…

Elle avait espéré que ça ne lui arriverait pas, pas à elle.

Elle avait eu bien tort, et alors qu’elle continuait de voler avec difficulté, elle tâcha également de retirer la flèche en question, sans succès.

Elle ne parvint à faire que quelques mètres de plus avant de perdre connaissance.

Et tout devint noir.

§§§§

Les fées qui tombent du ciel, ça, Jon devait le reconnaître, ce n’était pas le genre de chose qui se voyait tous les jours.

Lui qui pourtant se battait sur le champ de bataille depuis déjà plusieurs années, il n’avait jamais vu ça de sa vie, une fée blessée qui plus est, surtout que ce genre de blessure n’était vraiment pas joli à voir.

Il n’était pas un mestre, mais son ami Sam lui avait enseigné deux trois trucs autrefois, et le jeune homme espérait pouvoir réussir à mettre en pratique ce qu’il lui avait appris.

Lorsque la jeune femme se réveilla plusieurs heures plus tard, il constata qu’il ne s’en était pas trop mal sorti.

Elle lui jeta un regard surpris.

« Comment est-ce que tu m’as trouvée ?

- Tu es tombée du ciel.

- Ah oui c’est vrai, marmonna-t-elle, j’avais oublié ça…

Elle essaya de se lever, avant de laisser échapper un cri de douleur.

- Et apparemment j’ai oublié ça aussi, ajouta-t-elle avec lassitude.

- Je ne ferais pas ça si j’étais toi, lui dit-il, je pense que tu vas devoir te reposer pendant encore quelques jours avant de pouvoir repartir.

- Merveilleux… Je m’appelle Ygritte.

Il lui sourit.

- Jon Snow. »

Elle se laissa retomber sur le lit.

Tout ce qu’elle espérait, c’est que les jours suivants ne seraient pas ennuyeux à mourir.

Chapter Text

Éléonora ne rêve jamais.

Ou plutôt, c’est ce qu’elle se dit à elle-même, c’est ce qu’elle croit, et elle le pense sincèrement, c’est vrai, elle ne rêve pas, elle ne rêve jamais.

Ou du moins, elle ne se souvient pas.

C’est facile de ne pas se souvenir, parce que les rêves s’évanouissent dans l’air dès le réveil, comme si rien ne s’était passé, comme si toutes ces visions qu’elle avait la nuit n’avaient jamais existé, comme si…

La vérité, c’est que la nuit, elle rêve, oui, mais elle ne se souvient pas, parce que la vérité serait, oh, bien trop douloureuse si elle se souvenait, et parce que ses rêves n’ont aucun sens.

Ses rêves sont faits de contes de fée, de princesses et de preux chevaliers, de héros et d’héroïnes, dans ses rêves, les gens manient des épées et lancent des sortilèges et se battent contre des méchantes sorcières.

Dans ses rêves, les paroles de la petite Lucy deviennent réalité et le livre de Henry s’anime sous ses yeux, dans ses rêves elle est une sorcière forte et courageuse et non une simple avocate.

La nuit, lorsqu’elle rêve, c’est le seul moment où elle se souvient de qui elle est réellement.

Et alors, Éléonora Cassidy se souvient fugitivement qu’elle est en réalité Morgane.

Puis le matin arrive et tout s’efface, encore une fois.

Chapter Text

1. Angst :

Petra voyait les marques sur le corps d’Inej, et dans ces moments-là, la rage s’emparait d’elle, et tout ce qu’elle voulait faire, c’était réduire la Ménagerie en cendres, et s’emparer de son arbalète afin d’enfoncer un de ses carreaux dans la gorge de Tante Heleen.

C’était tout ce que cette garce méritait pour avoir fait du mal à celle qu’elle aimait.

2. AU :

Inej pensait connaître l’horreur et les ténèbres, celles de la Ménagerie, celle du Darkling et de tant d’autres, mais alors qu’elle vit la reine Belle couverte de sang, riant d’un rire hystérique, elle réalisa que finalement, elle n’avait jamais réellement rencontré de monstre avant cela.

Quand elle croisa le regard de Petra, elle sut qu’elles avaient eu toutes les deux la même pensée.

3. Crack!Fic :

« Hein ? Attends cette fois t’as aucune excuse, c’est pas AO3, ni le cerveau d’un autre auteur, ou même un cap ou pas cap alors pourquoi ?

- Elles sont badass et je les aime.

- Avec ce genre d’excuse, tu pourrais justifier un peu n’importe quoi.

- Et j’ai un crush sur elles.

- Ouais enfin ça compte pas, tu crush sur les trois quarts des meufs de Contes des royaumes.

- En même temps y a de quoi ! Et puis zut alors. »

4. First Time :

La première fois qu’elles s’embrassent, c’est après leur victoire, et que Belle s’endort pour cent ans pour la deuxième fois.

Elles seront seules, certes, mais au moins, elles le seront ensemble.

5. Fluff :

Ketterdam était une ville sombre et triste, où régnait le désespoir, mais au sein de cette ville, il y avait quelques lumières au cœur des ténèbres.

Et une de ses lumières, pour Petra, s’appelait Inej Ghafa.

6. Humor :

Le vin n’est jamais une solution. Bois plutôt du lait.

« Hum…

- Quoi ?

- Tu veux appliquer cette citation à qui ? Aucune des deux ne boit l’un ou l’autre à ma connaissance.

- On s’en fout ?

- Ouah quel sens de la répartie incroyable, je suis bluffée.

- La ferme avec tes sarcasmes. »

7. Hurt/Comfort :

Petra savait bien qu’elle n’oublierait jamais ce qu’elle avait vu, Belle, buvant du sang, et la gorge tranchée des pauvres filles qui ne se réveilleraient jamais, aussi, lorsque Inej la serrait dans ses bras et qu’elle pouvait y pleurer, tandis que la suli lui assurait que tout irait bien, elle ne s’en privait pas.

Un jour, peut-être, pourrait-elle enfin oublier.

8. Family :

Lorsque la grand-mère de Petra était morte, elle avait cru qu’elle n’aurait plus jamais d’autre famille.

Et puis Inej et les corbeaux l’avaient accueillie, et tout avait changé.

9. Love :

La capitaine Inej Ghafa s’était attendue à beaucoup de choses en partant explorer les mers, mais certainement pas à se retrouver dans cet étrange monde où elle avait rencontré cette jeune femme vêtue de rouge et armée d’une arbalète, et encore moins à en tomber amoureuse.

Et pourtant, c’était arrivé.

Chapter Text

1. Angst :

Deux jeunes femmes blondes liées à la magie et douées pour le combat, tombées toutes les deux amoureuses d’une méchante qui avait l’intention de les tuer.

À croire que l’Histoire se répétait toujours d’un monde à l’autre.

2. AU :

En un sens, songea Adora en découvrant Emma et Storybrooke, elles avaient toutes les deux eu des destins semblables, venant chacune d’un monde différent de celui où elles avaient grandi, destinées à un destin extraordinaire sans en avoir conscience.

Emma, elle, au moins, avait pu retrouver ses parents à la fin.

Adora n’avait pas eu cette chance.

3. Crack!Fic :

« Si tu me dis que tu ship parce que ce sont deux guerrières badass supposées sauver leur monde de la destruction et des ténèbres, je te jure que je t’étrangle.

- … Elles sont toutes les deux tombées amoureuses d’une méchante qui a fini par revenir du bon côté ?

- Le SwanQueen c’est pas canon tu sais.

- On peut toujours rêver. »

4. First Time :

La première fois qu’elles se rencontrent n’a rien de simple, Emma n’étant pas du genre à faire confiance facilement aux gens, qui plus est quand il s’agit de personnes venant d’un autre monde (la force de l’habitude) dont elle ne sait rien.

Adora s’empresse de franchir tous les murs bâtis autour d’elle et lui vole son cœur dans le processus.

5. Fluff :

Un pique-nique, une danse et un baiser.

Oh, Emma l’admettait volontiers, Brightmoon était un endroit merveilleux, et Adora ne le rendait que plus magnifique encore par sa simple présence.

6. Humor :

«  Et là Adora et Emma couvrent Rumplestiltskin de paillettes, et…

- Angie, tu l’as déjà faite celle-là.

- Et zut. Mais c’est parce que troller Rumplestiltskin c’est la vie !

- On est d’accord. »

7. Hurt/Comfort :

Alors que la réalité se disloque et que leurs mémoires se fracturent de plus en plus, Emma ne peut que serrer Adora dans ses bras tandis qu’elle tremble.

Elle aussi elle sait ce que ça fait de ne plus savoir qui on est vraiment et de perdre la mémoire.

8. Family :

Emma n’avait pas eu de famille, pas réellement, avant de retrouver la sienne à Storybrooke.

Maintenant, avec Adora et les amis de celle-ci, elle en avait une deuxième.

9. Love :

E l le avait aimé Graham, puis il était mort dans ses bras, elle avait aimé Neal, mais il l’avait trahi, elle avait aimé Walsh, mais il s’ était transformé en singe volant.

Alo rs, à chaque fois qu’Adora l’embrassait ou lui disait qu’elle l’aimait, elle avait envie de croire que ça pourrait durer.

Chapter Text

1. Angst :

Daniel et Robin pour l’une, François pour l’autre…

A croire qu’elles étaient toutes les deux destinées à voir mourir l’homme qu’elles aimaient.

2. AU :

Regina commençait à avoir l’habitude des malédictions amenant des personnes étranges à Storybrooke, mais tout de même, Mary Stuart ?

Ça, c’était inattendu.

3. Crack!Fic :

« Alors Angie ?

- Pourquoi je dois toujours me justifier ?

- Parce que c’est ta seule idée de crack-fic ?

- Pas faux…

- Donc ?

- Euh… J’avais un cap ou pas cap et je me suis dit, pourquoi pas elles ?

- Mouais… »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait vue, Mary n’avait vu en elle qu’une autre reine.

Elle n’avait pas vu toute la noirceur qu’elle recelait, parce qu’elle ne savait pas qui elle était et c’était bien assez rare pour être souligné.

5. Fluff :

Que ce soit la Forêt Enchantée ou le vingt-et-unième siècle, Mary ne pouvait s’empêcher d’être émerveillée par tout ce qu’elle voyait, et Regina ne pouvait s’empêcher de trouver ça adorable.

Ça la faisait encore plus tomber amoureuse d’elle.

6. Humor :

« Avoue, t’as choisi ce ship uniquement parce que l’actrice de Javotte et de Mary Stuart sont les mêmes et que tu ships le StepQueen.

- C’est soit ça soit « elles sont toutes les deux reines » et j’ai utilisé cet argument là trop de fois. Ou le drama, et c’est pareil là aussi.

- Y a aussi « elles sont supra sexy et t’as carrément un crush sur elles ».

- Aussi oui. »

7. Hurt/Comfort :

Quand Regina l’embrassait, Mary n’oubliait pas tout ce qu’elle avait perdu, François mourant devant elle, tout ce qu’elle avait souffert avant ou après mais au moins elle pouvait se réfugier dans ses bras et savoir qu’elle n’était plus seule.

8. Family :

« L’arbre généalogique de Henry est pas assez compliqué comme ça et tu veux en plus rajouter une reine de France dans le bordel ?

- Hey, on est plus à ça près. »

9. Love :

Ça n’avait pas été facile, de retomber amoureuses, après toutes les pertes qu’elles avaient subies, et pourtant, elles y étaient arrivées.

Comme quoi, tout était possible.

Chapter Text

1. Angst :

Alors qu’elle découvrait ce que ce prince de malheur avait fait à sa bien-aimée, qu’il l’avait plongée dans un sommeil éternel dont on ne pouvait la réveiller qu’avec un baiser, Emma avait senti son cœur se serrer.

À croire que l’histoire se répétait toujours.

2. AU :

Lorsqu’elle avait été emportée par la malédiction des sorcières du sabbat et qu’elle était arrivée à Hyperion Heights en oubliant qui elle était, Emma Swan s’attendait à beaucoup de choses mais certainement pas à tomber amoureuse d’une version alternative de Blanche-Neige, issue d’un autre univers, et donc d’une femme qui avait le même prénom et presque la même histoire que sa mère.

À croire que l’univers avait trouvé une nouvelle manière de se foutre de sa gueule.

3. Crack!Fic :

« ANGIE ?

- Quoi ?

- DEPUIS QUAND TU TE METS A L’INCESTE TOI ?

- Ouah, t’as plusieurs fics de retard toi.

- Ne détourne pas la question, tu veux ?

- Bah écoute, elles ont le même âge, et puis durant la malédiction elles savaient pas qui elles étaient l’une pour l’autre, donc ça passe, et on peut faire un truc dark, drama et malsain si ça se passe durant le final de la saison 4 donc oui j’assume.

- Oui mais quant même, tu…

- Non mais t’as pas compris que je te trolle depuis le début ?

- Je m’appelle pas Rumplestiltskin je te signale ! Et euh, comment ça ?

- Ben c’est Blanche-Neige oui. Mais pas celle de Once Upon A Time. C’est celle de Contes des royaumes.

- …

- Voilà quoi…

- …

- …

- Je te déteste, tu le sais ça ?

- Ouais, moi aussi. »

4. First Time :

C’était lorsqu’elle avait vu Emma combattre pour la première fois que Blanche-Neige avait compris que finalement, les chevaliers en armure braves et nobles existaient peut-être.

Même si ils n’avaient pas toujours d’armure.

5. Fluff :

En se réfugiant dans le monde des histoires inachevées, la princesse n’avait voulu qu’oublier son triste passé.

Alors qu’elle atterrissait à Storybrooke et rencontrait une femme blonde adorable qui semblait décidée à l’aider, elle se dit que cette fois, elle n’aurait peut-être pas à fuir.

6. Humor :

Comme son arrière-grand-mère avait coutume de le dire, une femme avisée ne s’entoure jamais d’assez de magie.

«  Alors oui mais non, ça s’applique à Lilith à la base, pas à Blanche-Neige, et pas à Emma non plus.

- Oui ben flûte alors ! »

7. Hurt/Comfort :

Emma savait qu’elle ne pouvait pas faire oublier à Blanche-Neige la trahison de Lilith, ou celle du prince, ou même la mort de son père, mais elle pouvait toujours essayer.

8. Family :

«  Dans cette configuration, Blanche-Neige est à la fois la grand-mère et la belle-mère de Henry, même si c’est pas la même personne…

- Ouais, si le cerveau de ce gosse n’explose pas, je comprends pas. »

9. Love :

Trouver l’amour dans un univers de contes de fée si semblable à celui dans lequel elle était née, ça, Emma ne s’y attendait pas, mais quand elle avait croisé le regard de cette brune aux yeux violets, elle avait su immédiatement qu’elle ne pouvait qu’en tomber amoureuse.

Chapter Text

1. Angst :

Eleanor est morte.

Max ne savait pas qui elle voulait faire payer en premier pour ça, mais elle le savait déjà, elle aurait sa vengeance.

2. AU :

Elles étaient parties finalement, et elles avaient fui ensemble, et surtout, elles étaient heureuses.

N’était-ce pas suffisant ?

3. Crack!Fic :

« …

- Alors, tu râles pas aujourd'hui ?

- DU FEMSLASH CANON YOUHOU !

- Mais avec du drama.

- Écoute, y a peut-être du drama mais au moins c’est canon dès le premier épisode. Moi ça me suffit. »

4. First Time :

La première fois qu’elle l’avait vue, Max avait su, elle avait su qu’elle la voulait, qu’elle voulait la garder pour elle, qu’elle ne voulait pas être qu’une prostituée parmi d’autres, et qu’elle ferait tout pour que Eleanor reste avec elle.

(Au final, c’était elle qui était partie.)

5. Fluff :

Ce n’était que quand elle était dans les bras de Eleanor ou que celle-ci l’embrassait que Max oubliait pleinement tout ce qui n’allait pas dans sa vie.

6. Humor :

«  Et Anne ?

- Oui bon ben j’avais le choix entre deux ships pour commencer, donc c’était soit Max/Anne, soit Max/Eleanor et ben j’ai choisi le deuxième.

- Trouple sinon ?

- Ah ah non la série l’a déjà plus ou moins fait avec le Max/Anne/Jack.

- De quoi ?

- Trop compliqué à expliquer. »

7. Hurt/Comfort :

Peut-être était-ce Eleanor qui avait eu raison de ne pas vouloir partir, ou peut-être était-ce Max qui ne s’était pas trompée , peut-être…

Max ne le saurait sans doute jamais, et c’était probablement ça qui lui faisait le plus mal.

8. Family :

Eleanor aurait voulu pouvoir suivre Max, suivre ses rêves, partir avec elle, être heureuse avec elle, fonder une famille à ses côtes, si elles l’avaient pu, mais elle n’avait pas pu le faire.

Elle avait choisi de rester à Nassau à la place.

(Et puis Nassau avait fini par la tuer.)

9. Love :

Elle aimait Anne, mais elle avait aimé Eleanor aussi, autrefois, avant que leur relation ne se délite et ne se brise en mille morceaux.

Et elle ne l’oublierait jamais.

Chapter Text

1. Angst :

La mère de Jack était morte en le mettant au monde, alors que le père de Henry, lui, était mort alors que son propre fils ne se souvenait pas de lui à ce moment-là.

À croire que leurs familles respectives étaient maudites.

2. AU :

Jack était lui-même quelqu’un à part, mais qu’il devienne ami avec un gamin issu de personnages de contes de fée, qui était lui-même l’Auteur et donc pourvu de pouvoir magiques, c’était…

Non, en fait, c’était parfaitement prévisible.

3. Crack!Fic :

« C’est… improbable en tout cas.

- Te plains pas, là ils sont en duos.

- Ah parce que ça rend les choses moins improbables peut-être ?

- Pas vraiment effectivement. »

4. First Time :

La première fois qu’ils s’étaient rencontrés, c’était lors d’une chasse.

Hey les monstres existaient aussi dans la Forêt Enchantée !

5. Fluff :

« En fait tu les as choisis juste parce que ce sont des gamins choupis ?

- Ouais. Et à cause du cap ou pas cap.

- Hum. C’est valide. »

6. Humor :

«  Me fais pas le coup de faire semblant de confondre les deux Jack et d’être en mode « ah ben tiens je croyais que tu le shippais avec Henry lui ? » s’il te plaît.

- Oui ben de toute façon le Jack de OUAT version saison 7, globalement tout le monde s’en fout à part moi alors…

- Ouais pas faux. »

7. Hurt/Comfort :

Henry Mills, auteur et habitant de Hyperion Heights, en avait rencontré des gens bizarres dans sa vie, mais quelqu’un qui prétendait être un nephilim ?

Ça, ce n’était jamais arrivé.

(Il ne voyait pas la vérité dans les yeux de Jack, de même que sa détresse, tout ce qu’il voyait, lui, pauvre amnésique maudit, c’était la folie.)

8. Family :

«  Mon père biologique est Lucifer, autrement dit, le diable, et j’ai été élevé par un ange et deux chasseurs.

- Oh moi ma mère est la Sauveuse, mes grands-parents sont Blanche-Neige et le prince Charmant, et mon beau-père c’est le capitaine Crochet.

- Je vois qu’on est fait s pour s’entendre. »

9. Love :

Dans le monde de Henry, le véritable amour réglait la plupart des problèmes, et Jack aurait aimé qu’il en soit de même dans le sien.

Chapter Text

1. Angst :

Olenna avait perdu son fils et deux de ses petits-enfants, alors que Violet, elle, avait dû dire adieu à sa chère Sibylle, sa pauvre petite-fille.

La jeunesse s’envolait avant eux, et avec eux, leurs cœurs se brisaient sans espoir de réparation.

2. AU :

La maison Crawley, nouvellement installée à Westeros, détonnait un peu parmi eux, mais Olenna était sure d’une chose, c’est que cette lady Violet était à part des autres.

Et donc forcément, elle lui plaisait.

3. Crack!Fic :

« Alors ?

- Hé ben si avec ça Loras et Thomas Barrow se pécho pas, je comprends plus rien.

- Almayen l’a déjà fait.

- Oui mais c’est Almayen, elle a toujours de bonnes idées. »

4. First Time :

Westeros est un monde dangereux, cruel, de feu et de sang, et ce fut en le réalisant que Violet comprit pour la première fois à quel point Olenna était forte.

Parce qu’elle y avait survécu.

5. Fluff :

L’Angleterre n’était pas un endroit parfait, mais en comparaison aux Sept Couronnes, il était bien mieux, et Violet se faisait une joie de le faire découvrir de toutes les manières possibles à la noble rose.

6. Humor :

«  Pas de citation aujourd’hui ?

- C’est pas vraiment des univers de contes de fée en fait.

- C’est-à-dire que t’as fait un crossover entre deux trucs qui n’ont rien à voir, t’es plus à ça près.

- Mouais… Enfin c’est surtout que je galère sur les ships crossovers, surtout quand je maîtrise pas l’un des deux fandoms.

- Tu devrais arrêter d’accepter tout et n’importe quoi en cap ou pas cap.

- Ce serait oublier que mon masochisme n’a quasiment pas de limites.

- Et merde. »

7. Hurt/Comfort :

La rose plie mais ne se rompt pas et ce n’est que lorsqu’elle est en présence de la comtesse douairière que Olenna s’autorise finalement à le faire.

Parce que Violet savait, au moins en partie, quel effet cela faisait de perdre sa descendance.

8. Family :

En apprenant la mort de lady Olenna Tyrell, Violet l’admet, elle s’effondre, pas seulement parce que tout une famille s’éteint avec elle, mais aussi parce qu’elle perd encore quelqu’un qui lui était cher.

9. Love :

Elle avait aimé Kuragin, et ça n’avait pas duré.

Maintenant, elle aimait Olenna, mais celle-ci était morte .

Pourquoi fallait-il qu’elle soit à ce point-là maudite en amour ?

Chapter Text

1. Angst :

La douleur dans leur jambe leur rappelait à tous les deux une chose : que le monde avait voulu les sous-estimer, les avait crus faibles, faciles à détruire, et qu’il s’en était mordu les doigts pour ça.

2. AU :

Il était son fils, et pourtant, il l’avait abandonné, même si c’était bien malgré lui, il l’avait laissé tomber dans ce portail qui l’avait mené tout droit à Ketterdam, au Barrel et dans les bas-fonds.

C’était un accident, mais ça ne changeait rien au fait que Rumplestiltskin ne pouvait pas effacer tout ce qu’il s’était passé après, tout ce que Kaz avait subi, tout ce qu’il avait perdu.

Alors qu’il le recroisait finalement des années après, qu’il le retrouvait enfin, le Ténébreux ne put s’empêcher de tressaillir en réalisant que le jeune homme arborait lui aussi une canne désormais.

Tel père, tel fils.

3. Crack!Fic :

« Alors…

- Oui ben j’étais à court d’idées, Almayen m’a proposé le duo, j’avais un cap ou pas cap en lien, alors c’est parti !

- Après, une canne, un cerveau criminel, un but caché en lien avec la famille, cinq coups d’avances à chaque fois et douze plans à la minute ? Je valide le duo !

- Pour une fois…

- Oh la ferme. »

4. First Time :

Bien qu’il soit sans pouvoirs, Rumplestiltskin avait définitivement eu l’impression de trouver un égal en la personne de Kaz Brekker, après tout, on ne rencontrait pas un tel esprit brillant tous les jours.

5. Fluff :

Le sorcier se reconnaissait bien trop en lui, et à chaque fois qu’il le voyait se rapprocher d’Inej ou des autres corbeaux, il ne pouvait s’empêcher d’en être satisfait.

Le bâtard du Barrel méritait d’être heureux.

6. Humor :

Oh, il faut toujours vérifier la marchandise avant de payer, ma belle.

«  J’avoue que je saurais pas à qui attribuer la citation, elle marche pour les deux.

- Rumple aurait dit très chère à la place de ma belle.

- Et Kaz ?

- Il aurait rien mis. C’est Kaz après tout.

- Pas faux. »

7. Hurt/Comfort :

Lorsque Kaz avait voulu faire un marché avec lui, Rumple avait refusé.

Il était peut-être coutumier du fait d’utiliser des âmes désespérées pour son propre profit, mais pas cette fois, pas alors qu’il avait promis de changer.

Il l’avait aidé dans son entreprise malgré tout, et le voir détruire Pekka Rollins brique par brique avait été très satisfaisant.

8. Family :

Rumplestiltskin n’avait pas pu sauver son fils, et Kaz avait été incapable de sauver son frère également.

Leur famille n’était plus, et ce n’était que plus tard, bien plus tard, qu’ils avaient pu en construire une toute nouvelle sur de différentes bases.

9. Love :

Ils avaient vécu des années en étant persuadés que l’amour n’était pas pour eux.

Puis Inej et Belle étaient arrivées, et tout avait changé.

Chapter Text

1. Angst :

Sansa était une reine, elle aussi, tout comme l’avait été Belle, une reine aux cheveux de feu, rouges comme le sang, et Petra savait qu’elle n’aurait pas dû les comparer toutes les deux, parce que Sansa ne méritait pas ça, pas après toutes les horreurs qu’elle avait endurées aux mains de monstres sans pitié, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher.

Au moins, elle avait la certitude que la louve ne deviendrait jamais comme cette reine folle qu’elle avait autrefois tant aimée.

2. AU :

En fuyant à Storybrooke, loin de Westeros, Sansa avait fui un monde cruel et froid, elle ne s’attendait pas du tout à rencontrer une jeune femme nommée Petra qui faisait exactement la même chose qu’elle, mais en venant d’un autre univers que le sien.

Au moins, elles pouvaient se comprendre.

3. Crack!Fic :

« Question.

- Oui ?

- Tu comptes ne shipper Sansa qu’avec des nanas dans tes crossovers ?

- Ouais.

- Ah… Ça a le mérite d’être clair.

- Ben en même temps je fais déjà ça de base dans Game of Thrones donc autant continuer. Et puis c’est un peu le principe du cap ou pas cap.

- Il a bon dos le cap ou pas cap.

- Flûte, d’accord ? »

4. First Time :

Manquer de se faire toucher par un carreau d’arbalète, on voyait mieux comme première rencontre, mais Sansa n’en aurait changé pour rien au monde, pas alors que celle-ci lui avait montré à quel point la jeune femme était forte et combative.

5. Fluff :

Sansa ne s’attendait pas à redécouvrir un jour les joies simples des batailles de boules de neige à Winterfell, pas après tout ce qui s’était passé, et puis Petra lui en avait lancé une avec un sourire malicieux, et elle avait eu l’impression d’avoir douze ans à nouveau.

Pour une fois, elle avait pu s’amuser sans penser à toutes ses nouvelles responsabilités et c’était grâce à elle.

6. Humor :

Folle d’inquiétude, elle lâcha tout pour se précipiter à l’intérieur.

«  Ah ! Je savais bien que j’arriverais à en recaser une un jour de façon logique !

- Angie…

- Quoi ? C’est bien une citation qui s’applique à Petra non ? Si ma mémoire de Dory ne me trahit pas.

- T’as la flemme de vérifier c’est ça ?

- Ouais…

- Admettons que ce soit vrai, y a aucun contexte à cette citation, et comment elle lie Sansa et Petra au juste ?

- Laissons les gens s’imaginer ce qu’ils veulent.

- T’es vraiment pas possible…

- C’est pas nouveau ça  »

7. Hurt/Comfort :

Petra n’avait jamais vécu des horreurs comme celle s qu’avait traversées Sansa, mais elle avait vu les monstruosités qu’avait faites Belle, et à défaut de comprendre, elle savait à quel point elle avait souffert.

Et elle serait toujours là pour elle.

C’était une promesse.

8. Family :

Sansa avait toujours cette lueur triste dans le regard quand elle parlait de sa famille perdue, de sa meute réduite en lambeaux, et Petra se souvenait de sa grand-mère qu’elle avait laissée derrière et son cœur à elle aussi saignait.

Au moins, elle l’avait réunie avec Rumplestiltskin, c’était déjà ça.

9. Love :

Une louve et une femme liée aux loups, elles ne pouvaient que s’aimer.

Chapter Text

Ils étaient tous les deux des prisonniers en un sens.

Prisonniers du livre bien sûr, prisonniers d’une histoire qui n’était pas vraiment la leur, ou du moins une version déformée de ce qu’elle avait été ou aurait pu être, prisonniers d’un Auteur qui se prenait pour Dieu, jouant avec la vie des autres.

Prisonniers d’une vie mensongère, et de souvenirs modifiés, tronqués, faux, prisonniers d’une identité qu’ils ne pouvaient pas fuir.

Parce que, sans Sauveuse, comment auraient-ils pu parvenir à se sortir de là ?

Personne ne pouvait les sauver maintenant.

À part une sorcière revenue à la vie, un ancien enfant perdu, et un enfant au cœur du plus pur des croyants.

Mais puisqu’ils ne se souvenaient pas, comment auraient-ils pu le savoir ?

Ils étaient des prisonniers, l’un prisonnier d’un navire qu’il ne pouvait pas quitter, prisonnier de sa peur, de sa lâcheté et d’un capitaine qui le terrorisait, et l’autre prisonnière d’une tour qu’elle se devait de garder, geôlière de sa propre mère.

Le pirate qui avait oublié qu’il était courageux, et la dragonne qui avait oublié comment voler.

Ils n’étaient pas censés se croiser.

Le destin en avait décidé autrement.

§§§§

Elle ne se souvenait pas d’autre chose en dehors de la tour.

Elle ne se souvenait pas de son enfance, elle ne se souvenait que de son devoir, que de sa loyauté envers la reine, sa reine, Blanche-Neige, et si d’aventure le regard triste de la femme enfermée dans la cellule la transperçait, même à travers les barreaux de sa cellule, ça n’avait pas d’importance.

(Elle ne se souvenait pas de sa haine, de sa rancœur, de son désir de vengeance mêlé à celui de retrouver sa mère, elle ne se souvenait pas de cette jeune fille blonde qui était devenue son amie et qu’elle avait perdue puis retrouvée.

Elle ne se souvenait plus des ténèbres qui s’agitaient en elle autrefois.)

Elle était Lily et elle était une soldate.

Rien de plus.

§§§§

Il ne se souvenait pas d’une époque de sa vie où il n’avait pas eu peur.

Où la terreur n’avait pas constitué son quotidien, comme elle le faisait, tous les jours depuis que son frère était mort et où rien d’autre ne comptait pour lui à part survivre.

(Rumplestiltskin avait fait de lui une autre version du lâche qu’il avait été autrefois, celui qui avait fui la guerre, il avait fait de son ennemi un autre lui.

Il ne se souvenait pas lui non plus, il ne se souvenait pas de sa haine contre le Ténébreux, de son propre désir de vengeance qui peu à peu avait fini par disparaître.

Il ne se souvenait de rien.)

Il était Killian Jones, il était un pirate et il était un lâche.

Rien de plus.

§§§§

Le monde était sans dessus dessous.

Il y avait une Ténébreuse qui terrorisait tout le monde, et ce n’était pas Rumplestiltskin.

Il y avait une méchante reine haïe de tous, et ce n’était pas Regina.

Peut-être qu’une part d’eux-même savait que quelque chose n’était pas normal, peut-être qu’intérieurement, au fond d’eux-même, leurs vrais eux hurlaient, sans pouvoir être entendus.

Peut-être.

Mais quelle importance ?

Plus rien ne comptait désormais.

Ils ne se souvenaient pas après tout.

§§§§

La première fois qu’il était venu à la tour, Killian n’avait pas fait attention à la soldate qui gardait la prisonnière.

Il était là parce que Barbe-Noire devait y rencontrer la reine Blanche-Neige, rien de plus et quand la souveraine avait posé son regard sur lui, il n’avait pu s’empêcher de frissonner, tandis que, sous son crâne, quelque chose grattait, semblant lui murmurer que quelque chose n’était pas normal.

Il ne l’avait pas écouté, bien sûr, ou du moins pas longtemps.

Pas assez pour que ça fasse la différence.

§§§§

La deuxième fois, il était venu seul, parce qu’il le pouvait, parce que sa vie était vide de tout et qu’il n’avait rien de mieux à faire, et il avait vu le visage de Lily, sans son casque de soldate, et étrangement, il avait le sentiment de l’avoir déjà vue quelque part.

Il se souvenait aussi d’autre choses en la voyant, des choses qui… n’avaient pas le moindre sens.

(Storybrooke, il voyait Storybrooke.

Et puis tout s’effaçait, comme d’habitude.

Tout disparaissait toujours.

À part la douleur et la migraine qui menaçait de faire exploser son crâne à chaque fois que ça arrivait.)

§§§§

La troisième fois, elle lui avait parlé.

Elle avait vu la détresse et la douleur dans son regard, et elle avait eu l’impression de se regarder dans une glace, son esprit se disloquait chaque jour un peu plus, leur monde ne faisait pas sens, et ils ne pouvaient rien y faire.

Ils avaient discuté, et elle avait eu encore plus le sentiment que tout était en train de se briser, de s’écrouler, de se fissurer.

Et qu’elle aussi elle tombait avec tout le reste, comme eux tous.

Parfois elle croisait le regard de Maléfique et ne comprenait pas pourquoi elle lui semblait tellement familière.

Elle avait aussi le sentiment que quelque chose allait bientôt se passer, mais sans savoir quoi.

Et perdue dans cet océan d’incertitude, où ses seuls points d’ancrage étaient une reine qui n’en avait rien à faire d’elle et une prisonnière à laquelle elle ne devait pas s’attacher, elle avait fait la seule chose qu’elle pouvait faire pour ne pas sombrer.

Elle s’était agrippée au pirate, parce qu’ils étaient tous les deux aussi désespérés l’un que l’autre.

§§§§

La quatrième fois, ils s’étaient embrassés.

Ce n’était pas de l’amour, et ça n’en serait jamais, mais au moins, c’était quelque chose, une chose que personne ne pouvait leur arracher.

Lily ne savait plus si c’était elle ou lui, ou les deux, qui en avaient eu l’initiative, mais c’était arrivé, et elle qui n’arrivait plus à se souvenir, ou du moins qui ne pouvait qu’avoir mal au crâne quand elle essayait, pour une fois, elle avait réussi à oublier sans souffrir.

Elle voulait se souvenir et elle voulait oublier, quel drôle de paradoxe.

Lui aussi le voulait, elle le savait, elle le sentait, parce que pour l’instant, ils ne pouvaient pas…

Ils ne pouvaient pas changer les choses.

Ils ne pouvaient qu’oublier puisque se souvenir était impossible.

Ils voulaient oublier.

Et se perdre dans les bras de l’autre semblait être la meilleure solution.

Ce n’est que plus tard, bien plus tard qu’ils finiraient enfin par comprendre.

Et par se souvenir.

Chapter Text

1. Angst :

Il avait détesté Peter Pan pour l’avoir enlevé.

Et puis, plus tard, bien plus tard, alors qu’il kidnappait à son tour son propre fils, il apprit qu’il s’agissait de son grand-père.

Il ne l’en haït qu’encore plus.

Pourquoi fallait-il que ce soit les membres de sa famille qui le trahissent toujours ?

2. AU :

Ça avait été si facile de le corrompre finalement, grâce à la magie noire, ça avait été si simple de modeler son esprit d’enfant de quatorze ans à son image, de le briser en mille morceaux, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien.

Oh, et comme ça avait été jouissif de voir le regard horrifié de Rumplestiltskin lorsqu’il était revenu au Pays Imaginaire pour y chercher son fils et qu’il n’avait trouvé qu’un pantin au service de Peter Pan.

Il est à moi maintenant, pensa-t-il alors que son fils mesurait pleinement tout ce que son père lui avait pris.

3. Crack!Fic :

« Hey Pan !

Alors que le sorcier immortel se retournait, une jeune femme lui envoya son poing en plein visage.

- Salut moi c’est Angie, dit-elle, et ça, c’est pour ce que t’as fait à Rumplestiltskin, à Baelfire, à Killian, à Henry, à Liam, à… à tout le monde en fait. T’es un connard et je t’aime pas. Maintenant tu m’excuseras mais je me casse, je vais sauver ton petit-fils. Adieu. »

Il resta figé sur place, incrédule.

Qu’est-ce qu’il venait de se passer ?

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait vu, avant même qu’il ne l’enlève à Rumplestiltskin, la part de lui-même qui était encore Malcolm avait ressenti quelque chose qui s’apparentait peut-être à de l’amour, pendant quelques secondes.

Il avait vite chassé cette sensation.

Un enfant ne pouvait pas avoir d’enfant.

Il ne pouvait donc pas avoir de petit-enfant non plus, alors Baelfire n’était pas son petit-fils à ses yeux, juste un outil qu’il pouvait utiliser pour son propre profit.

5. Fluff :

Fiona aurait aimé cet enfant, et si Peter Pan avait encore été un peu Malcolm, peut-être que ça aurait compté, mais il ne l’était plus, alors bien évidemment, ça n’avait pas la moindre importance.

6. Humor :

«  Baelfire… je suis ton grand-père.

- Mais t’as mon âge !

- Ta gueule c’est magique.

- Tu parles d’une excuse. »

7. Hurt/Comfort :

Peter Pan avait été son cauchemar, cela, Neal ne pouvait pas le nier, mais ici et maintenant, des siècles plus tard, dans le monde sans magie où il n’était plus Baelfire, il pouvait essayer de l’oublier, grâce à Emma.

Il ne l’oublierait jamais, mais chaque sourire de la blonde le lui faisait presque croire, au moins durant un instant.

8. Family :

Ils auraient pu être une famille.

Ils auraient pu, ils auraient dû l’être, réalisa Neal, à Storybrooke, des siècles après son enfance dans la Forêt Enchantée, alors qu’il apprenait grâce à son père tout ce qui avait déchiré leur famille en un millier de petits morceaux.

Et si ils avaient tous fait des erreurs, si certains avaient été plus monstrueux que d’autres, Baelfire en avait désormais la certitude.

C’était Peter Pan, Malcolm, son grand-père, qui avait absolument tout commencé, c’était lui qui, le premier, leur avait tourné le dos, c’était lui qui avait délibérément abandonné la famille qu’il était censé aimer.

C’était l’une des nombreuses choses pour lesquelles l’ancien enfant perdu refuserait à jamais de le pardonner.

9. Love :

Il aurait pu l’aimer dans un autre monde, il aurait pu être le grand-père aimant, affectionné et protecteur qu’il méritait , il aurait pu ne pas être un monstre.

Mais ils n’étaient pas dans un autre monde.

Chapter Text

1. Angst :

Alors qu’il hurlait de douleur à s’en déchirer la gorge, Theon Greyjoy réalisa soudainement l’atroce et implacable vérité.

Personne ne viendrait le sauver.

Il aurait vraiment dû écouter Yara.

2. AU :

Kaz Brekker aurait pu ne pas les aider, mais il y avait une telle flamme dans les yeux de Yara, une telle rage de vaincre, une telle haine, un si fort désir de vengeance contre Ramsay Bolton, l’homme qui lui avait pris son frère et l’avait brisé, qu’il sentit son indifférence habituelle vaciller.

Il avait perdu Jordie autrefois, des années plus tôt.

Il ferait tout pour que Yara ne perde pas Theon, qu’elle parvienne à le faire redevenir lui-même, si du moins c’était possible.

3. Crack!Fic :

« Comment ça se fait que tu fasses ce duo que maintenant ?

- J’y avais pas pensé c’est tout. Et tu sais quoi ?

- Quoi ?

- La vérité, c’est que je sais même pas si je l’ai fait ou pas, si ça se trouve c’est le cas, mais je m’en souviens pas, et j’ai la flemme de vérifier si je l’ai écrit ou pas.

- Espèce de Dory va.

- Ouais je sais. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait revue, sans savoir qui elle était, elle avait joué de ses charmes avec lui pour arriver à ses fins, pour savoir ce que son frère était devenu au fil des ans, et lui, il était tombé tout droit dans son piège.

Quel idiot il avait été.

5. Fluff :

Theon n’avait pas beaucoup de souvenirs heureux de son enfance à Pyk, mais il avait sa mère au moins, et Yara.

C’était déjà quelque chose.

6. Humor :

Tu as vraiment l’art de te compliquer la vie. Allez, ouvre cette porte.

«  Contexte ?

- Yara qui engueule Theon parce qu’il ne fait pas un truc ?

- C’est valide. »

7. Hurt/Comfort :

Parfois, quand la douleur que lui infligeait Ramsay était beaucoup trop douloureuse pour pouvoir être supportée, Theon se réfugiait en lui-même, dans ses souvenirs, pour demeurer un fer-né et ne pas devenir Schlingue.

Dans ses souvenirs, Yara était toujours là, et malgré l’improbabilité que cela se produise, il ne pouvait s’empêcher d’espérer qu’elle vienne le sauver un jour.

8. Family :

Il avait le cœur déchiré entre deux familles, mais il était sûr d’une chose, c’était qu’il voudrait toujours que Yara en fasse partie.

9. Love :

Son frère était agaçant, arrogant, insupportable, et pourtant…

Elle l’aimait de tout son cœur.

Chapter Text

1. Angst :

Il avait aimé Ben et pourtant celui-ci n’avait rien fait d’autre que se servir de lui, se moquant bien de ses états d’âmes et de ses sentiments.

Comment pouvait-il oser espérer que Nick soit un tant soit peu différent ?

2. AU [UA CDR] :

« Le sort. Tu as brisé le sort.

- Je m’en fous. Embrasse-moi encore. »

Et souriant, Charlie s’exécuta aussitôt, comprenant alors qu’effectivement la sorcière avait eu raison à son sujet.

C’était Nick son véritable amour, et pas ce prince de pacotille nommé Ben.

3. Crack!Fic :

« Oui un couple gay canon !

- On dit merci Merlin et le tirage de la roulette, il aurait pas pu tomber sur un truc plus canon que ça.

- Ouais et là j’ai vraiment besoin d’écrire un truc qui soit gay et canonique, genre là tout de suite.

- Encore frustrée que le Supercorp ne soit jamais devenu canon, c’est ça ?

- … Ouais putain.

- Bref, histoire de passer au dessus de ça, vive Nick et Charlie !

- Voui. »

4. First Time :

Il s’était juré de ne pas retomber dans ce genre de piège après Ben, mais Nick était tellement… Nick, qu’il n’avait pas pu faire autrement.

Pour la première fois pourtant, il avait vraiment envie d’y croire.

5. Fluff :

Pouvoir prendre sa main, ou l’embrasser, l’appeler son petit-ami, au moins dans sa tête à défaut de pouvoir encore le faire en public, c’était peu de choses en théorie, mais pour lui, c’était absolument tout, et c’était bien plus que ce qu’il avait jamais eu, alors Charlie en profitait le plus possible.

6. Humor :

«  Des idées pour le thème humour ?

- Ben… t’as déjà grillé l’option citation de CDR en fait, donc pas vraiment…

- Ah. Moi en plus je le maîtrise pas ce fandom.

- Ouais…

- Thème suivant ?

- On est d’accord. »

7. Hurt/Comfort :

Nick aurait dû savoir, il aurait dû comprendre que ça tournerait mal parce que ses soi-disant amis étaient des cons, et maintenant Charlie était blessé et triste .

Quel idiot il avait été vraiment.

8. Family :

Sa mère savait qu’il aimait Charlie, et savoir qu’elle l’acceptait tel qu’il était le rendait tellement heureux.

9. Love :

Ils s’aimaient, évidemment.

C’était d’une telle évidence maintenant qu’ils le savaient.

Chapter Text

Sans doute avaient-ils été beaucoup trop confiants.

C’était une évidence, maintenant qu’elle y pensait deux secondes, ils auraient dû comprendre, ils auraient dû prévoir que ça allait arriver, ou du moins que cela risquait de se produire, et qu’avec Crochet en liberté, ils ne seraient jamais réellement en paix.

Y compris la nuit même où Rumplestiltskin avait décidé de partir pour New York chercher son fils, et il avait cru qu’il était en sécurité, qu’il était tout puissant, invulnérable, qu’absolument rien ne pouvait le blesser, il avait sa magie après tout, et son immortalité.

Comme il avait été arrogant et elle n’avait pas été mieux que lui, à croire que tout se passerait bien alors que le danger rôdait et que leurs ennemis étaient toujours là.

Elle se serait attendu à ce que le coup vienne de Cora, ou de Regina, c’étaient elles les sorcières après tout, les seules à pouvoir rivaliser avec le Ténébreux.

Jamais elle n’aurait pensé que ce serait le pirate qui les attaquerait, pas après sa défaite cuisante survenue quelques heures plus tôt.

Pas alors qu’il ne pouvait pas blesser le sorcier, pas à Storybrooke en tout cas, pas de façon durable, et c’était justement là où le bas blessait, parce qu’ils n’avaient pas pris en compte la frontière.

Celle qui les séparait du monde sans magie, l’endroit où il n’avait plus de pouvoirs, où il pouvait être vulnérable, être blessé, et comment bon sang, comment n’avaient-ils pas pu penser à ça ?

Ils avaient pensé qu’il ne savait pas, qu’il n’était pas courant, que rien n’arriverait, et puis, et puis…

Et puis un coup de feu avait retenti et ce n’était pas Belle qui avait été touchée, non, peut-être que ça aurait dû être elle, ou peut-être qu’en réalité c’était un geste parfaitement délibéré de la part de Killian Jones, mais au final ça ne changeait absolument rien du tout.

Ce n’était pas tant le coup de feu en lui-même le problème, que ses effets et ses conséquences, et Belle hurla de surprise et de terreur alors que le Ténébreux hurlait également, mais de douleur, avant de basculer de l’autre côté de la frontière puis de s’écrouler sur le sol, et il y avait du sang, tellement de sang, et surtout…

« Rumple ? Rumplestiltskin, est-ce que ça va ?

Ce ne fut qu’en le regardant plus attentivement et en voyant l’air confus sur son visage quand il se releva quelques secondes plus tard qu’elle comprit soudainement ce qui venait de se passer.

C’était elle qui avait dans sa main le vêtement qui était supposé lui permettre de conserver ses souvenirs en quittant Storybrooke, et il avait franchi la frontière, et si il ne le portait pas, alors ça voulait dire… ça voulait forcément dire que…

Oh non.

Il avait perdu la mémoire.

D’un seul coup, la balle, sa blessure au bras, tout cela, ça ne comptait presque plus, d’ailleurs, quand il fit quelques pas et rejoignit la ville, cette dernière disparut immédiatement en même temps que sa douleur, toutes ses douleurs, y compris celle à la jambe, et ses yeux s’écarquillèrent de stupéfaction, tandis que Belle retenait ses larmes à grand-peine.

Parce que actuellement, l’homme qu’elle aimait la regardait comme si elle n’était rien de plus qu’une inconnue, et c’était le cas parce que, parce que…

Parce qu’il n’avait plus aucun souvenir de qui elle était, ou même de ce qu’elle pouvait représenter pour lui.

- Qui êtes-vous ? Lança-t-il d’une voix froide, redevenu monsieur Gold, l’antiquaire. Que vient-il de se passer exactement ? Et qui est ce… ce Rumplestiltskin ? »

Maintenant, c’était lui qui était un étranger pour elle.

Non loin de là, le pirate éclata de rire.

Chapter Text

1. Angst :

Elle était sa mère, et pourtant elle l’avait abandonnée à son sort, toute seule dans les bois, sans une hésitation et sans se retourner.

Elle avait eu raison sur au moins un point, le monde était un endroit cruel et elle ne pourrait jamais compter que sur elle-même pour réussir.

2. AU :

Avant, elle aurait renvoyé sans la moindre hésitation Zelena chez elle, à Oz, loin de la Forêt Enchantée, mais elle avait vu la façon dont son père adoptif la traitait, qui la renvoyait à sa propre enfance, et elle n’eut pas le courage de le faire.

Les choses étaient différentes désormais, elle était une princesse, elle avait du pouvoir, elle était une puissante sorcière, et puisque Henry ne voyait aucun inconvénient à ce que Regina ait une nouvelle compagne de jeu…

De toute façon, personne n’avait besoin de savoir qui était réellement Zelena pas vrai ?

(Et si jamais qui que ce soit l’apprenait en dehors de sa famille, elle pouvait toujours leur effacer la mémoire.)

3. Crack!Fic :

« Je suis honnêtement étonnée que tu n’ai pas traité ce duo plus tôt.

- Ouais moi aussi mais cette série a tellement de personnages aussi que je peux pas penser à tout faire.

- C’est beau de voir qu’après environ deux cents micro-fics et quelques t’en découvres encore que t’as pas fait.

- Yep. »

4. First Time :

La première fois que Zelena rencontre pour de bon sa mère, celle-ci est déjà morte.

C’est définitif, l’univers la déteste.

5. Fluff :

Les souvenirs d’un passé où elle et Regina ne se détestaient pas encore, c’est le seul cadeau que Cora lui ait jamais fait de toute sa vie, et Zelena aurait vraiment aimé que ça se passe autrement, mais ça ne l’empêcha pas d’être touchée par ce présent.

6. Humor :

«  Elle a ruiné la vie de Regina en étant là, et elle a réussi à faire pareil à Zelena en n’étant pas là… Bon là c’est clair, Cora concourt pour la première place dans la catégorie des pires mères de OUAT, on est d’accord ?

- Un peu oui. »

7. Hurt/Comfort :

Là où elle n’aurait éprouvé que de la glace et de l’indifférence en étant mise face à la fille qu’elle avait abandonnée, Cora, maintenant qu’elle avait à nouveau son cœur, ressentit de la tristesse et des remords en réalisant tout ce que Zelena avait enduré par sa faute.

La mort, ça craignait vachement quant même.

8. Family :

Parfois, Cora se surprenait à rêver d’un autre monde, où elle aurait gardé son cœur, Zelena, où elle aurait eu une famille unie et soudée, aimante, et pas le pouvoir.

Puis elle écartait cette pensée d’un revers de la main, ce n’était qu’un rêve après tout.

Alors que le pouvoir, lui, était bien réel.

9. Love/ Hate :

L’amour est une faiblesse .

Alors qu’elle contemplait le corps sans vie d’Hadès, Zelena se fit que finalement sa mère n’avait pas eu tort à ce sujet.

Chapter Text

1. Angst :

Alors que le sort de glace d’Ingrid les frappe et les renvoie tous les deux à l’inconscience, ils ont à peine le temps de penser à quoi que ce soit mais une pensée les traverse tous les deux.

L’espoir que l’autre s’en sortira.

2. AU :

Entre les parents d’Anna, sa grande sœur Elsa et sa tante Ingrid et leurs pouvoirs magiques, oui, sa famille était proprement terrifiante, mais bon ils voulaient juste s’assurer qu’il était digne d’elle.

Il pouvait comprendre ça.

3. Crack!Fic :

« Et eux tu ne les avais pas faits en micro-fic parce que…

- J’ai oublié ?

- …

- Oui bon ça va la saison 4 ça doit être une de celles que j’aime le moins avec la 5 donc ouais j’ai pas écrit sur beaucoup de persos ou de ships issus de cette saison, donc oui je les ais légèrement oubliés et la roulette m’a rappelé que j’avais pas écrit sur eux donc ça va là c’est fait.

- Espèce de Dory va.

- La ferme. »

4. First Time :

La première fois qu’ils avaient été confrontés à une télévision avait été une expérience particulière, mais surtout la première fois qu’ils avaient vu leur film, La Reine des neiges, ça avait été encore plus bizarre.

Pourquoi est-ce que leurs versions animées avaient vécu pratiquement exactement les mêmes choses qu’eux ?

Et pourquoi est-ce qu’ils passaient leur temps à chanter aussi ?

5. Fluff :

Il avait eu peur, bien sûr, quand Anna était partie pour la Forêt Enchantée, parce qu’elle s’en allait pour un lieu inconnu et qu’il n’aurait pas de nouvelles d’elle pendant une éternité et aussi parce qu’il pouvait lui arriver n’importe quoi là-bas.

Mais il lui faisait confiance pour s’en sortir toute seule, elle était forte et courageuse, elle était sa princesse.

Et il savait très bien qu’elle finirait par lui revenir saine et sauve.

6. Humor :

«  Alors ?

- Hé ben je confirme que j’ai effectivement globalement aucune idées sur eux en fait.

- Ah ouais.

- Le plus marrant d’ailleurs c’est qu’à côté avec un ship ou un duo qui sort de nulle part par contre, j’aurais absolument aucun problème à trouver.

- Oupsi. »

7. Hurt/Comfort :

Il ne pense pas ce qu’il dit , essaya-t-elle de se persuader alors que, touché par le sortilège aux mille éclats d’Ingrid, il lui assenait des mots douloureux qui la tranchaient et la lacéraient de part en part sans qu’elle y puisse grand-chose.

Mais elle savait déjà qu’elle se berçait d’illusions, que tout ce qu’il lui disait, il le pensait, parce que le sort ne faisait qu’amplifier les sentiments négatifs, il ne créait rien qui n’existait pas déjà à la base.

Ce ne fut que lorsque Kristoff la serra dans ses bras une fois la malédiction brisée qu’elle sut que c’était terminé, enfin, et que tout irait bien à partir de là.

8. Family :

C e ne fut que lorsque Anna et Elsa furent enfin réunies que Kristoff eut le sentiment que leur famille était complète pour de bon.

9. Love/ Hate :

Ça avait été si difficile de se rappeler qu’il aimait Anna lorsqu’il était sous l’emprise du sortilège.

Maintenant il se souvenait, et il se demandait comment il avait pu faire pour ne serait-ce que l’oublier une seule seconde.

Chapter Text

1. Angst :

Elle était là, elle était morte, et lui en un sens il était déjà mort lui aussi parce qu’elle n’était plus là, parce que l’amour de sa vie lui avait été cruellement enlevé.

Et tout était de sa faute.

2. AU [UA Modern] :

Thomas qui faisait ses premiers pas, le soleil qui brillait dans le ciel, et Helen qui lui souriait avec amour et tendresse…

John n’aurait pas pu imaginer une meilleure vie que celle qu’il avait.

3. Crack!Fic :

« Angie ?

- Quoi ?

- Pourquoi est-ce qu’il y a un vampire dans la fic au juste ?

- Oh ça ? C’est rien, c’est juste Adam de Abraham Lincoln, chasseur de vampires.

- Et ?

- Et ben Amande le ship avec Helen, donc ben il est là quoi, parce que j’avais envie en fait.

- Mais tu l’as vu le film au moins ?

- Nope pas du tout, mais Amande ship et ce texte c’est son cadeau donc ici Adam et Helen sont ensemble et heureux et puis voilà. Et Adam ?

- Quoi ?

- Essaie de pas trop être un boulet d’accord ?

- Oui madame.

- Bien. Parce que bon Helen mérite quant même. »

4. First Time :

La première fois qu’il l’avait vue, il avait été subjugué, elle était si belle, si magnifique.

Des années après, il la trouvait toujours aussi superbe, et il l’aimait toujours autant, d’un amour aussi fort qu’au premier jour.

5. Fluff :

Parfois, Helen oubliait, au moins pendant un instant, dans quel genre de monde elle vivait.

Elle avait John avec elle après tout, qu’elle aimait plus que tout, qui mieux que lui pour lui faire retrouver le sourire et la rendre heureuse quelques soient les circonstances ?

6. Humor :

«  Et là euh… ben j’avoue que j’ai rien qui me vient.

- Vraiment ?

- Ben déjà je suis pas super douée pour l’humour mais en plus ce fandom c’est pas le truc le plus joyeux qui soit alors oui je sèche un peu franchement. »

7. Hurt/Comfort :

Elle les voyait de plus en plus s’éloigner l’un de l’autre depuis que Thomas était mort, et elle aurait aimé qu’ils puissent se rapprocher à nouveau, mais elle était incapable de faire quoi que ce soit en ce sens, parce que la douleur lui faisait beaucoup trop mal.

Et ça lui brisait le cœur.

8. Family :

Au milieu de la noirceur et de l’horreur du Reich, sa famille, Helen, Thomas, Jennifer et Amy, étaient pour lui des phares dans la nuit qu’il était prêt à protéger à tout prix.

Sans eux, il se serait très certainement écroulé depuis longtemps.

9. Love/ Hate :

Dans un autre monde, ils étaient heureux, ils s’aimaient, tout allait bien, et ils n’avaient rien perdu.

Mais ils n’étaient pas dans un autre monde.

Chapter Text

1. Angst :

En un sens, se dit Henry alors qu’il apprenait ce qui était arrivé à Gideon, et qui l’avait enlevé, et surtout ce qu’il était devenu à cause de Fiona, lui et son oncle avaient connu des destins similaires.

Ils avaient tous les deux été kidnappés par leur grand-mère ou arrière-grand-père psychopathes qui n’avaient jamais eu d’autre dessein que de se servir d’eux pour leurs sombres projets.

À la différence près que Henry, lui, n’avait pas subi de lavage de cerveau contrairement au bébé devenu adulte.

Alors qu’il le voyait, et pensait à ce qui lui avait été arraché alors qu’il était encore innocent, l’auteur ne put s’empêcher de ressentir une impression d’immense gâchis.

2. AU :

Gideon était resté adulte après la bataille finale, et malgré le fait qu’il soit devenu adulte, il découvrait encore certaines choses de Storybrooke et du monde sans magie avec une certaine innocence franchement adorable.

Et Henry était toujours prêt à l’aider à rattraper tout ce qu’il avait bien pu rater, et faire en sorte qu’il oublie l’enfer qu’il avait vécu aux mains de Fiona.

3. Crack!Fic :

« Hé mais du coup ça veut dire que dans la saison 7, avec cette histoire de monde où le temps passe plus vite, Gideon et Henry ont maintenant approximativement le même âge ? Alors qu’ils ont plus d’une dizaine d’années de différence à la base.

- Ouais.

- L’espace temps c’est vraiment le bordel dans cette série en fait. »

4. First Time :

La première fois qu’il avait vu, Gideon n’était encore qu’un bébé inoffensif.

Comment Henry aurait-il pu prévoir que ce serait lui l’un de ceux à affronter durant la Bataille finale ?

5. Fluff :

Revoir Gideon bébé, c’était à chaque fois la preuve qu’ils avaient gagné, qu’ils avaient vaincu, et que le bien l’avait une fois de plus emporté.

Et puis de toute façon, son oncle était un bébé adorable qu’il adorait garder dès qu’il en avait l’occasion.

6. Humor :

«  Ma grand-mère m’a kidnappé et séquestré pendant vingt-huit ans.

- Mon arrière-grand-père a fait pareil même si c’était moins long et il a essayé de me tuer et il nous a maudits , ma grand-mère adoptive a essayé de tuer toute ma famille, ma mère adoptive et ma tante adoptive… aussi en fait.

- Ouah ça craint.

- Ouais. On devrait fonder l’ADETPLF. L’association des enfants traumatisés par leur famille.

- Je marche. »

7. Hurt/Comfort :

Les choses vont peut-être s'arranger, ne pouvait s’empêcher de penser Henry avec son optimisme habituel, après tout, ils étaient les héros, et la fée noire n’était qu’une ennemie de plus parmi tous ceux qu’ils avaient déjà dû affronter par le passé.

Mais, alors qu’il croisait le regard de Gideon, changé et façonné par son séjour dans le royaume des Ténèbres, il se surprit soudainement à douter.

8. Family :

D’ une certaine manière, Henry était presque heureux que son père ne soit plus là.

Ainsi, il n’avait pas à voir ce que la fée noire avait forcé son petit frère à devenir.

9. Love/ Hate :

Gideon ne détestait pas Emma, ça Henry le savait, non, au contraire, il l’admirait, parce qu’elle était la Sauveuse et il voulait suivre son exemple.

Alors dans ce cas-là, pourquoi essayait-il de la tuer ?

Ça n’avait aucun sens.

Chapter Text

Il y avait du vent ce jour-là et le bateau tanguait depuis déjà plusieurs heures.

Sansa n’y faisait même plus attention désormais, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus le mal de mer, vivre en tant que pirate endurcissait pas mal à ce sujet, elle en savait quelque chose désormais.

Ça faisait déjà cinq ans qu’elle vivait sur le Vent noir, depuis que sa famille avait été entièrement impitoyablement massacrée par Joffrey Baratheon.

Elle avait été la seule et unique survivante.

Elle avait fui, le cœur en morceaux, la rage au ventre, désespérée et seule, mais bien décidée à se venger.

Et elle avait rencontré Yara Greyjoy, la capitaine d’un vaisseau pirate, et si avant lorsqu’elle était encore Lady Stark, la fille de Eddard Stark, droite et intègre, elle aurait refusé de se joindre à son équipage, désormais, ça n’avait plus la moindre importance.

Si il y avait bien quelqu’un qui pouvait l’aider à retrouver son ennemi et à le faire payer pour ce qu’il lui avait fait, c’était bien elle.

Alors elle était restée, parce qu’elle n’avait pas d’autre choix, parce qu’elle ne voulait plus vivre dans la peur, parce que cette fois-ci, les rôles devaient s’inverser.

Cette fois, ce serait lui qui aurait peur.

Et elle avait réussi.

Après cinq ans de lutte acharnée et de chasse continuelle, elle avait retrouvé le roi des sept couronnes.

Et elle l’avait tué, lui avait tranché la gorge avec le poignard que Yara lui avait autrefois offert, elle avait vu son sang couler, elle l’avait regardé mourir sans broncher.

« Il est mort, se contenta-t-elle de dire à la fer-née avec un sourire satisfait sur les lèvres en remontant sur le vent noir. »

La pirate lui sourit avant de serrer sa main dans la sienne puis de l’embrasser.

« Je suis fière de toi Sansa. »

Oui, elle avait perdu toute sa famille dans cette histoire, et elle ne s’en remettrait jamais vraiment.

Mais au moins, elle avait trouvé quelqu’un qu’elle aimait et qui l’aimait.

Elle était heureuse.

Chapter Text

Elles n’avaient pas cours ce jour-là.

C’était suffisamment rare pour être souligné, et Sansa et Yara le savaient l’une comme l’autre, aussi, elles avaient bien l’intention de profiter de cette journée en la passant ensemble, seules et loin de tout.

Les dernières semaines ayant été assez stressantes avec leurs différents examens, elles avaient ressenti le besoin de rien faire du tout de la journée.

Et pour cela, Yara avait choisi un champ de fleurs.

La jeune fille n’aimait pas particulièrement les fleurs elle-même, si elle avait été seule elle serait sûrement allée à la plage pour voir la mer, mais elle savait à quel point sa petite-amie aimait les fleurs, aussi elle avait décidé de s’y rendre avec elle.

Et désormais, elles étaient là, allongées dans l’herbe, à regarder les nuages en se tenant la main, ne faisant rien à part parler, regarder le paysage ou s’embrasser.

Et aucune d’elles n’aurait voulu que ça se passe différemment.

Tout était pour le mieux.

Chapter Text

Dracarys.

Oh comme ce serait si simple de prononcer ce simple mot.

De tout réduire en cendres.

Après tout c’était bien ce que son père avait voulu faire autrefois, faire exploser Port-Réal à l’aide du feu grégeois, à défaut d’utiliser un dragon, un dragon semblable à celui sur lequel elle se trouvait en ce moment-même, et elle n’avait besoin que d’un seul mot, un seul, et tout serait fini, et elle aurait gagné.

Dracarys…

Elle aurait pu le faire, elle pouvait le faire, mais…

Mais son père avait voulu faire la même chose autrefois, et on l’avait surnommé le roi fou, et Jaime Lannister l’avait tué pour empêcher cela.

Si tu dois le faire, fais le maintenant, lui susurra intérieurement une voix qui ressemblait un peu trop à Viserys.

Ça ne lui donnait pas envie de l’écouter, parce qu’elle n’avait jamais voulu de la victoire de cette manière.

Et de toute façon, elle avait déjà gagné.

Pas vrai ?

Et elle ne voulait pas être la reine folle.

Je ne serai pas la reine des cendres.

Elle avait fait une promesse, et elle avait bien l’intention de la tenir.

Elle ne ferait pas ça, elle ne serait pas comme son père, ou comme tous les autres Targaryen qui avaient basculé dans la folie.

Elle, elle ferait le bon choix.

Elle fit demi-tour.

Sans regrets.

Chapter Text

1. Angst :

D’abord Raiponce, et maintenant Nell…

Pourquoi fallait-il toujours qu’elle brise le cœur, voire prenne la vie de celles qu’elle était pourtant supposée aimer ?

2. AU :

« Belle a tué Nell ? »

Le chasseur ne put empêcher l’incrédulité en plus de l’horreur de transparaître pleinement dans sa voix et dans ses mots alors qu’il apprenait la terrible vérité.

Il avait parlé avec la servante, pour en savoir plus sur le royaume et essayer de connaître le secret que les gens semblaient cacher, et il avait appris que la jeune femme et la reine étaient amantes depuis plusieurs mois, depuis avant que la souveraine ne soit maudite.

Alors dans ce cas-là, pourquoi l’avait-elle tuée ?

Ça n’avait aucun sens.

3. Crack!Fic :

« Euh, Angie…

- Quoi ?

- Tu sais que y a genre déjà un ship canon avec Nell ? Le Nell/Chasseur tu sais ?

- Oui je sais, mais bon c’était plus un coup d’un soir qu’autre chose, et je préfère le Cendrillon/Chasseur, je ship Belle avec beaucoup trop de personnages féminins donc autant en rajouter un de plus, j’aime le femslash, et ça fait plus de drama en plus donc voilà.

- Cette dernière réponse ne me surprend absolument pas.

- Ouais je sais. »

4. First Time :

La première fois qu’elle avait embrassé Belle avait été une erreur.

Maintenant, elle était sous son charme, amoureuse d’elle pour toujours, ensorcelée par sa magie, et quels que soient les horreurs qu’elle commettrait désormais, elle la suivrait toujours, serait toujours de son côté, sans jamais pouvoir s’enfuir ou même le vouloir.

Elle était sa prisonnière.

5. Fluff :

Belle était si lumineuse, si adorable, si pleine de vie, que c’était impossible de ne pas en tomber amoureuse, et Nell en faisait l’expérience chaque jour qui passait.

6. Humor :

«  Tu devrais arrêter de shipper Belle avec autant de gens franchement.

- Pourquoi ?

- Ben je sais pas parce qu’elle les tue à chaque fois ou presque dans tes fics ?

- C’est canoniquement une tueuse en fait.

- Pauvre persos quant même.

- Que veux-tu j’aime le drama, et ce fandom m’en offre sur un plateau d’argent avec ce perso. »

7. Hurt/Comfort :

Son père était mort, et Belle ne pouvait pas arrêter de pleurer, heureusement que Nell était là, à ses côtés pour la réconforter.

(Une chance aussi qu’elle ne se rappelle plus être la Bête, qu’elle ne sache plus que c’était elle sa meurtrière.)

8. Family :

Belle avait tué son propre père autrefois.

Peut-être Nell aurait-elle su quel genre de destin l’attendait si elle l’avait su.

9. Love/ Hate :

Elle l’avait aimée pourtant, elle l’avait aimée si fort.

Tout ce qu’elle avait récolté, c’était une dague en plein cœur.

Chapter Text

Le pire dans tout ça, c’était que c’était arrivé en public.

Si ça s’était passé chez eux, avec seulement eux deux dans la pièce, ou avec leur mère, Lex aurait grincé des dents bien sûr, ce serait probablement énervé et aurait ordonné à sa sœur de ne plus jamais oser prononcer son nom complet à voix haute.

Et l’incident aurait été vite oublié et personne n’aurait jamais rien su.

Oui mais…

Bien sûr, il avait fallu que les choses ne se passent pas du tout comme ça.

Il avait fallu qu’elle le dise devant tout le monde.

Il ne savait même plus exactement pourquoi elle s’était énervée, sans doute à cause des raisons habituelles, son plan pour dominer le monde tout en se faisant se passer pour une personne respectable.

Et là, Lena avait explosé, s’était énervée comme jamais.

« Lex espèce d'ordure Luthor ! S’était-elle alors exclamé, révélant au monde entier son nom véritable, son nom complet, le nom qu’il avait tenté de cacher durant toute sa vie. »

Hé ben c’était loupé.

Et ce fut comme ça que le monde sut enfin et à nouveau quel monstre Lex Luthor était vraiment et qu’il fut enfin arrêté pour de bon, ne pouvant plus faire chier le monde, ce qui n’est vraiment pas une grande perte.

Chapter Text

1. Angst :

Ce qui lui faisait le plus mal en un sens, ce n’était pas qu’elle l’ait utilisé pour son propre profit, non, en tant que pirate aux méthodes plus que discutables, il comprenait qu’elle se soit servie de lui pour s’échapper de la tour, non, ce n’était pas ça le problème.

Le problème c’était que non contente de l’avoir manipulé autrefois pour arriver à ses fins, aujourd'hui, elle revenait dans la tour dans le seul but de le punir et d’arracher à Alice le seul parent qu’elle avait jamais eu.

Et ça, c’était terriblement cruel.

2. AU :

Elle était restée dans la tour finalement, et elle avait abandonné sa vengeance aveugle elle aussi.

Elle était restée et ça avait fait toute la différence.

3. Crack!Fic :

« Encore un cas de « oh ben ça alors j’avais pas fait ce duo ? »

- Ouais. En même temps j’aime pas Gothel, donc bon… C’est pas très étonnant.

- Ça se comprend. »

4. First Time :

La première et unique nuit qu’ils avaient passé ensemble avait été basée sur un mensonge.

On faisait mieux comme départ de relation.

5. Fluff :

Il pensait rarement à Gothel.

Parfois, sa fille souriait et il se souvenait de la sorcière, et il se disait qu’au moins, elle lui avait permis de devenir père, et qu’il lui en était reconnaissant.

(Enfin ça, c’était avant qu’elle ne lui maudisse le cœur bien sûr.)

6. Humor :

« Parfois les choses arrivent parce qu'elles doivent arriver.

- Tu sais Gothel, pourrir la vie de Killian et d’Alice c’était pas vraiment nécessaire au bon déroulement des choses. Alors ta gueule. »

7. Hurt/Comfort :

«  Je suis désolé que tu ais perdu ta famille à cause des humains, lui dit un jour le pirate au cours des huit ans de combat que lui et les autres menèrent contre le sabbat des huit. Mais ça ne change rien au fait que je vais continuer à me battre contre toi, et pour ma fille. »

Sa mère s’était battue pour elle autrefois, et pourtant, ça n’avait rien changé.

Elle ne put s’empêcher de trouver ça beau pourtant.

8. Family :

Elle avait perdu sa mère, sa sœur, tous ceux qu’elle avait jamais aimés, alors peut-être qu’elle aurait dû comprendre, et se battre avec lui pour réussir à construire une famille, pour qu’ils élèvent ensemble cette petite fille qui n’avait rien demandé à personne, qu’à défaut de s’aimer ou d’être ensemble, ils aient quelque chose de réel .

Mais peut-être était-ce parce qu’elle avait déjà tout perdu une fois qu’elle n’avait peut-être pas eu envie de réitérer l’expérience.

Ou peut-être que sa haine de l’humanité l’aveuglait trop pour que cette possibilité ait jamais été une option pour elle.

Il ne saurait sûrement jamais.

9. Love/ Hate :

Il ne l’avait pas aimée, à l’époque où ils avaient couché ensemble dans la tour, cette nuit où ils avaient conçu Alice, et il ne l’avait pas non plus haïe lorsqu’elle était partie, abandonnant derrière elle sa propre fille.

Puis elle était revenue pour lui enlever tout ce qu’il s’était acharné à construire durant les dix dernières années précédentes et la haine avait à nouveau envahi son cœur pour la première fois depuis bien longtemps.

Chapter Text

Quand Alice se réveilla en sursaut et en hurlant cette nuit-là, Killian ne fut aucunement surpris.

Cela faisait déjà plusieurs semaines que la fillette de dix ans faisait toutes les nuits des cauchemars dans lesquels une femme blonde terrifiante aux yeux verts venait dans leur tour pour blesser son père, l’emmener loin d’elle et les séparer pour toujours.

C’était Gothel, ça, le pirate en avait l’absolue certitude, qui d’autre qu’elle aurait pu hanter les songes de la fille qu’elle avait abandonnée seule à son sort dix ans plus tôt alors que lui était resté et l’avait élevée ?

Ce n’était qu’un cauchemar, rien de plus, mais la terreur qu’il lisait chaque nuit dans les yeux de son enfant quand elle se réveillait lui était purement insupportable.

Aussi, il serra Alice dans ses bras, déposa un baiser sur son front avant de la bercer, la sentant encore trembler de peur contre lui.

« Je suis là mon étoile de mer, je ne vais nulle part, et tout va bien se passer je te le promets, jamais elle ne viendra pour nous faire de mal, je l’en empêcherai.

Il ne voyait pas encore comment il pourrait vaincre une sorcière à lui tout seul, mais il trouverait bien un moyen.

Elle hocha la tête avec peu d’assurance.

- Papa… Dit-elle finalement avec une petite voix. Est-ce que… tu peux rester avec moi jusqu’à ce que je m’endorme ? »

Il hocha la tête, acceptant immédiatement, et alors qu’elle se serrait contre lui, le serrant dans ses petits bras, et qu’il entendait sa respiration s’apaiser lentement, signe qu’elle s’endormait, il se fit une promesse.

Celle que jamais Gothel ne parvienne à ses fins, qu’elle ne réussisse pas à le séparer de son enfant, qu’elle ne gâche jamais leur vie à tous les deux.

Il protégerait sa fille de ce monstre qu’était sa mère.

Mais avant ça, il devait faire sortir Alice de la tour.

Il en faisait le serment.

Chapter Text

Il y avait des oreilles partout dans le Donjon Rouge.

Les courtisans et les nobles en général, les serviteurs, les gardes, les habitants de Port-Réal en général, mais tout cela n’était rien en comparaison à tous les espions qui peuplaient le palais, les petits oiseaux de Littlefinger, ceux de Varys, et il y avait aussi les siens auxquels Cersei ne faisait même pas vraiment réellement confiance, parce qu’ils pouvaient tout aussi bien se faire acheter par quelqu’un d’autre et la trahir.

Aussi, la discrétion et le silence étaient de mise, pour n’importe qui voulant garder un secret, et encore plus pour elle, la reine des sept couronnes, dont les faits et gestes étaient épiés en permanence.

Et si à Castral Roc, elle et son jumeau étaient relativement libres, ce n’était plus le cas désormais, et ce depuis longtemps, depuis qu’elle avait épousé Robert et que sa vie avait définitivement basculé.

Mais aujourd'hui, ça n’avait plus la moindre importance.

Parce que le roi était parti à la chasse, et que, pendant quelques heures, elle et Jaime allaient pouvoir se retrouver, seuls, ensemble, comme autrefois.

En se rendant près de la cascade, l’endroit où ils se retrouvaient quand ils étaient tous les deux libérés de leurs obligations, que personne d’autre ne connaissait, et qu’elle vit qu’il était là, l’attendant elle se mit à sourire, heureuse.

Puis elle se jeta dans les bras de Jaime, et l’embrassa enfin, se sentant heureuse pour la première fois depuis une éternité.

Chapter Text

1. Angst :

Il avait eu honte de son père, honte de sa mort, il avait eu honte parce qu’il les avait abandonnés, lui et sa mère au moment où ils avaient le plus besoin de lui, il avait eu honte parce qu’il avait eu une mort misérable, une mort d’ivrogne.

Et puis, des années plus tard, il avait appris la vérité sur la mort de son père, sur cet assassinat perpétué sur ordre du roi Georges, et David avait eu tout à coup honte d’avoir eu honte de son père alors que celui-là était mort pour avoir tenté de réparer leur famille brisée.

2. AU :

Killian Jones était un pirate et un tueur, un meurtrier, il avait du sang sur les mains, celui de gens qui lui avaient barré la route et ça incluait des innocents.

Il n’aurait pas dû hésiter avant de tuer cet homme.

Mais alors que Robert le suppliait de l’épargner en lui disant qu’il était à la recherche de son fils disparu, il se ravisa.

Il n’était pas père, mais il avait été abandonné autrefois.

Il aurait aimé que son père à lui se batte de la même manière pour lui et Liam autrefois.

Il ignora qu’ainsi, il allait changer la vie entière d’un petit garçon qu’il ne connaissait même pas.

3. Crack!Fic :

« Alors Angie, aujourd'hui, nouvel épisode de « oh ben j’avais oublié ce personnage et la roulette m’a rappelé son existence, ah ben tiens ça tombe bien je vais pouvoir écrire un truc ? »

- Non.

- Comment ça non ?

- J’ai pas oublié le perso, je m’en rappelais même très bien, même si j’ai vérifié sur le wikia juste pour être sure, mais je savais qui c’était oui, c’est pas ça du coup.

-Ah bon ?

- Ouais. C’est juste que je m’en fous du personnage en fait. C’est pas que je l’aime pas, ou même que je le déteste, non je m’en tape c’est tout. Alors oui son histoire avec ses fils est super tragique et drama, tout ça, mais enfin Robert en lui-même… J’en ai pas grand-chose à carrer.

- …

- Oui bon ben ça va, je peux pas m’attacher à tous les personnages tertiaires ou secondaires de OUAT quant même ! »

4. First Time :

Il faut que je sache.

Je vais devenir fou autrement.

Il fallait qu’il sache qui avait tué son père, ce n’était pas possible qu’il ne l’apprenne jamais, pas alors que pour la première fois depuis des décennies, il en venait à penser que son père n’était pas l’homme qu’il avait presque toujours vu en lui.

Quand il réalisa que le roi Georges était le responsable, il ne fut même pas surpris.

5. Fluff :

David, contrairement à lui, avait réussi à avoir ce qu’il n’avait jamais eu, une famille unie et heureuse et ce malgré les épreuves, l’adversité et les séparations cruelles infligées par les différents Sorts noirs.

Il était tellement fier de lui.

6. Humor :

«  Et donc en fait mon père n’est pas mort parce qu’il était ivre.

- Nope.

- Et si le roi Georges voulait bien qu’il meurt, en fait c’est Crochet qui l’a tué. Et je l’apprend juste avant le moment où il veut demander Emma en mariage. Pourquoi ?

- Parce que le drama.

- Oui ben le drama, le drama, ça va bien deux minutes, il y en a pas assez de drama dans la saison 6 entre Hyde! Evil Queen, les traumas d’Emma et les manigances de la fée noire et l’enlèvement de Gideon ?

- Va dire ça aux scénaristes.

- J’emmerde les scénaristes. »

7. Hurt/Comfort :

Ils avaient encore David avec eux, même si James n’était plus là, ils pouvaient encore être une famille, ou au moins essayer, c’était suffisant, ça aurait dû être suffisant, pas vrai ?

(Alors qu’il se noyait peu à peu dans l’alcool, Robert finit par se dire que ce n’était pas le cas.

Il aurait aimé pouvoir rester fort pour son petit garçon.)

8. Family :

Vivre avec ses deux fils en étant forcé de les voir mourir, ou bien n’en garder qu’un et en abandonnant l’autre, et accepter que sa famille ne soit plus jamais la même, que James parte de leurs vies et qu’ils agissent, lui et Ruth, comme si David avait toujours été le seul fils qu’ils avaient jamais eu.

Le choix que le forçait à faire le Ténébreux était d’une intolérable cruauté.

9. Love/ Hate :

Il avait aimé son père, vraiment, et puis celui-ci était devenu un fantôme qu’il n’avait pas pu sauver de lui-même.

Il aurait aimé ne pas avoir à faire ça, ne pas être obligé de détester l’homme qu’il était devenu.

Chapter Text

1. Angst :

Robyn était triste pour sa mère, bien sûr, après tout Zelena avait perdu l’homme qu’elle aimait, son véritable amour, et l’archère savait qu’elle aurait eu le cœur brisé si elle avait dû perdre Alice elle aussi, mais Hadès avait tué Robin, il avait tué son père.

Elle n’était pas sure qu’elle aurait accepté de vivre aux côtés d’un homme pareil.

2. AU :

Alors qu’il voyait Rose grandir, apprendre la magie à ses côtés et avec sa mère et sa tante, tout en apprenant le tir à l’arc avec son père, Hadès ne pouvait s’empêcher de sourire et de se dire à quel point il était heureux.

Il avait bien fait de renoncer à sa vengeance, de choisir Zelena, l’amour et leur famille plutôt que le pouvoir et la destruction de son frère.

3. Crack!Fic :

« Le duo est canon hein.

- Parce qu’ils ont eu genre quelques minutes d’interaction, si on peut dire ça comme ça, quand Robyn était bébé avant qu’Hadès se fasse buter ?

- M’en fous ça compte quant même. »

4. First Time :

La première fois que Robyn avait réussi à faire jaillir du feu dans la paume de sa main, Hadès avait souri, le regard empli de fierté.

Cette petite irait loin.

5. Fluff :

Il regarda ce bébé, ce petit être si innocent et il sentit son cœur se gonfler d’amour pour elle, parce qu’elle était la fille de Zelena, et que pour cette simple et unique raison, elle méritait le monde.

Sa vie serait parfaite.

Il le fallait.

Il se le jura.

6. Humor :

«  Un moyen pour faire en sorte que Hadès fasse pas n’importe quoi et que le Zadès reste ensemble ?

- Hum… Il trouve Robyn tellement mignonne, adorable et choupi qu’il en renonce à sa vengeance dans la seconde ?

- C’est pas un peu facile ça ?

- Hey le Wish!Crochet a fait exactement la même chose alors je suis désolée ça peut parfaitement marcher.

- Oui enfin Alice c’est sa fille, Robyn elle l’est pas.

- Oui mais c’est la fille de Zelena. Et Hadès aime Zelena alors il a qu’à adopter Robyn, et paf c’est dans la poche.

- C’est du génie. »

7. Hurt/Comfort :

Rose le regardait avec de la terreur et du désespoir dans les yeux, alors que la malédiction et la fumée violette approchaient de plus en plus, et Hadès sentit la honte et le chagrin l’envahir.

Il avait beau être un dieu, il avait échoué à protéger sa belle-fille et sa petite-amie des ténèbres qui allaient s’abattre sur eux.

(Sa seule consolation résidait dans le fait de savoir qu’ils finiraient forcément par se retrouver même en ayant perdu la mémoire.)

8. Family :

Le jour où Gothel atterrit aux Enfers, Hadès s'employa à la faire souffrir le plus possible, imaginant les tourments les plus douloureux qui soient pour la nymphe, comme il l'avait fait avec Cora autrefois.

Pour la faire payer pour le mal qu'elle avait infligé à Zelena, son véritable amour, à Alice aussi, la petite-amie de Robyn, et enfin à Robyn elle-même.

On ne touchait pas à sa famille, et définitivement pas à sa fille de cœur qui l'était à défaut d'être sa fille de sang.

9. Love/ Hate :

Elle aurait pu l’aimer, l’avoir comme père, en avoir deux tout comme Henry avait deux mère s .

Si seulement Hadès n’avait pas tout gâché en essayant de détruire leur famille.

Chapter Text

1. Angst :

Hadès comprenait l’ambition de Cora, son désir de pouvoir et sa volonté de s’élever, de se venger de ceux qui l’avaient sous-estimée ou humiliée, il avait été à sa place et nourrissait le même genre de projets.

Mais c’était Zelena qu’elle avait abandonnée, elle qui en avait souffert durant toute sa vie, elle, sa sorcière, son âme-sœur, sa reine.

Et jamais il ne pourrait pardonner la reine de cœur pour cela.

2. AU :

Elle était reine désormais, la fille qu’elle avait abandonné, reine des Enfers et épouse d’un dieu, là où Regina n’avait été capable que de la décevoir en s’enfuyant avec son palefrenier alors qu’elle aurait pu avoir la couronne.

Elle ne put s’empêcher d’enrager en apprenant cela.

3. Crack!Fic :

« Vous êtes Blanche-Neige c’est ça ?

- Oui.

- Et vous avez tué Cora.

- Effectivement.

- Dans mes bras ! Et vous en faites pas pour le pirate, je vais le laisser repartir avec vous sans rien demander en échange, c’est cadeau, ça me fait plaisir. »

4. First Time :

« Vous devez avoir soif, lui dit le dieu d’un ton railleur, et ce n’était certes plus le cas désormais, parce qu’elle était morte, mais ça n’empêchait pas Hadès de le lui dire, de lui rappeler tout ce qu’elle avait perdu, tout ce à quoi elle n’avait plus droit maintenant qu’elle était aux Enfers, morte, prisonnière d’un homme qui la détestait. »

Pour la première fois depuis longtemps, elle était plus bas que terre.

Et elle détestait ça.

5. Fluff :

La joie et l’espoir rayonnant dans les yeux de Zelena alors qu’elle apprenait qu’elle avait une mère, une sœur, une famille, Hadès ne put s’empêche de sourire alors qu’il voyait cela dans les souvenirs de la méchante sorcière de l’ouest.

(Si seulement Cora n’avait pas fini par tout gâcher.)

6. Humor :

« Ah ! Je savais qu’un duo avec un personnage mort pouvait marcher !

- En même temps Hadès est littéralement le dieu des morts. À ce compte-là presque n’importe quel duo de la série peut marcher avec lui.

- Oui mais là en plus c’est canon, ça aide. »

7. Hurt/Comfort :

Maintenant que Cora avait à nouveau son cœur dans la poitrine, elle éprouvait de la reconnaissance envers Hadès pour l’amour qu’il portait à Zelena, elle qui n’avait jamais pu l’aimer de toute son existence parce qu’elle n’avait jamais été sa mère.

Dommage que ça n’efface absolument rien de ce qu’elle avait pu faire.

8. Family :

Cora avait fermé les yeux toute sa vie sur le sort qu’elle avait réservé à sa fille aînée, qu’elle avait abandonnée sans un regard en arrière, sans se soucier de si elle avait une famille aimante qui veillait sur elle.

Ce n’était donc que justice que dans la mort, Hadès lui fasse perdre la vue pour la punir.

9. Love/Hate :

Cora était habituée à susciter la haine, et ce depuis presque toujours.

Mais provoquer la haine d’un dieu ?

Ça c’était nouveau, et maintenant, elle avait peur comme jamais auparavant.

Chapter Text

Blanche-Neige n’oublierait jamais le jour où elle l’avait rencontré.

Le jour où il était apparu dans la salle du trône, face au roi Léopold et à la reine Eva, son éternel sourire moqueur aux lèvres.

Tout le monde l’avait craint, ils avaient tous eu peur.

Mais pas elle.

Après tout, c’était bien elle qui l’avait convoqué, elle qui l’avait invoqué, elle qui l’avait appelé au secours parce qu’elle n’avait pas d’autre alternative.

Elle n’avait pas eu peur aussi parce que ça faisait dix ans maintenant, depuis qu’elle avait dix-huit ans, qu’elle devait se battre chaque jour contre les Ogres qui ravageaient son royaume, et chaque flèche qu’elle leur fichait dans le crâne ne pesait guère lourd en comparaison du nombre d’ennemis qui s’amassait aux portes de leur pays, augmentant de plus en plus sans qu’ils ne puissent rien faire.

Alors elle avait fait ce que ses parents n’osaient pas faire.

Elle l’avait appelé, lui, Rumplestiltskin, le Ténébreux, la Bête.

Et elle n’avait pas eu peur parce qu’elle était beaucoup trop en colère pour être encore capable d’avoir peur de qui que ce soit.

Elle s’attendait au marché qu’il avait proposé, elle le connaissait, elle avait étudié ses méthodes, et elle était partie sans un regard en arrière.

Elle était une princesse, elle devait se battre pour son peuple et être une héroïne.

C’était l’occasion pour elle de le faire, et elle n’hésiterait pas.

Il lui avait souri quand elle était partie avec lui, et à nouveau, elle n’avait pas eu peur.

(Peut-être avait-elle déjà vu l’homme derrière le monstre à ce moment-là.)

§§§§

« Pourquoi êtes - vous si triste ? »

Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle se soucie de lui, elle n’était qu’une prisonnière après tout, une personne insignifiante, qui n’était qu’un moyen pour lui de se sentir moins seul.

Mais contre attente, la princesse Blanche-Neige avait su voir en lui, lire en lui comme jamais personne n’avait pu le faire avant cela, hormis son fils.

Il n’avait pas non plus prévu qu’elle soit aussi courageuse, sans peur, ne s’effrayant jamais de son apparence ou de ses actions, ou du moins le cachant très bien si jamais c’était le cas.

Elle était gentille aussi, bien plus que personne ne l’avait jamais été avec lui depuis qu’il avait vu son fils disparaître dans un portail menant vers un autre monde, bien plus qu’il ne le méritait probablement.

(Il n’avait jamais répondu à cette question, parce que parler de son fils, ça aurait signifié s’exposer et fendre la carapace qui l’entourait, avouer qu’il n’était peut-être pas tant que ça un monstre.)

§§§§

Le destin était imprévisible.

Rumplestiltskin aurait dû le savoir pourtant, il était un voyant désormais, il voyait l’avenir, les possibilités.

Et pourtant, force lui était de constater qu’il n’avait pas le moins du monde vu ça venir.

Que lui, Rumplestiltskin, le Ténébreux, il tomberait amoureux de la princesse Blanche-Neige, ou même qu’elle l’aimerait en retour.

Mais c’était arrivé, et il ne le regrettait pas.

Ça ne changeait rien pourtant, il continuerait à chercher son fils, et il le trouverait.

Il n’aurait juste pas à le faire seul .

Chapter Text

1. Angst :

Il avait tué Robin.

Il avait tué l’homme qu’elle aimait, mais surtout un innocent, quelqu’un qui ne le méritait pas, un homme bon, courageux et loyal, et c’était un accident, certes, et ce n’était même pas lui qu’il visait, mais en un sens, ça ne rendait les choses que pires encore.

Parce qu’en essayant de la tuer, il avait rompu la promesse qu’il avait faite à Zelena.

Il lui avait arraché celui qu’elle aimait tout en brisant le cœur et la confiance de sa sœur aînée.

Et jamais l’ancienne souveraine ne le pardonnerait pour ça.

Si la méchante sorcière de l’ouest ne s’était pas servi du cristal olympien sur lui, elle l’aurait sûrement utilisé à sa place.

2. AU :

La reine était magnifique, cela, Hadès ne pouvait pas le nier, pourtant il la regarda à peine, ne voyant que sa demie-sœur.

Regina se surprit à sourire.

Négocier avec le dieu des morts grâce à Zelena ?

Ça, elle ne l’avait pas vu venir, mais elle ne s’en plaindrait pas.

Et surtout, elle lui souhaitait d’être heureuse.

3. Crack!Fic :

« C’est le mois spécial Hadès c’est ça ?

- Prends toi en à la roulette, pas à moi. »

4. First Time :

C’était la première fois que Regina avait peur de ne pas s’en sortir, qu’elle et les autres, Emma, Henry, toute leur équipe, ne s’échappent jamais des Enfers malgré tous leurs efforts.

Et tout ça c’était la faute d’Hadès.

5. Fluff :

De ce que Zelena lui avait dit, elle n’avait été que peu aimée durant sa vie, et quand Regina voyait tout l’amour qu’Hadès avait dans les yeux pour elle, elle se sentait heureuse.

Les choses avaient bien changé depuis.

6. Humor :

« Si Hadès reste en vie tout comme Robin alors ça veut dire que Robyn, ou peu importe son prénom maintenant, a quatre parents en fait ?

- Ouais. Carrément.

- Je veux. »

7. Hurt/Comfort :

Même si les sorcières du sabbat des huit se faisaient chaque jour plus menaçantes, Regina, qui visa l’une d’entre elles avec une boule de feu, n’était pas inquiète.

Elle avait un dieu à ses côtés après tout, rien de mal ne pouvait leur arriver.

(Elle aurait aimé savoir ce qui se passerait après.)

8. Family :

Elle avait choisi sa sœur plutôt que lui.

Peut-être aurait-il dû le voir venir.

9. Love/Hate :

Il la détestait pour la manière dont elle avait traité Zelena.

Elle le détestait pour avoir tué Robin des bois.

Au moins sur ce coup-là, ils étaient quittes.

Chapter Text

1. Angst :

Le châtiment infligé à Ariel, celui de perdre sa voix, d’être privée de jambes et de ne jamais pouvoir être réunie avec son bien-aimé, révoltait Belle au point de lui donner envie de hurler.

Une raison de plus pour elle de détester Regina.

2. AU :

« Pourquoi êtes-vous tombée amoureuse du prince ? »

- Il était tellement… tellement beau. »

Ariel avait eu tort finalement, ce n’était pas Eric sa fin heureuse.

Non, c’était Belle.

3. Crack!Fic :

« Est-ce que tu ship au moins ?

- Non même pas. Mais j’avais jamais fait ce duo en micro-fic et j’aime le femslash alors c’est parti ! Et puis au moins le duo est canon, c’est déjà mieux que rien.

- Mouais. »

4. First Time :

C’était en entendant Ariel chanter pour la première fois que Belle avait compris qu’elle en était tombée amoureuse.

5. Fluff :

Belle avait encore beaucoup de choses à apprendre à propos du monde sans magie, mais Ariel en savait encore moins qu’elle, et quand elle lui posait une question sur ce monde qui lui était encore tellement inconnu, ses yeux brillaient de curiosité et d’intérêt.

C’était tout simplement adorable.

6. Humor :

« Et en fait t’as pas d’idées c’est ça ?

- C’est ça. Après faut dire qu’Ariel n’apparaît pas beaucoup non plus quoi.

- C’est pas faux. »

7. Hurt/Comfort :

Elle avait vu l’homme qu’elle aimait mourir sous ses yeux, transpercé par sa propre dague, se sacrifiant pour tous les sauver, et chaque nuit Belle revoyait cette scène, en faisait des cauchemars.

Et puis elle se réveillait, Ariel la serrait dans ses bras, et Belle n’était pas sure de jamais réussir à aller bien à nouveau, mais au moins, elle savait qu’elle n’était pas seule.

8. Family :

Ariel n’avait plus vraiment de famille maintenant qu’elle avait quitté l’océan.

Heureusement, elle avait Belle désormais, et tout le reste de sa famille à elle qui l’avait accueillie parmi eux.

9. Love/Hate :

Elle avait cru ne plus jamais pouvoir aimer qui que ce soit après Rumplestiltskin.

Une jolie sirène à la chevelure rousse lui avait donné tort.

Chapter Text

1. Angst :

« Toi. Depuis le début, c'était toi. »

Alors qu’elle lâchait ces mots emplis de colère et de tristesse, Belle sentit son cœur se serrer.

C’était son propre père qui avait organisé son enlèvement, qui avait voulu faire en sorte qu’elle franchisse la frontière, qu’elle perde la mémoire, qu’elle oublie qui elle était et ce de manière permanente, tout ça parce qu’il refusait qu’elle puisse faire ses propres choix parce que ces derniers lui déplaisaient.

Elle n’était pas sure de pouvoir le pardonner pour ça.

2. AU :

Il avait réussi, elle avait oublié, sauf que non seulement elle avait oublié le Ténébreux, mais elle l’avait également oublié lui, son père, lui qu’elle avait déjà oublié durant vingt-huit longues années.

Mais peu importe.

Du moment que ça l’éloignait définitivement de ce monstre, il acceptait de la perdre encore, même si ça signifiait la perdre pour toujours.

3. Crack!Fic :

« Jamais fait avant ?

- Nan. J’y ai pas pensé et j’aime pas vraiment Maurice.

- Ah. D’accord.

- Ouais. »

4. First Time :

Maurice avait toujours su que sa fille était courageuse, mais, alors qu’il la voyait accepter le marché que lui proposait Rumplestiltskin, alors même qu’ils savaient tous ce qu’elle allait sacrifier, il réalisa pour la première fois à quel point elle l’était.

Elle était une héroïne qui se battait pour ce en quoi elle croyait, quel que soit le prix à payer.

Et même si son cœur se brisa alors qu’il la regardait partir, il se sentit terriblement fier d’elle.

5. Fluff :

Belle, six ans, dans les bras de sa mère, s’appliquant à lire des mots dont elle ne connaissait pas encore le sens tandis que Colette la corrigeait si besoin.

Y avait-il rien de plus adorable ? Se dit le souverain en regardant sa fille et sa femme, sentant son cœur fondre.

Il les aimait tellement.

6. Humor :

« Encore Belle ?

- Oui ben deux roulettes de suite, deux duos canons que j’ai pas faits, c’est tout, la vie est bien faite. »

7. Hurt/Comfort :

Ils étaient rentrés chez eux, mais Belle avait perdu l’homme qu’elle aimait.

Alors pour une fois, Maurice laissa sa haine de côté et serra sa fille dans ses bras.

Elle allait avoir besoin de lui maintenant.

8. Family :

Ils auraient pu être une famille après la fin de la malédiction…

Puis il avait essayé de lui faire perdre la mémoire, Belle lui avait pardonné, puis il avait choisi de la laisser dormir pour toujours, et là ça avait été trop.

Il avait tout détruit.

9. Love/Hate :

Elle aimait Rumplestiltskin, elle l’aimait vraiment, réalisa-t-il alors qu’il assistait à leur mariage.

Alors, pour ne pas la perdre, il allait devoir faire avec.

Chapter Text

I l n’avait jamais demandé à revenir ici.

Bien sûr que non, bien sûr qu’il aurait aimé pouvoir rester loin de cet endroit durant le reste de sa vie, ne plus jamais foutre un seul pied ou ne serait-ce qu’un orteil au Pays Imaginaire, si il avait eu le choix, il aurait continué de fuir loin de cette île maudite envahie par les ombres et la noirceur, si il l’avait pu.

Oh si seulement il avait pu.

S’ échapper avait été une chance, des années plus tôt, et voilà qu’aujourd’hui, il remettait à nouveau les pieds là où il avait vécu l’enfer, là où le soleil et l’espoir étaient morts et ne reviendraient plus jamais.

Peter Pan, Félix et les autres enfants perdus, ils étaient là, ils étaient tous là, tous ceux qui autrefois avaient essayé de le détruire et avaient échoué.

Et ironiquement, celui qui l’avait abandonné autrefois à ces mêmes monstres se trouvait là lui aussi, et ils étaient dans le même camp cette fois.

Alors non.

Revenir sur cette île de malheur ne lui faisait pas le moins du monde plaisir, mais…

Mais…

Mais Henry était là, Henry était leur prisonnier, à leur tour, et il était hors de question qu’il le laisse là, alors si il devait revenir, retrouver Peter Pan et tout le reste, tous les monstres qui peuplaient ses cauchemars depuis deux cents ans alors soit.

Il ne fuirait pas cette fois.

( Il avait fui Emma autrefois et ça ne lui avait rien apporté du tout à part de la souffrance, de la solitude et de la culpabilité.)

Alors même si toutes les fibres de son corps lui hurlaient à chaque seconde de faire demi-tour, Neal Cassidy regarda droit dans l es yeux l’enfant immortel qui était la cause de leur présence à tous ici et ne flancha pas .

Et, alors qu’il croisait le sourire triomphant du monstre qui l’avait arraché à la seule famille qu’il avait pu avoir dans le monde sans magie, il se fit une promesse, celle de l’anéantir et ce pour toujours, pas seulement pou r sauver Henry mais aussi pour lui-même.

Pour venger son lui enfant et tous les traumatismes dont il avait pu hériter à cause du sorcier autrefois.

Il se le jurait.

Chapter Text

1. Angst :

David n’en avait pas voulu à l’enfant qu’avait été August d’avoir laissé Emma derrière lui, lui qu’on avait forcé à quitter le seul endroit qu’il avait jamais connu, la Forêt Enchantée, pour un lieu inconnu en étant chargé d’une mission qui le dépassait complètement, alors qu’il n’était encore qu’un enfant et qu’il était seul.

En revanche, le prince Charmant ne pardonnait pas à l’adulte de l’avoir non seulement abandonnée de nouveau, de l’avoir laissée seule au monde et qui plus est de l’avoir envoyée en prison au moment où elle avait le plus besoin de lui.

2. AU :

Elle était rentrée à la maison.

Emma était revenue parmi eux, elle les avait retrouvés, elle avait brisé la malédiction, elle les avait sauvés, mais surtout, elle était enfin réunie avec eux, sa famille.

Et c’était grâce à lui, August, Pinocchio, qui avait toujours veillé sur elle, lui avait dit qui elle était, qui lui avait permis de trouver le chemin de Storybrooke.

Lui et Blanche-Neige n’avaient pas pu l’élever, mais grâce à lui, elle n’avait jamais été seule.

3. Crack!Fic :

« Alors ?

- D’un côté c’est un duo logique et en même temps… est-ce qu’on les a vus une seule fois parler ensemble ?

- Tu veux entendre un truc marrant ? Je m’en rappelle même plus.

- En même temps, August disparaît presque complètement après la saison 2.

- Ouais c’est pas faux. »

4. First Time :

Ce n’était pas la première fois qu’August Booth ressentait de la culpabilité à cause de ce qu’il avait fait, pour avoir abandonné Emma Swan par trois fois, et l’avoir ainsi en partie empêchée de croire en son destin et en la magie, retardant encore plus le moment où elle briserait la malédiction.

Mais, alors qu’il discutait avec un David Nolan amnésique et maudit, complètement inconscient de tout ce qu’il avait perdu, de ce qu’on lui avait volé, il ne put s’empêcher de sentir la honte et le remords l’envahir, alors même qu’il n’était aucunement responsable du Sort Noir.

Il se surprit à penser que le châtiment qui transformait lentement tout son corps en bois était mérité finalement.

5. Fluff :

Alors qu’il voyait Geppetto et Pinocchio, David n’avait qu’une hâte.

Qu’Emma vienne au monde afin qu’il puisse avoir des moments comme ceux-ci avec sa fille.

6. Humor :

« C’est quasiment full drama ta micro-fic.

- OUAT c’est drama de toute façon et honnêtement j’ai littéralement pris ce duo de la roulette parce que le drama et que j’avais juste une idée pour l’angst à la base.

- C’est valide. »

7. Hurt/Comfort :

Il avait essayé.

Il avait raté, il s’était trompé et avait fait de nombreuses erreurs, mais au moins, il avait essayé d’aider Emma, ça, David ne pouvait pas le lui enlever.

Ça ne changeait rien au fait qu’Emma avait passé vingt-huit ans seule et que c’était de sa faute.

8. Family :

Alors qu’il sentait le sortilège sceller son sort pour toujours et le changer en pantin de bois figé et sans doute mort , Pinocchio s’autorisa à sourire.

Il avait réussi, Emma avait fini par croire en la malédiction, et elle allait accomplir son destin de Sauveuse, elle allait retrouver son père et sa mère, la famille dont elle n’aurait jamais dû être séparée .

Ça n’effaçait aucunement ce qu’il avait fait.

Mais au moins, il pouvait partir en se disant qu’il avait réussi à faire une chose bien dans sa vie.

9. Love/Hate :

August n’était pas Regina, ou Rumplestiltskin, ce n’était pas un monstre, et David ne le détestait pas.

Mais il avait fait du mal à Emma, et c’était difficile de ne pas lui en vouloir pour ça.

Chapter Text

1. Angst :

Alors que la malédiction s’apprêtait à s’abattre sur eux, Rumplestiltskin pensa à tous ceux qui allaient la subir, et y compris à Ella, la femme de Henry, la mère de Lucy, et il ne put empêcher la tristesse de l’envahir.

Encore une fois, il avait été incapable de sauver sa famille.

2. AU :

Rumplestiltskin croisa le regard de Henry et y lut le désespoir alors qu’ils voyaient tous les deux Ella s’effondrer sous le poison des sorcières du sabbat des huit, un désespoir qui ne lui était que trop familier, celui qu’il avait ressenti lorsque Neal était mort.

Et il sut alors, il sut qu’il ferait tout ce qu’il pourrait pour faire en sorte que la princesse ne succombe pas, quitte à obliger Regina à lancer le Sort Noir une nouvelle fois.

Quitte à le lancer lui-même si besoin est.

3. Crack!Fic :

« C’est la Cendrillon avec qui il a passé un marché, c’est ça ?

- Nan. C’est une autre Cendrillon. La femme de son petit-fils.

- Y a deux Cendrillon ?

- C’est OUAT écoute, faut pas chercher. »

4. First Time :

La première fois qu’il avait rencontré Ella, il n’avait rien pensé d’elle en particulier.

La première fois qu’il avait vu Jacinda, ça avait été la même chose, de l’indifférence, sauf que cette fois-ci il n’avait même pas l’excuse de ne pas la connaître.

5. Fluff :

Les gens avaient tendance à oublier que Rumplestiltskin n’était pas juste le Ténébreux, qu’il était aussi un être humain.

Qu’il avait été père autrefois, qu’il l’était toujours.

Alors qu’elle le laissait prendre Lucy dans ses bras, et qu’elle le voyait agissant avec toutes les précautions du monde, comme il l’aurait fait avec son propre enfant, Ella s’en rendait compte plus que jamais.

6. Humor :

Elles sont en verre ?

Ne dis donc pas de bêtise ! Comment voudrais-tu marcher chaussée de verre ? Elles sont en diamant.

« Ah ah ! Je savais bien que j’arriverais à la recaser un jour celle-là.

- Angie…

- Quoi ? C’est Cendrillon et Rumplestiltskin a littéralement joué le rôle de la bonne fée démoniaque, c’est raccord avec le rôle de Lilith et le caractère sarcastique de notre Ténébreux préféré.

- C’est pas la même Cendrillon…

- On s’en fout j’ai explosé le quatrième mur, la logique et la continuité n’ont plus cours ici. »

7. Hurt/Comfort :

« Je ne peux pas la perdre, sanglotait Ella alors qu’elle pensait au sort qui attendrait Lucy si le sabbat gagnait, toute seule dans le monde sans magie, je ne peux pas la laisser, je suis sa mère. »

Et alors qu’il pensait au fils qu’il avait abandonné par accident, Rumplestiltskin ne put que comprendre sa peine et la partager.

Sa seule consolation, alors qu’il apprenait ce que Killian Jones avait fait pour la belle-fille de Lady Tremaine, c’était de savoir qu’au moins la malédiction ne les sépareraient l’une de l’autre, elles.

(Ce n’était pas le cas de tout le monde.)

8. Family :

Jacinda était une mère, une mère prête à tout pour se battre pour son enfant, et si Weaver s’était souvenu qu’il avait été Rumplestiltskin, sans doute aurait-il compris ce par quoi elle traversait, et qu’il l’aurait aidé.

Mais ici, Baelfire n’avait jamais existé dans sa mémoire, aussi, il resta sourd à sa peine.

(Ce ne fut que quand il se souvint de qui il était réellement qu’il se rappela ce que ça faisait d’avoir une famille et qu’il ne put faire disparaître le sentiment de culpabilité qui l’envahissait quand il pensait au fait qu’il n’avait pas aidé la mère et la fille à se retrouver .)

9. Love/Hate :

Ella aimait Henry, cela, il n’avait aucun doute à ce sujet, et elle était quelqu’un de bien, une femme forte et courageuse, qui lui rappelait Belle par certains aspects.

C’était facile de l’apprécier et de l’aimer.

Chapter Text

1. Angst :

Il avait essayé de revenir, il avait vraiment essayé, mais il avait échoué de la pire des manières, et maintenant, Grace devait très certainement le détester pour l’avoir abandonnée alors qu’il lui avait promis de revenir.

Il comprenait qu’il méritait très certainement d’être puni pour ce qu’il avait fait à Regina autrefois, en lui faisant croire qu’il lui était possible de ramener Daniel à la vie pour ensuite briser ses espoirs en mille morceaux, mais Grace ne méritait aucunement un châtiment pareil.

2. AU :

Elle l’avait enfin retrouvé, ici, dans le monde sans magie, à Storybrooke, dans cette ville créée par la malédiction de la méchante reine.

Et il ne se souvenait même pas d’elle.

Existait-il châtiment plus cruel ?

3. Crack!Fic :

« Ah Jefferson et Grace ont enfin été réunis, hâte de voir comment leur relation père-fille se reconstruit à nouveau entre amour, traumas et moments choupis !

- Ça n’arrivera pas.

- Mais… pourquoi ?

- L’acteur est plus là à partir de la saison 2, Sebastian Stan joue aussi Bucky Barnes dans le MCU, il peut donc contractuellement pas jouer dans deux intrigues qui traitent d’amnésie. »

4. First Time :

La première fois qu’Emma avait compris ce qui avait poussé Jefferson au désespoir, ce fut lorsqu’elle se retrouva dans Des héros et des méchants, confrontée à sa mère qui ne la reconnaissait pas et qui encore pire, voulait la tuer.

Il avait été prêt à tout pour que Grace se souvienne de lui, et elle était prête à faire exactement la même chose concernant Blanche-Neige et les autres habitants de la Forêt Enchantée propulsés dans ce cauchemar par Rumplestiltskin.

5. Fluff :

Elle était heureuse.

Elle était heureuse avec sa famille adoptive, ils l’aimaient et elle les aimait, elle allait bien, elle n’était pas seule, la malédiction ne lui avait pas tout pris contrairement à lui.

Ce n’était pas suffisant pour qu’il soit heureux.

Mais il fallait que ça le soit.

6. Humor :

« Il faut envoyer Jefferson chez le psy !

- Ouais exactement, Bucky lui au moins il finit par y aller dans sa série.

- Ouah, deux références Marvel au sein d’une même micro-fic, c’est rare ça.

- Je suis à jour dans le MCU depuis hier alors forcément… »

7. Hurt/Comfort :

Qu’on lui coupe la tête .

Il l’entendait chaque nuit dans ses cauchemars, la voix terrible, implacable et cruelle de la reine de cœur.

Qu’on lui coupe la tête .

À chaque fois il se réveillait, incapable de respirer, terrifié à la simple idée d’être de retour au Pays des merveilles et dans sa cellule.

Qu’on lui coupe la tête .

Puis, il allait dans la chambre de sa fille, et la voyait en train de dormir, et d’un seul coup, sa respiration reprenait un rythme normal.

Qu’on lui coupe la tête .

Plus jamais la sorcière ne lui ferait le moindre mal , il se le jurait.

8. Family :

Et il est un peu dérangé, auss i , disaient souvent les gens à propos du chapelier fou, sans même se soucier que sa fille puisse l’entendre, alors même qu’ils savaient, eux, habitants de Storybrooke, ils savaient ce qu’il avait vécu, ce qu’il avait traversé, ce qu’il avait enduré.

Oui, il l’était, bien sûr, et Grace le savait bien, elle le savait mieux que personne, mais il était son père, il était sa famille, et il s’était battu pour elle, il s’était battu pour lui revenir.

Alors jamais elle ne le laisserait tomber.

9. Love/Hate :

Alors que, enfin, il serrait de nouveau sa fille adorée dans ses bras, Jefferson sut.

Elle ne l’avait jamais détesté, elle avait continué de l’aimer, de croire en lui, et son cœur se gonfla de joie, d’espoir et d’amour.

Il était rentré à la maison, auprès de Grace.

Et plus jamais il ne l’abandonnerait de sa vie.

Chapter Text

1. Angst :

Anastasia avait de la peine pour Alice et Cyrus bien sûr.

Mais ses propres intérêts et sa couronne étaient plus importants pour elle pour qu’elle puisse aller au-delà de ça.

2. AU :

Alice ne pouvait s’empêcher de trouver ironique ce que la malédiction de Hyperion Heights lui avait fait, elle qui autrefois avait tant voulu oublier se retrouvait forcée à se souvenir, tandis qu’Anastasia, elle, se retrouvait plongée dans le coma.

Elle se demanda si un jour, elle parviendrait à changer les choses, à briser la malédiction, et si un jour, la reine rouge se réveillerait.

3. Crack!Fic :

« Attends comment ça t’as pas fait de micro-fic sur elles ?

- Alors si d’abord, mais en ship et là je fais en duo parce que la roulette OUAT est parfaite aujourd'hui, voilà. Et j’ai fait genre tous les duos possibles de OUATIW enfin les persos importants quoi vu que y en a moins que dans OUAT.

- T’as pas écrit sur le lapin.

- On s’en fout du lapin ! »

(C’est pas vrai.)

4. First Time :

Elle était là, morte, et ce fut là qu’Alice sut, pour la première fois.

Ils n’allaient peut-être pas gagner.

5. Fluff :

Alice avait du mal à faire encore à faire confiance à Anastasia, mais Will l’aimait et était heureux avec elle.

C’était suffisant pour qu’elle l’accepte dans sa vie.

6. Humor :

E lle est la plus belle du royaume

« Tais-toi, lui ordonna-t-elle. »

«  Euh… Angie, t’as bien conscience que là c’est le duo et pas le ship hein ?

- Ah merde oui c’est vrai. Oui bon ben désolée, parfois l’appel du femslash est trop fort.

- Parfois  ?

- Oui bon ben zut quoi. »

7. Hurt/Comfort :

Elle avait eu le pouvoir, et ça ne l’avait pas rendue heureuse.

Peut-être était-ce pour cela qu’elle jalousait tant Alice, parce qu’elle savait se contenter de peu.

Elle, elle n’avait jamais su.

8. Family :

Son père ne l’avait pas toujours comprise, ça, Alice en avait bien conscience, et il l’avait crue folle, il n’avait pas toujours été à la hauteur, mais au moins, il l’avait aimé.

C’était bien plus que ce qu’elle pouvait dire à propos de la mère d’Anastasia.

Elle comprenait pourquoi la blonde avait fui la Forêt Enchantée soudainement.

9. Love/Hate :

Cette forme de contrôle mentale, cette espèce d’hypnose que Jafar exerçait sur Anastasia maintenant que les règles de la magie avaient été brisées, et qui faussait tout, qui transformait la haine en amour, c’était tellement… malsain.

Alice n’avait jamais aimé la reine rouge, mais même elle ne méritait pas ça.

Chapter Text

1. Angst :

Félix n’avait jamais compris pourquoi Peter Pan avait à tout pris voulu que Wendy Darling soit retenue prisonnière au Pays Imaginaire alors qu’elle n’avait rien à voir avec le plan de l’enfant immortel, mais il n’avait pas discuté ses ordres.

Son sort ne le concernait pas.

2. AU :

Dans le royaume des vœux, Peter Pan avait tué ses petits frères, il les avait tués sous ses yeux, et elle n’avait pas pu les sauver.

C’était là qu’elle s’était jurée qu’elle le tuerait lui, et Félix, et tous les autres, qu’elle se vengerait enfin de ces monstres qui lui avaient volé son enfance, son innocence et sa famille.

3. Crack!Fic :

« Et encore un duo oublié alors qu’il est canon ?

- Ouais. Et puis parce qu’il est moins drama que Wendy et ses frères, ou Henry, ou Peter Pan, ou Baelfire.

- Avec toi c’est toujours une histoire de drama c’est ça ?

- C’est littéralement mon fond de commerce en fait. »

4. First Time :

Ce fut en étant confrontée au sourire cruel de Félix que Wendy comprit pour la première fois qu’elle aurait dû écouter Baelfire quand il lui avait parlé des dangers de la magie.

5. Fluff :

Elle n’avait pas vu les ombres au début, elle n’avait vu que les jeux, l’amusement et l’insouciance, et Félix, comme les autres, avait parfaitement réussi à faire semblant.

Jamais elle n’avait eu autant l’impression de s’être faite avoir.

6. Humor :