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Ramil/Paytai ( the Next Prince)-Tu ne sais pas à qui tu appartiens ?

Summary:

Histoire inspirée de l’épisode 5 . Le Prince Ramil et son serviteur Paytai sont en couple. Mais vu leur statut, leur relation est secrète . Le Prince Ramil est furieux que Paytai soit proche de Charan, l’un de ses ennemis . Paytai accepte la punition de son maître.

Notes:

Les personnages et univers appartiennent à Mandee Work Company

Rating M : Fiction destinée aux adultes pour raison de lemon gay

Message autrice : « The Next Prince » est un coup de cœur surprise pour moi, par les thèmes abordés, les personnages . Mais j’avoue que j’ai complètement craqué sur ce second couple. L’alchimie entre Jimmy et Ohm est tellement époustouflante. Et Jimmy dans le rôle du prince Ramil est assez magnétisant. Cette fin m’est venue en lisant un livre qui n’avait rien avoir . Et j’ai ressenti ce besoin d'écrire . Donc, voilà comment j’ai repris cette idée que j’avais notée dans un coin lors du visionnage de l’épisode 5

Message autrice 2 : Merci à Kritverdih, Raypotterweasley99,lovemyboy0
son kudos

Bêta : Nelly

(See the end of the work for more notes.)

Work Text:

POV Paytai

J’assistais à mon dernier cours de la semaine avec le Professeur Charan. J’avais caché au Prince Ramil Phuchongphisut, mon inscription à l’université. Au début, je n’étais pas sûr d’être admis .
Puis j’avais appris le retour à l’université du professeur Charan et qu’il serait donc mon professeur principal. Je craignais la réaction du Prince.

Il avait été démis de ses fonctions, par le roi Emerys, de la protection du Prince Khanin Atsawathewathin.

Le royaume Emerys était divisé en quatre principautés : la principauté Atsawathewathin dont le roi actuel est issu. La principauté de Phuchongphisut, gouvernée par le père du prince Ramil, Prince Rachata Phuchongphisut . La principauté de Thawichmetha, gouvernée par le Prince Chana Thawichmetha, le père de la princesse d'Ava Thawichmetha, et enfin la principauté Meenanakarin gouvernée par le Prince Wasin Meenanakarin qui est veuf et sans héritier.

Le Prince Ramil, le Prince Khnanin et la Princesse Ava vont devoir s’affronter dans des épreuves qui auront lieu dans deux mois, la gagnant permettra à son père de monter sur le trône au décès du roi qui est très malade.

Mes parents avaient été au service de la famille Phuchongphisut, mon père en tant que chef de la cuisine royale, et ma mère comme gouvernante du Prince Ramil. Aujourd’hui ils sont à la retraite.

J’étais enfant unique, ma mère m’avait eu tard, elle pensait ne jamais avoir d’enfant. Le prince et moi, n'avons qu’un an de différence. Il avait vingt-un an et moi vingt ans.

Nous avons grandi ensemble, aux yeux du Prince, je sais que je suis son ami, son partenaire . Mais aux yeux du reste du monde, je suis seulement son valet, son jouet sexuel.

Nous avons décidé de garder notre relation secrète, jusqu’à l’accession au trône de son père. Le Prince pense que son père acceptera plus notre relation.

Son père utilise notre amour pour rendre mon partenaire obéissant, sinon il me fouette. Je vois la culpabilité dans les yeux de mon homme à chaque fois qu’il doit soigner mes blessures ou qu’il voit les marques sur mon dos.

Mon prince ne pourra jamais répondre aux exigences de son père qui sont inatteignables.

Mon professeur était en train de me prodiguer des conseils sur le tableau que j’étais en train de peindre, la plage de nuit qui se trouvait proche du palais et qui est mon endroit préféré depuis que je suis enfant.

Soudain j’entendis la voix du Prince Ramil qu’on n’avait pas entendu entrer.
« Paytai.
Le Professeur Charan recula. Je me tournais vers son Altesse Royale.
- Votre Altesse Royale dis-je, surpris
- C’est de cela dont tu voulais me parler ?! Viens avec moi immédiatement. dit-il furieux, en m’attrapant le poignet, on sortit de la salle précipitamment.

Le Prince Ramil m’attira dans un couloir vide . Il me plaqua contre un mur.
- Tu ne sais pas à qui tu appartiens ? Et quels sont tes devoirs ? Demande t-il.
- Je sais à qui j’appartiens et quels sont mes devoirs. Mais aucune règle ne m’interdit d'étudier l’art, n’est-ce pas ?
- Charan travaille pour les Assavadevathin, mes ennemis. Si tu ne veux pas d’ennui, reste loin d’eux dit-il d’une voix froide et tranchante.
- Oui, votre Altesse.
- Maintenant que tu le sais, assure-toi de bien le garder à l’esprit.

Ses lèvres s’approchèrent des miennes, je sentais mon cœur s’emballer. Puis, je le sentis sourire contre mes lèvres. Il s’éloigna et marcha avec la grâce royale qui le caractérisait. Je me tenais au mur, prêt à tomber, je calmais ma respiration, le Prince avait toujours eu beaucoup d'effet sur moi.

Nous étions à présent dans sa voiture de sport de couleur bordeaux avec les vitres teintées en noir . Nous étions au fond du parking, il était vide à cette heure.

J’attrapais le collier en cuir noir avec un anneau en argent, où pendait une laisse composée d’une chaine en argent et d'une lanière au bout en cuir. Je mis le collier sans difficulté, ce n’était pas la première fois que je le faisais, je le serrais assez fort pour sentir une pression sur mon cou. Puis je posais délicatement la laisse dans la main de mon maître
- Je sais à qui j’appartiens, j’ai agi de manière inappropriée. Punissez-moi, votre Altesse Royale dis-je en baissant les yeux.

Il tira brusquement sur la chaine près de l’anneau, nos lèvres étaient proches.
- Tu es à moi, entièrement à moi, dit-il d’une voix autoritaire.

Mon dominant captura mes lèvres, je sentis sa langue s’enrouler autour de la mienne, le baiser était exigeant, tout comme sa main qui remontait le long de ma cuisse, jusqu’à effleurer mon sexe. Mon corps se tendit instinctivement vers cette main.

Puis il stoppa net le baiser et sa main sur ma cuisse, me laissant comme un froid dans tout mon corps, sans son contact, seule la poigne de sa main sur mon collier était toujours là.

Le prince recula son siège au maximum.
- Tu vas entièrement te déshabiller, garde seulement ton boxer, ensuite tu me donneras le bandeau et les menottes, je ne veux pas que tu vois ce que j’ai prévu comme punition, ni que tu me touches.

Je fis passer par-dessus ma tête le gilet gris, puis je déboutonnais lentement les boutons de ma chemise blanche. Je sentais la chaleur parcourir mon corps, sous le regard avide de mon amant.
Puis j’enlevais les chaussettes et chaussures, je déboutonnais mon pantalon gris et je le fis glisser le long de mes jambes.

Mon regard était aussi brûlant car pendant que je me déshabillais, mon partenaire avait fait la même chose. Il était grand, avec un corps élancé par la pratique de plusieurs sport comme le vélo, sa passion, mais aussi l’escrime et la boxe.

J’attrapais le bandeau en dentelle rouge et les menottes en cuir dans la boite à gants.

Le prince Ramil tira brusquement sur le collier et enroula l’un de ses bras autour de ma taille, je tombais sur lui, une main appuyée sur son torse, l’autre tenant fermement les objets .

Je lui tendis le bandeau et les menottes, et je me réinstallais bien sur ses genoux.

Mon partenaire commença par le bandeau, puis je le sentis mettre mes mains derrière mon dos et je sentis les menottes en cuir se refermer sur mes poignets.
- Est-ce que ça va ? Demanda t-il.
- Oui.
- Tu peux utiliser le mot de sécurité si besoin.
- Je sais.

Mon partenaire commença par embrasser le haut de mon cou, laissant une brûlure à son passage, je penchais le cou pour lui donner un meilleur accès, puis, je le sentis mordiller mon oreille
- Ramil gémis-je.
Quand nous étions seuls, il n’y avait plus aucun titre. Nous étions seulement Ramil et Paytai, deux hommes qui s’aiment.
- Alors tu me caches des choses, que me caches-tu d’autre, Paytai ?! Dit-il d’une voix rauque
Il effleurait mon sexe du bout de ses doigts, je me penchais en avant pour en avoir plus,
- Rien…Ramil…Humm… j’avais … peur … de pas….Humm … réussir l’examen…puis… Humm…ensuite … je ne savais pas comment… comment ...te dire que le professeur .. Ramil … Charan était mon professeur….Ah ! Hurlais-je en penchant la tête en arrière.

Ramil avait entrepris de me masturber lentement.
- Je te prie … de me … pardonner
- Tu sais que je suis rancunier.
Ramil captura ma bouche, m’entrainant dans un baiser sauvage, l’une de ses mains empoignait l’une de mes cuisses pendant qu’avec son pouce il faisait des cercles.

Son autre main était enroulée autour de la chaine et je sentais l’air me manquer, ce qui provoquait une sensation agréable de vertige, puis il desserra sa prise et recommença.

Je gémissais dans sa bouche, les sensations sur ma peau semblaient décupler le fait de ne pas voir, mon corps était comme un volcan prêt à entrer en irruption.

Ses lèvres embrassèrent mon cou, puis descendirent vers mon torse, où là il décida de sucer avec avidité l’un de mes tétons. Pendant que ses doigts effleuraient l’intérieur de mes cuisses. Pour l’instant, il avait lâché la chaine.

Je me cambrais .
-Ramil ! Ramil ! Hurlais-je.

Puis quand il trouva celui-ci assez dur, il fit le même traitement à l’autre. Ses mains étaient parties à la découverte de mon corps, ce simple effleurement provoquait comme des frissons dans tout mon corps .

Vu le peu d’espace que j'avais, je ne pouvais que me soumettre à la volonté de Ramil et je savais que ce n’était pas que de la frustration mais surtout beaucoup de plaisir.

Puis je sentir sa langue parcourir chaque centimètre de mon corps, pendant que ses mains s’étaient perdues entre mes cuisses, elles étaient plus audacieuses et remontaient instablement vers ma bite qu’elles effleuraient quelques secondes.

Je me mouvais en criant son nom, je me sentais dur, mais je savais que si je demandais d’être soulagé, mon supplice allait durer plus longtemps.

Puis les lèvres de Ramil me mordillaient à certains endroits du corps, provoquant comme des picotements.

Ramil ! Ramil !
- Comme ça tu te rappelleras à qui tu appartiens.
J’aimais cette sensation et j’avais hâte de découvrir ses morsures sur mon corps.

Mon partenaire m’allongea, ma tête était sur l’autre siège, les mains au-dessus de ma tête et le reste de mon corps entre les deux sièges.

Je le sentis se débarrasser de mon boxer qu'il fit glisser le long de mes cuisses, je me soulevais pour l’aider. Il le jeta au sol.

Mon amant empoignant mes chevilles, m’empêchant de bouger, puis il entreprit de dévorer l’intérieur de mes cuisses en les mordillant.
- Tu vas me sentir entre les cuisses pendant que tu marcheras .
Ramil ! Ramil ! Hurlais-je.
Je me cambrais . La sensation était indescriptible, d’habitude je m’ancrais à lui en plongeant mes mains dans ses cheveux. Je ne savais pas que j’étais aussi acrro au fait de toucher mon partenaire et là, j’en étais privé et ça me manquait.

Je sentis un premier doigt enduit de lubrifiant titiller mon entrée doucement, tout en léchant lentement mon phallus dressé

Je me tortillais .
Ramil, Ramil haletais-je

Puis je sentis un second doigt en moi et il commença à me sucer, je me cambrais.

Ramil Ramil !

Il bougea de plus en plus rapidement, m’ouvrant en ciseaux, je bougeais et hurlais tel un possédé mais Ramil me possédait entièrement .

Puis je sentis un troisième doigt et sa bouche me suça de plus en plus fort, ses doigts bougeaient en moi, tapaient ma prostate, je voyais des étoiles .

Je me sentais prêt à jouir et je sentis ses doigts s’enlever de moi, sa bouche n’était plus sur mon sexe.
Non ! Hurlais-je de frustration.
Il s’approcha de moi et enroula la chaine autour de sa main.
- Tu croyais vraiment que tu allais jouir dans ma bouche. D’ailleurs je ne sais pas encore si je vais te laisser jouir ou si tu devras te contenter d’un sex-toy en rentrant au palais.
- Non, je vous en supplie, ne faites pas ça!.
- Recommençons. Si tu arrives, avec ma bouche autour de ta bite ou quand je serai enfoncé en toi, à ne pas jouir, je verrai si je me montre clément.

Mon partenaire recommença sa fellation et à s’amuser avec ma prostate avec ses doigts. J’essayais de penser à des choses désagréables pour ne pas jouir, mais sentir l’odeur de Ramil qui remplissait l'habitacle, ses doigts en moi, sa bouche sur mon sexe, son autre main qui m’empêchait de bouger, tout mon esprit était focalisé sur lui.

Puis soudain, il arrêta tout. L’instant d’après, je sentis son sexe entrer à l’intérieur de moi doucement, son corps contre le mien, sa main enroulée autour de la chaine, son autre mainsperdue dans mes cheveux et sa bouche embrassant la mienne.

A fur à mesure que ses coups de reins était de plus en plus forts, sa main enroulée autour de la chaine serrait la chaine, sa bouche me dévorait, sa main tirait plus fort mes cheveux.
- Tu m’appartiens.
- Oui, je suis tout à toi et seulement à toi Ramil.
Il répétait cette phrase inlassablement, je répétais aussi cette phrase en écho.
- Jouis! m’ordonna Ramil.
Je jouis et il jouit à son tour.

Ramil m’enleva le bandeau, je clignais des yeux pour m’habituer à la lumière, puis il enleva les menottes et frotta mes poignets, puis il allait enlever le collier et je l’arrêtais.
- J’aime le porter et j’avoue que cette sensation autour de mon cou, j’aimerais la ressentir plus souvent, surtout pendant tes heures entrainement, des réunions ou certaines de tes obligations auxquelles je ne peux pas assister car le Prince Rachata interdit ma présence à tes côtés.
- Nous regarderons sur internet et nous chercherons un collier plus discret que tu peux porter tous les jours.
Pour ce genre de colis, nous faisons livrer chez ma grande sœur Pranee. Elle avait dix-huit ans, elle étudiait à la fac de médecine. Elle était la seule à savoir pour Ramil et moi.
- Merci Ramil. »

On se rhabilla et on rentra au palais.

 

Nous étions à présent dans le lit après une bonne douche. Ramil portait une chemise en dentelle noire avec un pantalon fluide et moi exactement la même tenue mais en blanc.

Il lisait, moi j'avais installé un bureau réglable que je pouvais mettre sur le lit et je dessinais ma plus grande inspiration : Ramil

J’aimais ses moments de silence loin de l’agitation du palais, où nous étions seulement tous les deux, où chacun vaquait à ses occupation mais on était ensemble.

Soudain il rompit ce silence.

« Je suis désolé, tu as raison. Aucune règle ne t’interdit étudier, je ne veux pas t’empêcher de faire ce que tu aimes dit mon partenaire.
- Donc tu vas me laisser retourner à l’université?
- Oui, sauf pour le cours de Charan… je te trouverais un professeur particulier, tu passeras cette matière en candidat libre. Je te fournirais tout le matériel dont tu auras besoin.
- Merci Ramil dis-je les yeux brillants.

Je lui sautais au cou et je me retrouvais sur ses genoux, ses mains étaient posées sur mes hanches.
- La seule chose que je veux c’est ton bonheur dit-il.
- Je sais.
- Et si je ne voulais pas c’est parce que j’ai peur de te perdre. Si tu rencontres quelqu’un à l’université de ton milieu et que tu tombes amoureux de lui?.
- Et toi, quand tu danses au bal avec toutes ces filles, je crains de voir un jour le regard que tu poses sur moi, sur elle.
- Cela n’arrivera jamais me rassura t-il.
- Ma loyauté, mon amour n’est qu’à toi jusqu’à mon dernier souffle, Ramil. »

On finit par s’endormir blottis dans les bras de l’autre.

Notes:

Voilà cette OS. J’attends votre avis.

La prochaine sera un nouveau chapitre de la fiction Vegas/Pete/ Kim/Chay

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