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Tout recommencer

Summary:

Au moment où Billbo mourut sur le navire des elfes en direction du Valinor, il ne s'attendait pas à revenir pour tout bouleverser. Il est alors chargé de changer le destin de l'ensemble de la terre du milieu, et il ne sera pas seul dans sa tâche.

Notes:

Bienvenue sur cette fanfiction et merci d'avoir cliqué. Ce jour est pour moi l'un des plus importants puisqu'il symbolise un renouveau, une évolution et c'est donc en ce jour de ma naissance que je me lance enfin à publier. Je n'y serais jamais arrivé sans un ami à moi qui a longuement insisté pour la lire. Alors cette histoire lui est dédiée. Cela fait longtemps que cette fanfiction est dans mon ordinateur (deux ans exactement) et je me suis enfin décidé aujourd'hui, à la publier. Plusieurs raisons m'ont fait douter et hésiter à la publier, l'une d'elles est ma dysorthographie, un problème neurologique qui empêche mon cerveau de retenir les règles de grammaire ou d'orthographe. Alors bien sûr j'ai été suivi et je me suis beaucoup amélioré puisque c'est lisible et pas écrit seulement phonétiquement. Mais bien sûr il reste des fautes alors n'hésitez pas à me les faire remonter que je puisse les corriger.
Merci infiniment et bonne lecture

Chapter Text

Le soleil d'or se couchait sur la surface de l'eau devant lui. Le bateau des elfes se dirigeait paisiblement vers les terres immortelles. Bilbo Baggin simple hobbit contemplait ce magnifique orbe de lumière le comparant au trésor des nain. Lorsqu'ils se tournent vers la beauté froide de l'or lui préférer la chaleur de l'astre. Il ferma les yeux se laissant emporter par ses souvenirs d'il y a tant d'année alors que le soleil réchauffer ses trait fatiguait si fatiguait.

Il se remémore le temps ou 13 nains et un magicien avait frapper a ça porte et envahie sa cuisine stoppant à ce moment la vie normale et respectable du hobbit… Ces amis l'avaient emporté dans leur quête fabuleuse pour retrouver un trésor mais pour retrouver par dessus tout leur maison. A l'époque il ne savait dire se qui l'avait poussé à suivre ces amis extraordinaires dans une aventure qui l'était tout autant peut être son coter Took. Mais à présent si on lui repose la question il dirait qu'il avait un abris, une maison, un feu pour réchauffer ses orteils glacés par l'hiver, mais qu'eux n'avait rien, qu'il n'avait qu'un travail précaire et à peine de quoi ce nourrir et que pour les aider contre cette injustice il n'hésitait pas a les aider encore et encore même si cela devait ce terminer par la morts de trois d'entre eux.

Il y avait tant de choix qu'il aimerait changer… Depuis son retour chez lui il n'eut cesser d'y penser, les regrets et les suppositions avaient tourné dans sa tête sans jamais s'arrêter. Il lui avait fallu beaucoup de temps avant qu'il ne se rappelle le vieux proverbe plein de sagesse de sa mère : « avec des « si » on peut refaire le monde ». ces a ce moment précis que son deuil avait réellement commencé alors que les larme coulait en torrent sur ses joue creuser par la fatigue.

Il n'avait pas pleurer depuis qu'il avait été témoin de la dernière respiration de Thorïn et vu la vie quittait ses magnifiques yeux bleus. A partir de la il n'avait pas arrêté de pleurer, la vie pouvait être tellement cruelle parfois. Elle lui avait enlevait Fili et Kili qu'il avait fini par considérer comme ses propres neuves.

Parfois quand il regarde les jeunes coussins Merry et Pippin ils les lui rappellent. Leur insouciance d'enfant farceur mais dévouer qui fut ternie par le poids de la guerre et de la mort.

Elle luis avait enlevé Thorïn ; o Thorïn Oakenshield, le roi sous la montagne. Ce nain l'a, était sans doute le plus fort, le plus courageux et le plus beau de tous. Il avait mener ses homme presque sans jamais faillir, jusqu'à chez eux, la montagne solitaire. Il se souvient de comment Thorïn l'avait emporté dans leur quête sans même lui laisser le temps de prendre son mouchoir. Il se souvient de comment le visage de Thorïn c'était rempli de gratitude et de respect quand il leur avait expliqué pourquoi il n'était pas retourner à Bag-End.Il se souvient de la chaleur qu'il a ressenti quand il fut étreint par les bras de Thorïn après luis avoir sauvé la vie. Il se souvient d'être lentement tombé amoureux du nain, Thorin Oakenshield. Et il se souvient de comment il est mort dans ces bras sans qu'il ne lui a jamais avoué à qu'elle point il l'aimait.

Puis il eu Frodon qui avait perdu ses parents à peine 5 ans. Il se rappelle du petit Hobbit qui l'a fait revivre et de nouveau sortir de chez lui. Chaque soirée au coin du feu ou il lui raconte son aventure. Il se rappelle le jours ou plus grand il lui avait demandé pourquoi il n'avait jamais rencontré Fili Kili et Thorïn alors que le reste de la compagnie luis rendais visite. La question l'avait énormément peiné mais il lui a raconté l'histoire et pas seulement le compte de fée de sa veritable aventure. Il fini par lui raconter que ses trois nain dernier héritier de la ligner de Durin étaient a présents au même plaine de lumière, forêt enchantée et montagne dorée que c'est parent… Il se rappelle l'avoir vu courir a travers les collines mini épée en bois à la main rêvent d'aventure alors que lui sombre petit a petit dans la folie de l'anneau. Il se rappelle ses 111 ans ou Frodon a héritier de l'anneau alors que luis s'enfuyait à Rivendel. Il se rappelle ou peu après Frodon était arriver maudit par la lame de Nazkul, mais que cela ne la pas empêcher de partir accompagné par deux homme, un nain, un elfe, un magicien et trois dévouer hobbit. Il se rappelle de quelque nouvelle qui arrive parfois à Rivendel et qui lui glacé le sang alors qu'il se maudissait de n'être pas suffisamment fort pour l'avoir fait lui même et qu'il prier pour que son adorable neveu revienne saint et sauf. Il se rappelle quand Frodon était arrivé totalement inconscient au palais d'Elrond et qu'il avait veillé à son chevet comme lorsqu'il était malade tout petit. Il se rappelle que son ange n'était revenu n'y saint n'y sauf. Son corps était mutilé et son esprit presque perdu.

Oh oui comme il ya tant de choix qu'il aimerait changer… Malheureusement pour lui il ne pouvait plus rien faire à pressent. Il sentait sa conscience partir doucement comme si il s'endormait mais il s'avait que ce n'était pas le cas. Il n'atteindrait jamais les terre immortelle mais il était soulager que son neveux lui pourrait disposer du repos de ces terre. Pour lui une nouvelle aventure commençait il partait rejoindre c'est anciens amis. Et sur cette dernière penser il poussa son dernier soupir le sourire au lèvre sans se douter qu'elle point il avait raison.

 

                                                                                                                         


 

Le soleil caresser sa peau le réchauffant petit à petit, l'oiseau siffloter à travers la fenêtre une odeur de pain d'épice flottait dans la maison. Cette odeur la connaît il ne l'avait pas senti depuis 20 ans. C'était l'odeur de Bag-End dans la Compté.

C'est yeux s'ouvrir paresseusement, et interloquer, il détailla la pièce dans laquelle il se trouvait, c'était une chambre de Hobbit, sa chambre de Hobbit. Il était allonger dans son lit juste à côté de la fenêtre ronde ou chantait toujours les oiseaux, une armoire se trouve juste à côté de la porte ronde qui donnait sur le hall d'entrée. mais au lieu de l'habituelle coffre en bois ou il avait mi ses affaires de son voyage à Erebore se trouver le petit tabouret que Frodon avait cassé alors qu'il joue étant petit en parfait état. Curieux il se leva de ses lits. Il fut étonner de ne pas ressentir l'habituel douleur au bas dos qui le suivait depuis plusieurs années. Il n'avait mal nulle part et se sentait très reposer il ne c'était pas aussi bien reposer depuis très longtemps. depuis son voyage à Erebore. Sont regard se porte sur le miroir en face de la porte ce qu'il vit l'ébranla tellement qu'il manque de perdre l'équilibre. Il s'approche du miroir pour constater que son visage était lisse sans la moindre ride, ses cheveux étaient d'un brun clair qui brillait d'or au soleil. Il y passa sa main ébahis il était doux et soyeux sans le moindre trou du à la vieillesse il baissa ses main et laissa échapper un hoquet de surprise. Elle était si lisse, elle aussi sans la moindre de ces cicatrices du à l'épreuve qu'il eu a affronter lors de son aventure et qui l'empêche d'oublier toute la peur qu'il avait ressenti.

" Vous êtes enfin réveiller Maître Baggin. "

Son cœur manqua plusieurs battements alors qu'il sursauta violemment. La voix appartenait à une femme qui ce tenait derrière lui. Elle fessait la taille d'un Hobbit bien qu'un petit peu plus grande et était habillé d'une magnifique robe chatoyante qui changeait de couleur au moindre bruissement. Ses cheveux bouclés d'un blond étincelant descendaient en cascade entourant son visage. Il était de forme arrondis et son teins était halé comme un hobbit ayant travailler longuement la terre sous le soleil et pourtant elle semblait aussi belle qu'une fille de haute naissance. Elle avait une figure accueillante et bienveillante et la prestance d'une déesse.

"Yavanna." soufflé jusqu'à ce qu'il tombe au genou. Un sourire naquis sur son lèvre fine et elle incline gracieusement la tête.

« Relève toi Bilbo Baggin »

« Comment est-ce possible ? bégaya t'il obéissant " Je suis mort ne devrait je pas être au plaine de lumière ?

"Oui et non ma chère créature."

"Que voulez vous dire pourquoi suis je chez moi pourquoi ai je le corps de mes 50 ans ?"

"Vous êtes mort en vous dirigeant vers les terre éternelle." expliqua t'elle le rendre plus confus encore "Mais pas dans cette vie."

"Je ne comprends pas, que ce passe t'il."

"Maître Baggin vous feriez mieux de vous asseoir quelque par. Je vais tout vous expliquer. Vous vous êtes éteint en chemin vers les terres éternelles mais votre âme était pleine de regret et de tourment. J'ai eu pitiez de cette âme qui ce présentait à l'entrer des plaines de lumière et j'ai donc demander à Eru tout puissant de te refaire apparaître sur terre, peux avant l'arriver de tes chers amis nain. Tu ais ainsi réparer sous cette forme pour pouvoir changer ton destin."

Les cris joyeux d'un faune insouciant ce firent entendre un peu plus loin tandis que le choque c'était peint sur les trais du hobbit

« Vous voulez dire que je peux les sauver » murmura t'il avec espoir, la peur de n'être ici que pour revoir ces amis mourir le tourmentant.

« Si c'est ce dont vous désirez oui vous le pouvez tout comme vous pouvez ne rien faire et laisser les choses se dérouler sans vous. »

« Si je les laisse partir sans interférait les sauverait je ou les condamnerait je à une mort plus certaine et terrible encore ? »

« Je ne pourrais vous le dire en vous ramenant ici j'ai changer le destin de manière considérable les possibilités son infini et nous tentons généralement de ne jamais regarder l'avenir avec beaucoup de précision pour ne pas a interrompre la vois que suivre décider de nos créature. En te ramenant ici le destin et déjà changer certaines choses seront similaires et d'autres totalement différentes une parole de votre par et le destin de la terre du pourrait être bouleversé en bien comme en mal. » répond elle

« Pourquoi moi je ne suis qu'un simple hobbit qui a déjà échoué tellement de fois, pourquoi me donner une telle responsabilité que celle du destin de la terre du milieu. »

«Bilbo Baggin vous êtes de tout le Hobbit le plus courageux, le plus loyal et qui donne sans compter ni attendre en retour votre bonté de cœur et merveilleuse. Le destin des Hobbits a toujours peser sur vos épaule vous êtes mon champions, celui auquel je crois. Vous changez le destin d'une façon qui j'en suis sur rendra ce monde plus merveilleux, c'est pour cela et à jamais que je vous ai créé ma chère créature. »

Le silence régner a présent dans Bag-End même les oiseaux s'était tut alors que le vielle hobbit, que dit je, le jeune hobbit tentait de digérait l'annonce.

« Quand somme nous » exigea t'il finalement après quelque minute de réflexion

« 3 moi avant votre rencontre avec Gandalf »

« Ce sera largement suffisant » dit il alors que sont cerveaux tournoyer à vive allure.

« Doit je en conclure que vous êtes près pour une nouvelle aventure. »

« Je le suis. » dit'il avec conviction « j'affronterai mille foi Smaug et le terrible Sauron si sa peut les sauver. »

« Bien ! Alors je vous souhaite force et courage pour les épreuves à venir. » déclare elle « Je vous est fait quelque petit cadeaux de bienvenus en plus… vous ne laissez pas la morsure de l'anneau aussi fortement que la première foi je ne peux malheureusement que l'atténuer et non le dissiper totalement. Sur ce fait il est tant pour moi de vous dire au revoir en espérant ne pas vous revoir de sitôt à l'entrée des jardins. »

Puis elle s'évanouit doucement, laissant derrière elle la pièce silencieuse et le Hobbit dans ses penser.

Tous ses souvenirs revenait dans sa tête chaque pas avec ses nain, chaque bataille, chaque pleur après la mort de trois d’entre eux, chaque sourire sur le visage de Frodon. Quelque tant plus tard son estomac finit par le ramener a la réalité, levant les yeux vers l’horloge, il réprima un hoquet de surprise alors qu’il se rendait compte qu’il était midi et qu’il n’avait rien avaler depuis son réveil. Il se hâta vers la cuisine et se prépara rapidement un festin. Durant son repas de revenant il c’était décider de la marche a suivre une détermination nouvelle l’envahissant. Il écrirait son livre ne premier, il l’avait tellement lus et relus qu’il en connaissait désormais chaque ligne par cœur. Cela devrait suffire a lui rappelait chaque détaille et peut être aider les nain dans la suite de leur quête si il venait a mourir. Puis il devrait se rendre a Bree pour remplir son garde manger en prévision de l’arriver des nain. Il en profiterait pour acheter quelque affaire pour son iminant voyage. Satisfait de sa liste mental et ce disant qu’il y rajouterait des chose plus tard il débarrassa sa table chantonnant joyeusement une chanson naine puis il se mis a son pupitre plume a la main et commença le récit de sa première vie. Il ne s’arrêta que très peux et seulement pour des besoin élémentairement, au bout de trois jours d’écriture intense alors qu’il ne sentait plus le bout de ses doigt il termina enfin son écriture il rajouta quelque phrase pour expliquait la suite de la vie en terre du milieu et le destin de l’anneau puis expliqua sa renaissance. Lorsqu’il coucha sa dernière ligne sur le papier ses yeux se fermer tout seul et il dut se traîner jusqu’à son lit ou il s’allongea entièrement habiller si fatiguer qu’il tomba dans les bras d’Irmo la seconde suivante.

Le lendemain lorsqu’il se leva il établit une liste des chose qui lui fallait éviter ou changeait durant son voyage :

-accueillir les nain comme il se doit

-partir du bon pied avec Thorïn

-ne pas partir en courant a Bree avec Gandalf et arriver a l’heure

-me rapprocher des nain pour qu’il lui fasse confiance

-éviter les troll récupérer impérativement dard

-garder les chevaux, et le matériel

-dire au elfe de faire de la viande

-éviter le combat des géant de pierre

-ne pas être capture par les gobelin

-récupérer l’anneau

-ne pas pas jouer chat percher avec les orc

-voir Beorn

-ne pas quitter le sentier

-et éviter Esgoliate

-impérativement sauver la ligner de Durin

un sacre liste si vous vouler mon avis d’autant plus que notre hobbit n’avait aucune idée de comment allier recuperation de dard et éviter le troll ou encores récupérer l’anneau et ne pas aller chez les gobelin c’était une sacrer tache pour notre petit bonhomme au grand pied. Un foit cette liste terminer il entama une nouvelle avec les chose qu’il luis fallait acheter pour Bree ou il irai l’après midi meme

un briquet

un bon paquet de mouchoirs en tissu

un solide manteau de voyage

pantalon

chemise

un gilet

plusieurs peau imperméable

une couverture

une couverture de sol

une boite imperméable a porter en bandoulière

paire de ciseau

désinfectant

quit de plante medicinal

un livre de guérison

du fil

des aiguille

et un nouveau manuscrit ou il écrire cette nouvelle vie

Satisfait de cette liste qu’il estimer complète il pris de l’argent partit de chez lui allant a l’écurie le plus proche il ne pouvait trouvait toute c’est affaire qu’a Bree mais cela lui prendrait une semaine pour y arriver aussi avait t’il besoin d’un poney. Ainsi commença sa petite expédition a Bree…

7 jour plus tard il arriva a Bree, peut après midi et s’arrêta au dragon vert pour manger un morceau une fois repus il alla sur la place du marcher pour commencé ses emplette. Le marcher de Bree était répute pour être bruyant et remplis de gens de tout coin parfois même les elfes de Lorient ou les homme du Gondor venait faire affaire quelque temps ici rapportant des Histoire de la terre du milieu. Il y avait des marchandise provenant de toute les contré. Les gens criai pour attirer l’attention sur leur stand ou s’étaler tissu, jouer poisson, viande, fruit et légume et toute autre chose au merveilleuse couleurs. La joie et l’agitation qui régner en cette endroit était aussi grande que ne l’était autrefois la ville de Dale avant sa chute. Notre cher Hobbit fit donc plusieurs achat ajoutant toute chose utile se laissant emporter par l’ambiance de la ville. Il aimait bien ce lieu il lui rappelait sa mère elle l’y emmenait enfant et il courait s’élancent entre les stand riant au éclat alors qu’elle le poursuives. Cella avait toujours était ainsi, sa mère était son rayon de soleil a elle seul lui racontant chacune de ses aventure avec le sourire au lèvre. Elle parvenait a captivait même le plus grincheux des Hobbit talent dont t’il avait hériter. Son monde s’était écrouler lorsqu’elles était morte et son innocence enfantine était partit en fumé. Il n’avait vu que 15 automne lorsque les loup l’avait tuer avec son père.

Son regard fus soudain porter sur de petit objet sur un des stand. C’était d’étrange pièce en bois de différente forme. Certain était allonger d’autre plus petite et courbée. Approchant curieux il pris l’une de ces pièce et l’examina. C’était un petit tube poli et teinter de brun foncer surmonter d’une sorte de bec de même couleur, l’objet était fixer a une cordelette qui permettait d’être porter autours du coup.

« Puis-je vous aider » fit une voix a coter de lui

Ne l’ayant nullement entendu il sursauta violemment et lâcha l’objet. Sa main bougeât automatiquement sur sa hanche ou ce trouve Dars. C’était un vieux réflexe qu’il avait gardé pendant longtemps après la quête. Bien que dès lors ou il était rentrer en comté il avait ranger chacune de ces affaire espérant enterrer a jamais tous les souvenirs lier a la compagnie. Son voyage l’avait changer a jamais et le moindre bruit le fessait sursauter ce réflexe n’avait jamais cesser. Il avait fini par ressortir son épée lorsque peux a peux la terre devenait dangereuse ce qui n’avait pas aider a abandonner son réflexe. Lorsque Frodon était arriver a Focombe il s’en était séparer pour qu’il puise se protéger mais sans elle il ne serait jamais vraiment sentit complet. Lorsque Frodon était revenus il luis avait rendu sa lame et il avait continuer a la porte jusqu’à la fin de ses jours même si se bras n’était plus capable de la dégainer. Malheureusement Dars n’était pas attacher a sa hanche, elle était encore dans le trésors de troll non loin de la avec ses sœur Glandring et Orcrist.

« Veiller m’excuser je ne penser pas a vous surprendre Maitre Hobbit » repris la voix a coter de lui.

« Ce n’est rein c’est de ma faute je me suis laisser distraire » répondit t’il reprenant ces esprit

Il se pencha pour ramasser l’objet et ce retourna pour voir son interlocuteur. Le choque le figea a nouveau alors qu’il découvrait qui était le vendeur. Il s’agissait d’un nain de forte stature et qui avait une impressionnante barbe rousse qui s’accordait avec ses cheveux tout aussi impressionnant, Bombur. Le nain le regardait avec un souvenir bienveillant dont il avait l’habitude. Le cuisinier et lui avait passe pas mal de temp ensemble durant la quette surtout car il était une presence calme pour Bilbon. Le nain et lui n’avait pas vraiment besoin de parlait et quand il le fessait c’était au sujet de la nourriture qu’il chérissait tout les deux.

«  vous allez bien monsieur » demanda Bombur. Il le regarder avec inquietude son sourire se fessant timide

« oui excuser ma maladresse, j’ai était surpris par votre ressemblance avec un vielle ami que je n’ai pas vu depuis longtemps » dit-il en se reprenant.

De la ou il venait Bombur était mort. Une mort triste et horrible. La femme et les enfant de bombur était mort d’une attaque d’orc alors qu’il se dirigeait vers la montagne solitaire pour rejoindre leur mari et leur père. Le nain fut accablé par le chagrin et ce refugia dans la nourriture. Quelque année plus tard il les suivit en s'étouffant avec sa nourriture. Le guérisseur avait dis que s’il y n’était pas mort ainsi sa suralimentation aurait fait des dégât irréparable rendant sans aucun doute sa mort plus horrible.

« ah bon !? S’étonnât son vielle ami « ou est t’il « 

«  Il est mort" lâcha Bilbon sans préambule mais cette foi il était determiner a ce qu'aucun évènement tragique ne se produise et entraine ses amis dans le malheur.

« Je suis navre mes condoléance «  s’attrista le cuisinier

«  ce n’est rien vraiment cela remonte a fort longtemps » répondit-il avec nostalgie «  enfin ! Dite moi a present a quoi sert ce petit objet »

« ce son de appeaux, ses sifflet, on sens sert pour la chasse. Il serve a attirer la proie la ou on se trouve. Par exemple celui ci est le cris du corbeau. Regarder. »

il sortit un collier de sa chemise ou plusieurs appeaux était accroché il en pris un et mit sa main légèrement devant couvrant une partit du sifflet. Puis il mit l’autre extrémité surmonter du bec dans sa bouche et soufflât dedans éloignant doucement sa main. Le son qui sortit resemble comme de goute d’eau au croassement de corbeau. Il recommença l’operation laissant une deuxième plainte s’échapper. Son vielle ami le regarda avec amusement alors qu’il fixait l’objet ébahis .

«  c’est vous qui avez fait c’est merveille ? » demanda bilbon

« moi ! Non je ne fait que le vendre. C’est mon cousin qui la fait. Il est fabriquant de jouer et de toute autre joli chose ne bois » répondis le nain.

En effet Bifur ne pouvait pas vendre ses creation étant incapable de parlait se sentant brusquement stupide de ne pas y avoir penser plus tot Bilbon rougis brusquement.

«  Ah oui » fi t’il mine de s’étonner «  Et combien vendrait vous cette appeaux ? »

«  10 sous »

Bilibon fronça intérieurement le sourcil, il était certain que cela valait moitié moins. ? Puis aussi stupidement que précédemment il se maudit, ce son des nain des montagne bleu évidement que si il voulait survivre il devait vendre plus cher. La vie la bas ne tenait qu’a un file tout les hiver plus encore de monde mourait par manque de nouriture.

«  Eh bien je vous en donne 20. C’est un travail magnifique et cela le mérite amplement » offrit bilbon alors qu’il sortait sa bourse.

« Non ! Non ! Ce n’est pas nécessaire ne vous en faite pas ! » paniqua Bombur.

« écouter Maitre nain. Je suis ce que l’on nome un gentlehobbit et par ce fait je suis plutôt essais. Hors si j’en croit mon instinct et votre accent vous venez des montagne bleu et mon instinct ne me trompe jamais. La comté a peut-etre decider de faire l’autruche mes moi je ne suis pas aveugle. Je sais dans qu’elle condition vous et les votre vivait et si je peux vous aider meme peux je le ferait. Declara t’il avec fermeter sou les yeu brillant de son ami.

« Je… si vous insister… «  finit par accepter bonbur

Bilbo savait que le rouquin ne pouvait refuser son aide il craignez pour ses enfant et plus d’argent ne ferait que plus de bien.

Le Hobbit paya donc ce nouvelle outil et l’attacha autour de son coup.

«  bien ! » sourit 'il au nain heureux de son nouvelle achat «  je vous souhaite une bonne journées maitre nain… » mais s’il fut interrompu par une main sur son épaule.

« Bombur, maitre hobbit » quiconque ayant une aussi grande gentillesse envers moi et mon peuple mérite de m’appeler par mon nom.

« alors ce sera Bilbo, Bombur » sourit t’il

le nain posa alors sa tête contre la sienne de manière naine.

« Merci Bilbon je me souviendrait de toi »

Le hobbit sourit une foi de plus puis s’en alla serrant le appeau dans ces main alors qu’une larme de tristesse coulait sur son visage en souvenir de l’ancien Bombur qui était mort il y a longtemps. Puis une autre suivit mais cette foi un sourire l’accompagna alors qu’il célébrer son ami retrouver.

Par Yavanna si il était ainsi en revoyant Bombur comment serait t’il en revoyant Thorin, Fili et Kili. Il soupira chassant cette penser de son esprit sachant que ce ne lui serait pas bénéfique, pas bénéfique du tout. Il continua a déambuler tranquillement dans le marche son esprit s’aventurant dans le passé alors qu’il regrettait son arme favorite, Dars. Soudain il s’arrêta son cerveau créa un plan rapidement alors que l’espoir ce dessinait en lui. Oui c’était faisable il était sur que si il partait demain cela pouvait être fait. C’est décidait il irait ! Il allait récupérer Dars des troll puant et idiot qu’il avait rencontrait.

 

Il irait a la forge et demanderait une cote de maille légère mais solide ainsi qu’une épé adapté a sa taille. Il prendrait aussi plusieurs couteau a lancé et éventuellement voir si des aiguille de la taille de sa main pouvait être fabriquer. Puis il achèterait de la nourriture et partirait en direction des troll, a vive allure il pourrait y être au bout en moins de trois semaine. Il pourrait même rendre visite a Elrond.

Bien décidait il parti a la forge, elle se situer plus loin du marche dans une rue plus calme et tranquille. Ainsi marcha t’il en silence jusqu’à elle ce fut sans doute pour sa qu’il entendis si facilement ce rire qui émanait de la forge. Ce rire était reconnaissable entre tous, il le connaissait ces tonalité par cœur il n’avait jamais cesser de l’entendre dans ces rêve. Ce rire magnifique appartenait a Fili son cher et tendre Fili. S’approchant sans bruit il jeta un œil a l’intérieur de la pièce, ce qu’il y vit le ramena des année en arrière.

Kili semblait c’être jetait sur Fili alors ce dernier riait a gorge déployer. Leur visage si innocent sans souci autre que de simple chamaillerie… eh… oh mon dieux dans un coin de la pièce non loin de ses neveux fument une pipe ce tenait Thorin riant doucement face au pitrerie des deux jeune nains. Si beau. Si jeune. Si vivant.

«  vous savez que j’ai raison » rit Fili «  si tu avait plus d’arme sur toi que seul ton épée et ton arc tu aurait pu tenir davantage »

«  C’est pas vrais tu te moque de moi tu sais que j’aurais gagné si tu ne m’avait pas chatouillaient si déloyalement » grogna Kili.

«  Tout les coup sont permit, a la guerre comme a la guerre » taquina Fili

la chamaillerie continua encore un peux alors que Bilbo tentait de retenir ses larme. Il les regarda encore longuement et cela n’aurait jamais cesser si…

« aller le garçon on se remet au travaille, la pause et fini : c’est beche ne vont pas ce forger toute seul ! Dis Thorite avec sa voix grave mais douce qu’il ne réservait qu’a ces neveux et ce seulement si il était sur que personne n’était la.

«  oui oncle » on t’il répondit en cœur les deux frère se remettant au travaille après une dernière chamaillerie

Enfin Bilbo essuya les quelque larme qui avait couler, rassembla son courage et entra silencieusement. Aucun des nain ne le remarqua aussi ce racla t’il la gorge et les saluât

«  Bonjour » fut la seul chose qu’il fut capable de dire avant que trois lame ce tourne vers lui et son coup. Il ne cilla pas s’attendant a cette accueille qui lui permis de reprendre contenance.

« Qui êtes vous » grogna Thorin

« Bilbo Baggin pour vous servir » Il s’inclina légèrement puis repris la parole. « veillez m’excusez si je vous et surpris cela n’était pas mon intention.

Les trois nain jugère rapidement le Hobbit puis ne le considèrent pas comme un danger il rengainèrent leur épée.

« Que puis-je faire pour un Hobbit » questionna Thorïn sans politesse, toujours sur ces garde et l’observant suspicieusement.

« J’aurai besoin d’un équipement » commença t’il « Une cote de maille légère et si possible le plus silencieuse possible tout en la gardent solide, une épée adapter a ma taille, plusieurs couteau a lancer et une vingtaine d’aiguille de cette taille. »Il montra sa mains puis désigna son majeure et le bas de sa paume. Serait t’il possible de me les fabriquer ? »

Les forgerons le regardèrent avec étonnement se demandant comment une si petite chose pouvait demandait un telle équipement si réfléchit alors que la plupart des Hobbit qu’il rencontrer frisonner de peur a la vue de leur épée et ne demander que de réparer un bêche casser. Finalement Thorïn répondit.

« oui cela nous est possible mais pas sans coup. Et je ne pourrait pas vous le faire avant une semaine »

« combien ? » demanda t’il réfléchissant

« 100 pour la cote,80 pour l’épée, 70 pour les couteau et de nouveau 70 pour les aiguille ce qui fait un totale de 320 sous d'argent »

« Très bien je pais le double si vous pouvez me faire cela avant demain soir. »

Les deux frère écarquillèrent les yeux.

«  Cela ferait un total de... » commença Fili

« 640 » termina Bilbo « Avons nous un accords ? »

Thorïn fit mine de réfléchir mais Bilbo savait que c’était bon.

« oui » accepta t’il finalement son visage était neutre mais Bilbo le connaissait suffisamment pour savoir qu’il était content de son affaire. Nul doute qu’il pensait au bouche affamé de son peuple bien que cette commande n’était pas grand-chose elle en valait 4 de ce qu’il pouvait avoir dans la comte.

« venais maître Boggin » sautilla Kili «  nous allons prendre vos mesure. »

« maître Baggin Kili Baggin » corrigea son frère envoyant un regard d’excuse au hobbit qui lui souri en retour.

« oui, oui »

Mais Kili n’écouter déjà plus

« a quoi vous serviront ces aiguille que vous avez demander » interrogea Fili la curiosité brillant dans ces yeux.

« poison » déclara Bilbo «  parfait pour les mission furtive dans le but de tuer ou d’endormir quelqu’un »

«  et vous saurez les manier ? »

«  Je suis doué au fléchette »

« ah oui » dit Kili « tenait essayer » Il lui tendit un fléchette et lui montra la cible derrière lui. Mais Bilbo voyait cela comme trop simple et ramassa une feuille qu’il donna a Kili.

« lancer la puis dite top »

Il se plaça dos a la cible a 10 pied d’elle. lorsque le top retentit il se retourna, localisa la feuille, visa, puis tira, tous cela en une fraction de seconde. La fléchette avait transpercé la feuille pour la coller sur le centre. Un murmure d’admiration jaillit de la bouche de Fili derrière lui.

« les aiguille n’on ni le même poids ni la même maniabilité que les fléchette, Maître Baggin. » dis Thorïn a quelque pas de luis.

« Je le sais mais avec de l’entraînement je pense que je puise réussir a les utilisé. »

Thorïn hocha une fois la tête regardant ce curieux Hobbit qui avait débarquer dans sa forge. Puis il se leva et rappela c’est neveu a l’ordre.

« aller au boulot il faut commencés tous de suite si nous voulons terminer demain. »

Les garçon se précipitèrent pour prendre ces mesure mais a aucun moment Thorïn ne cessa de le regarder. Bilbo avait essayer de soutenir son regard bleu azure magnifique a plusieurs reprise mais avait échouer misérablement a chaque foi. Il n’y arrivait tout simplement pas, les regarder alors qu’il avait vu la vie les quittait était insupportable. Lorsque les mesure furent prise il les remercia puis parti le cœur en peine de la forge. Il réserva une chambre d’auberge et si enferma, a la seconde même ou la porte fut close un torrent de larme dévala ces joue. Il les avait vu de nouveau vivant ces garçon plein de vie et Thorïn plus fort que jamais. Il l’ai avait vu vivant et il ferait tout pour qu’il le reste.

Chapter Text

Le lendemain Bilbo se leva tôt et prit un petit-déjeuner à l’auberge. Lorsqu’il sortit, il fessait encore sombre et un brouillard léger dû au temps hivernal recouvrait la place du marché ou les marchants installaient déjà leur stand. Dans ce léger froid hivernal, il se rendit sur quelques étales qui lui permettraient d’acheter de la nourriture qui puise se conservait pour un voyage. Quand il eut fini, il avait de quoi faire un voyage de trois semaines. Et dans son sac s’était glisser un livre permettant d’identifier dans la nature ce qu’il pouvait manger au cas où la nourriture viendrait à manquer. Satisfait de ses achats, il se mit en quête de l’écurie où il avait installé son poney, le temps de ses affaires a Bree. Il parcourut la ville puis s’arrêta alors que son odorat fut attiré par l’odeur de pain sorti du four. À quelques mètres de la une boulangerie se tenait. Il approcha en salivant, la boulangerie avait un avant aux couleurs rouges délavé au-dessus d’une vitre, à travers laquelle était exposé des pâtisseries, au fond la boulangère sortait le pain doré du four. Gourmand, notre Hobbit entra, l’odeur qui l’envahit lui fit saliver davantage. La gérante le voyant entre lui adressa un sourire.

« Comment puis-je vous aider ? » Questionna t’elle

« Oh, excusez-moi, j’ai été attiré par l’odeur de votre pain, je ne fessais que regardait » bégaya-t-il le rouge lui montant aux joues.

Il n’avait pas mi les pieds dans une boulangerie depuis de nombreuses années. Quand il eut, c’est 90 ans, il ne sortait plus qu'autour de cher lui l’anneau l’avait rendu suspicieux de tous et l’empêcher de partir trop loin. Une fois a Rivendel, il n’y avait plus de boulangerie. Le pain était fait en cuisine où on lui avait demandé de ne pas s’aventurer, car il était si petit que personne ne le voyait et beaucoup trébucher sur lui. L’odeur douce et chaude du pain lui avait manqué.

« Aucun souci, n’hésitez pas a me le demandait si vous souhaitez quelque chose. »

Il acquiesça et commanda une petite miche de pain. Ce à quoi elle se dépêcha pour le servir. Il n’aurait pas l’occasion de mangé à nouveau du pain frais lors de son voyage.

« Tout compte fait rajouter moi en trois autres s’il vous plaît » demanda-t-il.

Après tout, il ne serait pas le seul à ne pas pouvoir en manger pendant un moment et l’envie de les revoir le démanger. Il paya puis abandonna sa chasse aux écuries. Il irait voir son poney plus tard. Il se dirigea donc vers la forge. L’aube commençait a pointait le bout de son nez quand il arriva a la forge. Elle était déjà allumée et il pouvait entendre les marteaux frapper sur le fer. Il entra sans annoncer sa présence, mais il se fit tout de même repérer par Kili qui semblait faire fondre du metal alors que Fili polissait et aiguisait un couteau, Thorin forgeait une épée un peu plus loin.

« Maitre Boggin ! Que faite vous ici de si bonne heure » s’exclama-t-il en guise de salutation.

« Bien le bonjour maître nain. » Salua-t-il « Mais je crains de devoir vous privez de ce que je vous ai apporté si vous ne cessez pas de m’appeler Boggin, c’est Baggin. Vous pouvez m’appeler Bilbo si vous le souhaitez » A cela, il sourit gentiment puis se tourna vers Fili et Thorin qui avait arrêté leurs activités pour se rapprocher.

« Bonjour à vous aussi » dit il en inclinant la tête

Ils le saluèrent aussi avant que Kili ne revienne à la charge.

« Vous nous apportez quelque chose ? » Demanda-t-il curieux

« Oui, » Il sortit une des miches qu’il avait puis les lança et que le nain rattrapa rapidement et facilement.

« Il est encore chaud profiter en. »

« Merci maître Baggin »

« Bilbo, maître nain, appeler moi Bilbo »

« Merci Bilbo, mais dans ce cas appeler moi kili »

Il sourit puis il lança les autres miches à Thorin et a Fili.

« Tenez pour vous. Maître nain » offrit t’il.

Les deux attrapèrent facilement leur cadeau puis Fili le remercia avant de s’installer avec son frère sur l’une des tables du coin. Thorin pour sa part ne dit rien se contentant de prendre une bouchée. Cela Bilbo s'y attendait, Thorin n’avait jamais était particulièrement poli, une chose pour laquelle Balin s’arrachait souvent les cheveux, ainsi, ne s'en formalisa-t-il pas. Il prit son propre pain et s’assit lui-même dans un coin de la pièce. Il mangea une bouchée de pain qui était encore chaud et ferma les yeux. Il n’y avait aucun doute le pain des hommes était meilleur que celui des elfes. Toujours les yeux fermés, il sentit une présence s’asseoir à côté de lui. Il sourit, il ne fessai aucun doute que Thorin voudrait des réponses, il était même étonnant qu’il ne l’ait pas fait tout de suite en grognant ou râlant.

« Je peux vous aider ? » Questionna-t-il mettant fin au silence. Comme il s'y attendait son ami, ne passa pas par 4 chemins

« Pourquoi faite vous cela ? » Demanda-t-il

« Cela quoi ? »

« Payer un pain à chacun de nous, donner le double de ce que vous devait pour cet équipement et commander un équipement en premier lieu ? »

« Tout cela ? Vous savez que vous n’avez pas à savoir la moitié de ce que vous me demandez ? » Dit-il se tournant pour le regarde. « Enfin, ça met égalent, je vais vous répondre. »
Il se redressa un peu et prit une autre bouchée.

« Premièrement, les routes sont de moins en moins sûres et un arsenal me serait bien utile bien qu'à part les aiguilles, je ne suis pas très doué pour l’épée et les couteaux. Deuzio, j’aimerais prendre la route rapidement le plus tôt serait le mieux. Et enfin je ne suis qu’un gentil Hobbit qui avait envie de se réchauffer dans la forge par ce jour froid d’hiver, d’ailleurs, je crains qu’il ne neige bientôt, et qui a trouver une boulangerie en chemin. »

Il sourit à son ami à côté de lui.

« Est-ce que j’ai répondu à vos questions ? » Dit-il avant de se retourner et de regarder Fili et Kili qui se chamaillait une fois de plus
.
« Je pense que vous avez menti à la fin. »

Il haussa les épaules et regarda ses garçons tendrement.

« C’est possible. »

« Quelle est la vérité alors ? »

La tristesse peignit ses traits alors qu’il se détournait pour regarder Thorin.

« J’aime beaucoup les enfants Maitre Oakenshield encore plus ce qui doivent grandir trop vite. »

« Que voulez-vous dire ? Comment connaissiez-vous mon nom » Gronda t’il doucement ?

« Il ne devrait pas avoir à travailler aussi jeune, ce ne sont encore que des enfants, mais je sais que votre peuple a besoin de leur main. Je ne peux juste pas m’empêcher de vouloir alléger leur travail avec un peu de gentillesse, je sais que peux de Hobbit, et même d’homme son agréable ici.

« Nous n’avons pas besoin de votre pitié semi-homme ! S’exclama-t-il fortement attirant l’attention de ses neveux.

« Ce n’en est pas. La pitié et un sentiment que les gens ont quand ils considèrent quelqu’un inférieur a soit ! » Dit il élevant la voix. En revanche, je compatis, je sais ce que c'est d’avoir faim. De voir des gens dépérir de manque de nourriture ou de froid ! De s’inquiéter pour notre peuple, nos amis, notre famille ! Alors oui ! Quand je vois des gens qui soufre des enfant qui soufre certes moins que d’autres, mais ne penser pas que ce qui arrive à leur peuple ne les préoccupe pas ! Je sais qui vous êtes Thorin Oakenshield héritier da la ligné de Durin ! Et je sais que si vous ne demandez pas d’aide ou que vous ne récupérer votre patrie, vous verrez votre peuple mourir enfermé dans c’est montagne. Et vos neveux porteront cette culpabilité comme vous portez celle de votre grand-père, Thror. Alors cesser de rejeter toute aide qui vient à vous ! »

À la fin de sa tirade, il était à bout de souffle, mais il soutenait fermement le regard de celui qu’il pourrait appelait roi.
Finalement, au bout de quelques minutes de silence, il se leva et se dirigea vers la sortie.

« Bonne journée, Maitre Oakenshield. »

Sur ces mots, il partit laissant la pièce dans un silence pensant.

Il marcha pendant un long moment après cela se traitent d’imbécile. Il était censé partir du bon pied avec Thorin au lieu de quoi il s’était encore disputé. Rancunier comme il était, Thorin et lui n’allait pas cesser avant un moment de se quereller.

Lorsqu’il sortit enfin de c’est idée noire le soleil était déjà haut dans le ciel et son ventre le ramena encore à lui. Il avait une fois de plus rater le second déjeuner et le goûter. Il ne semblait ne plus rien y avoir de Hobbit en lui. Soit se dit-il fallait qu’il s’habitue a manger que 3 repas par jour au lieu de 7 s'il voulait avoir un voyage un peu moins pénible. Son estomac lui rappela une fois de plus qu’il avait faim. Il prit donc le chemin de l’auberge pour manger. Arrivait là-bas, il commanda à manger, mais une fois terminer, c’est idée noire resurgir. Sans s’en rendre compte, il commanda de plus en plus d’alcool qui dans un cercle vicieux le fessai plongeait encore plus dans c’est idée noire. Malheureusement, il n’était pas suffisamment alcoolisé pour ne pas sentir le poids de sa bourse disparaître soudainement. Sa main attrapa automatiquement celle qui le volait le ramenant à ces esprits. Bien que son cerveau soit un peu embrumé, il reconnut sans mal Nori. Le nain le regardait surpris d’être découvert si facilement. Il sourit tranquillement recouvrant peut a peu ses esprits.

« Vous devriez savoir qu’il ne faut pas voler un autre voleur maître, nain » commença-t-il alors que la surprise se peigner sur le visage du voleur. « Venez allons discuter ailleurs. »

D’un geste habile de la main que nori lui-même lui avait appris, il récupéra sa bourse puis en sortit quelques pièces qu’il déposa sur le comptoir. Puis il entraîna son compère après lui dans un coin sombre en dehors de l’auberge. Il vérifia que personne ne l’est suivi et se tourna vers son ami.

« Vous semblez avoir vu un fantôme. »

« Qui êtes-vous ? » Demanda-t-il reprenant contenance.

« Bilbo Baggin pour vous servir. Et vous quel est votre nom ? »

« Comment avez-vous fait pour me sentir vous volez » interrogeas il.

« J’ai appris avec un ami cher qui avait pour manière d’enseigner a ce que je reste entièrement sur mes gardes. »

Lui et Nori avaient commençai a jouer a volez sans que personne ne s’en rendre compte lors de la quête au début Nori gagnait souvent rapportant un nombre impressionnant de chose appartenant a Dwalin, mais au fur et à mesure, il avait commencé à gagner. Malheureusement, Nori n’avait pas accepté cela aussi facilement et avait commençai à le voler lui. Bien sûr, peu importe le nombre de prix que le Hobbit rapporté si Nori avait obtenu quoi que soit de lui, il gagnait automatiquement. Lui par contre n’avait jamais réussi a voler le voleur et il avait rapidement compris la leçon. On ne vole pas un voleur. Hélas cela signifier que temps que Nori arrivait à le voler, il n’était pas un voleur accompli. Il avait donc commençais a rester sur ses gardes pour garder ses possessions.
« Ceci lui avait pris plus de temps que de voler, il n’arrivait pas à se rendre compte quand nori le volai. Au bout de plusieurs mois, il avait enfin réussi à attraper le voleur. Celui-ci avait souri et l’avait salué à la manière naine tapotant doucement (c’est un Hobbit) sa tête. Ce geste lui montrait qu’il le considérait comme son égale. Il avait prouvé sa valeur.

« Maintenant dite moi votre nom, je vous ai donné le mien fait échange de bon procéder » reprit il.

Le voleur le regarda encore méfiant mais fini par répondre.

« On m’appelle le voleur aux mille ressources. »

« Je me suis présenté sous mon vrai nom, je n'en demande pas moins de votre part. »

« Je ne vous ai jamais demandé de le faire. »

Bilbo haussa un sourcil, mais capitula, Nori était trop prudent et ne laisserait jamais passer son nom de peur de nuire à sa famille.

« Bien comme vous voulez, qu’est ce qui vous amène à me voler, voleur aux mille ressources. »

« Cela ne vous regarde aucunement. » riposta le nain

« Vous avez essayé de me voler, j’aimerais au moins savoir pourquoi. »

Nori le jaugea rapidement puis céda.

« J’ai une famille à nourrir. »

« Comme beaucoup de monde, maître voleur »

"Oui, mais certain ont plus de mal que d’autre »

Bilbo soupira puis sortit 20 sous de sa poche.

« Tenez, pour vous et votre famille. Je vous aurez bien donné davantage, mais je prépare un voyage. »

« Je n’ai pas besoin de votre charité. » Protesta-t-il.

« Vous non, mais votre famille en a besoin. »

Nori commença à protester violemment attirant l’attention sur eu.

« Maitre nain, soit vous prenez ces sous soit je vous les fait avalez et vous devriez attendre de les éjecter par-derrière pour me les rendre et alors je serais déjà loin. » Siffla-t-il priant Yavanna de la protéger de l’entêtement des nains.

Cela bien que très mal poli eut le mérite de le faire taire le nain. Malheureusement, le silence ne dura que quelques instants alors qu’une clameur s’éleva non loin.

« Au voleur, au voleur, ce satané voleur m'a volé. Trouvez-le ! Il était accompagné d’un voleur Hobbit.

Les regards commencèrent à ce tourné vers eu, murmurant et les montrant du doigt. Le bruit se rapprocha les prenant en chasse. Bilbo réagit rapidement, il attrapa le bras de son ami est ce mi à courir.

« Venez sauvons nous. »

Le nain ne réagit pas et se laissa entraîner par Bilbo. Il courait dans les dédales de la ville essayant d’échapper à leur poursuivant. Parfois, il parvenait à les distancer, mais peu après ils se rapprochaient.

Lorsqu’ils réussir enfin à s’éloigner suffisamment Bilbo changea brusquement de direction partant vers une cachette.

«  Ou est ce que vous nous emener ?! »

« En sécurité ! Tais-toi ! » Répondit-il sans politesse

Après plusieurs minutes de course, il s’arrêta net fessant trébuchait son ami, il ne prit pas le temps de s’excuser et il poussa le nain dans l’écurie les faisant tomber dans la paille. Nori commença à se plaindre, mais Bilbo plaqua sa main sur sa bouche l’obligeant au silence. Il écouta à l’affût du moindre bruit. La clameur s’semblait s’éloigner de l’écurie. Il resta la a guetter le bruit pendant une petite demi-heure les muscles tendus près à bondir sans bouger d’un cheveu. Quand il fut sur de la sécurité, il se détendit et rendit la parole au nain à côté de lui. Nori ne tarda pas à parler.

« Sont-ils partis ? »

« Je pense, nous devrions tout de même rester cacher quelque temps. »

Il s’allongea dans la paille, relaxant ses muscles peux habituer à ce traitement.

« Ne pensait pas que j’ai oublié où nous en étions avant d’être pourchassé... »

« Je ne veux pas de vos sous »

« Vous les prendrez ! Prenais cela pour une dette. Vous m’avez fait passer pour un voleur alors que je n’avais encore rien volé. »

Le nain grogna, mais fini par tendre sa main ou Bilbo déposa les sous. Il ferma alors les yeux soupirant.

« Il semble que je doive partir avant ce soir, j’avais espoir d’un dernier repas chaud et d’un bon lit avant de partir, mais je vais devoir faire une croix dessus » souffla il.
Nori ricana à côté de lui.

« Ne vous moquez pas ! C’est de votre faute si cela m’arrive ! Vous pourriez au moins me dire votre nom maintenant » bouda il alors que Nori riait à nouveau.

« Vous voulez vraiment savoir mon nom, Maitre Baggin... »

« Bilbo ! Appelez-moi Bilbo ! »

« Si vous voulez. Pourquoi voulez-vous tant savoir Bilbo »

« Ma curiosité n’a pas de limites et j’aimerais savoir qui j’ai aidé. »

« Soit je pourrait le faire. »

« Mais vous ne le feriez pas, car vous ne voulez pas que votre nom attire des ennuis à votre famille."

« Vous êtes très perspicaces, mais en effet oui. »

« Je comprends, je n’insisterais pas plus. »

Il se leva et étira ses muscles puis regarda le nain allongé. Il avait de la paille partout dans sa barbe et ses cheveux, ce qui le fit rire.

« Qui a-t-il ? »

« Vous êtes plein de paille » sourit-il

Nori passa sa main dans ses cheveux élevant un peu de paille au rire de Bilbo.

« Je vais devoir vous laisser maître nain. J’ai encore quelque petite chose à régler avant mon départ. »

« Au revoir Bilbo au plaisir de notre prochaine rencontre, j’ai le sentiment que ce sera d’ici peux de temps. »

Il ne s’avait juste pas à quel point il avait raison. D’un signe de la main, Bilbo s’éclissa se dirigeant vers le maître d’écurie qui travaillait plus loin. Il lui paya la garde de mithril son joli petit poney puis fit le tour de la ville le plus discrètement possible pour se rendre a la forge. Une foi arriver, il attacha mithril et entra. À la seconde même ou il posa le pied dans la forge Kili le repéra.

« Bilbo ! Cria-t-il alertant toute la forge.

« Kili ne criait pas ainsi vous aller faire peur au autre ! » Réprimanda-t-il le jeune nain. Mais son rire annula tout.

« Vous semblez de meilleure humeur que lorsque vous êtes parti ce matin, Maitre Baggin « dit Fili prudemment.

« En effet, bien que les circonstances ne le prêtent pas vraiment. Mais appellent moi Bilbo, je ne vois pas pourquoi ton frère le pourrait et vous non. »

Depuis qu’il était entré, il n’avait pas jeté un regard à Thorin, mais il s’avait que celui-ci par contre ne le quittait pas des yeux le jaugeant du regard.

« Alors ce sera Fili ! » S’exclama le blond le ramenant à ces pensers. « Vous venez chercher votre commande ? »

« Oui, c’est le cas, je dois malheureusement quitter la ville avant la nuit. Sont tel prête ? »

« Elles le sont. »

La voix de Thorin était grave et profonde lui donnant des frissons. Il se força à regarder son ami. Contre toute attente, il n’y avait aucune colère dans le visage du roi, seulement une neutralité absolue. Bilbo inclina la tête en signe de respect avant de parler.

« Je peux les voir. »

Ce n’était pas véritablement une question, mais Thorin hocha tout de même la tête l’invitant a approchait. Sur la table, se trouvait sa commande terminée. Il prit l’épée qu’il soupesa elle était plus lourde que dard, mais était parfaitement adapté à sa taille. Le manche fait pour sa main et était recouvert de cuire lise qui il l’espérait l’empêcherait d’avoir des cloques. Il fit quelque mouvement que Dwalin lui avait appris et la trouva parfaite. Bien qu’il n’est aucune expérience, il en était certains car Thorin était un forgeron hors pair. Il rengaina son épée et passa à la cotte de mailles en argent, elle était plus lourde que celle de mithril, mais elle semblais solide, une foi sous sa chemise, il serait protégé et ne ferait aucun bruit. Elle avait été faite pour éviter tout tintement et était idéale pour des missions furtives. Les couteaux semblaient encore une fois à sa taille et très coupant, il lui faudrait qu’il apprenne a sens servir s'il ne voulait pas se couper. À côté, se tenait une pochette en cuir qui semblait pouvoir être glissé à sa ceinture, une sorte de mousse avait été mis au fond et les aiguilles y étaient planté. Un autre compartiment à côté pouvait vraisemblablement accueillir quelques fioles ou autre petite chose de même taille. Il la prit étonner et Fili et Kili furent instantanément à ses côtés.

« Nous avons fait cela. La pochette peut s’accrocher à la ceinture et le système de fermeture et facile ce qui permet d’être très rapide. Le compartiment à côté permet de mettre les poisons dont vous nous avez parlé. C’est pour vous remercier du pain de ce matin et... » dit Fili

Thorin lui jeta un regard noir lui signifiant d’arrêter de déblatérer. Le message ne dut pas être intercepté par Kili car il continua.

« Et pour votre gentillesse. Enfin, voilà, c'est notre petit cadeau. »

« Les garçons » dit il ému. Il semblait que ces garçons l’aient adopté une fois de plus. » Vous n’aviez pas besoin de faire cela. Je ne sais que dire. C’est beaucoup trop. »

« Nous en avions envie » répondit Kili en haussant les épaules. « Dites simplement merci ce sera amplement suffisant.Ne pensait même pas à refuser. »

Bilbo regarda ces garçons et soupira, il savait que les nains ne se laisseraient point convaincre que c’était trop pour lui.

« Bien alors si je n’ai pas le choix » dit il en rigolant «  Que Yavanna me protège de l’entêtement des nain ! Merci beaucoup, je chérirais ce présent. »

Il sourit alors avec nostalgie voulant serait ces garçons dans ses bras comme il l’avait fait à de nombreuses reprises. Mais il s'en empêcha, il n’était pas suffisamment intime et il lui fallait absolument partir.

« Je vais malheureusement devoir vous quitter, je dois partir dès ce soir » dit, il regrettant de devoir partir.

Il mit l’argent sur la table et rangea ses affaires.

« Pas si vite, Maitre Baggin, vous ne pouvez pas partir ainsi alors que vous n’avez pas répondu à mes questions » l’interrompit Thorin alors qu’il enfilait sa cotte de mailles.

« En quoi puis-je vous aider Maitre, Oakenshield ? » Demanda-t-il tout en continuant de ranger ses affaires.

« Comment ce fait il que vous me connaissez moi et mes neuve ! Nous n’avons révélé notre identité à personne. Et personne ne connaît les conditions dans lesquelles nous sommes. Comment faite vous pour en savoir autant ! » Exigea-t-il

«  Pour votre identité, il y a des portrait de vous dans les livre d’histoire. » Inventa-t-il rapidement en espérant que Thorin n’irait pas vérifier ? « Je suis quelqu’un de cultivé. Quant à savoir pourquoi j’en sais autant, ce n’est pas quelque chose dont je veux divulguer ! »

 

« Vous me devez des réponses, je suis Roi ! » Tonna-t-il.

« Tu n’es pas mon roi Thorin Oakenshield, je ne vous dois rien ! » Répondit-il sur le même ton. « Nos affaires se terminent ici nous n’avons plus d’affaire à traiter et je dois partir. »

« Ne me manquez pas de respect ! Hurla-t-il en lui agrippant le bras.

« Et vous ne me toucher pas ! » Articula-t-il d’une voix mortellement basse.

« Ou sinon quoi Hobbit ? » Le défia le roi.

D’un geste habile, il tira une des aiguilles qu’il manipula avec une aisance surprenante pour le Hobbit qui n’avait jamais touché à celle-ci et l’arrêta à quelques centimètres du coup du nain.

« Il semble que j’aie trouvé comment les utiliser, Maitre nain. Maintenant lâcher, moi » ordonna-t-il.

Le nain le lâcha puis recula, la fléchette disparut aussi vite qu’elle n’était apparue, il se tourna vers les garçons qui avaient dégainé leur épée ce qui l’attrista beaucoup.

« Je suis navré les garçons que l’on doit se quitter ainsi. J'espère qu’un jour nous nous rêveront en amis.

Il tourna le talon et partit sans attendre de réponse.
Une fois, dehors, il détacha son poney et le guida en bordure de la ville avant de le monter. Il n’avança cependant pas longtemps avant de devoir s’arrêter pour la nuit. Il était toujours chamboulé comme il l’était à chaque fois qu’il avait une altercation virulente avec celui qu’il aimait. Il ne mangea pas grand-chose avant de s’emmitoufler dans ces couvertures épée a la main. Il ne tarda pas a s’endormir alors que ces pensées dérivaient vers Thorin. Le nain, c’était tenu si près de lui alors qu’il avait attrapé son bras. Il avait senti son odeur tellement familière et sécurisante, mais ses souvenirs refirent violemment surface. Il était près de son ami sur le plateau de glace son odeur musqué masquer par l’odeur métallique du sang quand la respiration du roi devenait de plus en plus laborieuse. Il pleurait le suppliant de ne pas partir, de ne pas l’abonner alors que Thorin s’excusait lui demandant de rentrer chez lui et de recommençai a faire toutes ces choses si futile à présent. Lire c’est livre, retourner a son fauteuille, a son jardin où il planterait un grand et magnifique chêne. Tout cela, il y renoncerait 100 fois pour le revoir en vie. Il avait gardé sa main dans celle de Thorin jusqu’à son dernier soupir et même après il ne l’avait pas lâché. Lorsque les autre était enfin arrivait il ne les avait à peine regarder, amis la souffrance que ces nains virent en lui les dissuadere de lui demander de le lâchez. Il s’étaient simplement mi eu aussi a pleurait la mort de leur roi, de leur chef, de leur ami. Bilbo avait fini par demander d’une voix nouée ou était Kili. Mais il avait regretté d’avoir posé la question lorsque Nori l’avait pris dans ses bras et coler sa tête a la sienne le lui annonçant. Son visage c’était alors totalement vidé plus rien ne l’a atteint, aucune parole, ou secousse. Il les avait perdus tous. Les garçons, ces garçons, ceux qu’il considérait comme ses propres neveux comme ses propres fils. Les garçons qu’il aimait tellement, il avait perdu son Un son Thorin celui qu’il aimait plus que tout au monde, sa moitié. La perte de leur âme sœur avait chez le Hobbit le même effet que les nains la tristesse sans fin et la perte de la joie de vivre. Lorsque le nain avait voulu déplacer son Un il avait refusé de le lâcher le serrant dans ses bras empêchant quiconque de le toucher. Ses amis avaient tout tenté pour lui faire lâcher prise, mais n’avait récolté que crise de larmes et rage pur face à ce qui voulait lui enlevait. Gandalf avait fini par l’assommer leur permettant de s’occuper du roi. Il s’était réveiller a coter de Gandalf que quelque temps après les yeux vide. Personne n’avait pu le faire approcher de la montagne jusqu’au jour de l’enterrement. Il avait vu les 3 corps allongé sur la pierre froide, il n’avait pas bougé du côté de la tombe de Thorin avant la fin de la céremoni, il n’avait pas pleuré, observant sans même le voir les corps de ces nains. Il était partit juste après alors que la fête en l’honneur du roi commençais. Il n’avait pas eu besoin de dire quoi que ce soit a ses amis, ils avaient compris et ne le jugeaient pas, il avait gagné leur respect, il avait gagné leur sincérent amitié. Il n’était plus jamais partit de chez lui après cela, ses amis ne lui en avait jamais voulu de ne pas leur rendre visite comprenait sa douleur, il lui rendait visite aussi souvent qu’il le pouvait lui rapportant des nouvelles du pays. Il ne pouvait sans doute pas espérer meilleurs amis. Le jour fini par se lever sans qu’il n’ait vraiment dormi. Il repris alors la route avec sa fidèle jument Mithril, et les jours s’étirèrent en semaine l’amenant peux a peux vers ces amis elfes.