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J'ai toujours voulu avoir un fils(i always wanted a son)

Chapter 2: Les règles du jeu

Summary:

William établit quelques règles de base pour Mike

Notes:

(See the end of the chapter for notes.)

Chapter Text

Ce qui faisait le plus mal dans toute cette situation, c'était que Vanessa était partie.

Parmi toutes les réalisations de William, sa fille était sa fierté et sa joie. C'était pour des raisons des différentes de celles que l'on pourrait supposer, bien sûr. Il dirigeait sa vie, même si elle n'était pas près de lui. Elle était à lui de contrôler, de l'utiliser, une extension de sa propre volonté. Alors de l'avoir se retourner contre lui, désobéissance et fuite... C'était la plus grande insulte qu'il aurait pu subir.

William la récupérerait, il en était sûr. Même si il devait la retrouver à l'autre bout du monde, il l'a trouverait. Et il la ramènerait à la maison, avec cette petite fille. Elle serait le cadeau d'excuse parfait.

Jusqu'à la, William avait un remplaçant.

La pensée de Mike, assis sur cette chaise, n'attendant rien d'autre que William, rendait l'homme pratiquement étourdi. Cela faisait un moment qu'il ne s'était pas laissé doucement. Il ne s'était pas offert une telle manipulation depuis sa dernière victime. Même alors, les petits ne duraient jamais longtemps. Et William a eu tellement de chance avec Mike, parce que personne ne le chercherait.

Aucune mère aimante l'attendant avec impatience, aucun père sévère se demandant où il était. Comme beaucoup d'autres de ses victimes, Mike était complètement seul. William se demandait souvent si c'était vraiment de sa faute si ces enfants continuaient à disparaître, ou si c'était là négligence de parents qui ne savaient pas mieux.

Eh bien, William supposait qu'il devrait être un parent à leur place.

Il ne pouvait s'empêcher d'en rire. Bien sûr, il considérait les animatroniques comme ses enfants, mais il n'avait jamais assumé ce rôle de manière aussi littéral auparavant. Mike n'était peut-être pas un enfant, mais William se souvenait encore de ce visage. Et voir les effets qu'il avait produits sur ce pauvre petit enfant de douze ans... Eh bien, c'était le plus beau cadeau qu'un père puisse demander.

Après le travail, William s'est assuré de passer chez lui et de récupérer les fournitures dont il aurait besoin. Mike était toujours blessé, et même si William ne se souciait pas particulièrement de son bien-être, cela aiderait les projets de William à long terme.

Il a également regarder la vidéo de hier soir. Il avait enregistré Mike depuis le réveil du garçon, pour s'assurer qu'il ne s'échappait pas. Heureusement, ce n'était pas le cas, mais il avait certainement essayé de le faire. Rien de tout cela n'a fonctionné, William avait retiré ce stupide verrou. Mais Mike a continué à essayer jusqu'à ce qu'il s'évanouisse.

La pizzeria était toujours aussi vide et William prit toutes les précautions nécessaires pour entrer sans être vu. Les enfants étaient actuellement pas sous son contrôle, ils le considéreraient donc probablement comme un intrus, mais ils connaissait son chemin à l'intérieur de son trophée. Il est entré dans l'arrière boutique en moins de cinq minutes.

Mike était toujours là, réveillé et sur la chaise. Ses cheveux étaient ébouriffés et sales, ses poignets étaient rougis. Il était magnifique, en désordre et secoué. William appréciait le regard qu'il recevait en entrant.

"Bon matin Michael!" Dit-il joyeusement, même s'il était déjà tard dans la soirée.

Mike regarda les fournitures avec une suspicion à peine dissimulée. Comme s'il s'agissait d'un serpent venimeux qui pourrait le mordre. William supposait qu'ils pourraient être utilisés pour causer du tort. Mais il était encore plus amusé par la méfiance du garçon.

"Putain, ne me touche pas!" L'enfant cria tandis que William atteint son bras.

"Eh bien... nous devons changer tes bandages un moment donné." William répondit, sans se laisser décourager par les tortillements, "Ou tu pourrais attraper une très mauvaise infection. Nous ne voulons pas ça, n'est-ce pas ? J'ai juste besoin de-"

"Je pense que je préférerais qu'il soit infecté." Mike répliqua, sa voix presque un grognement alors qu'il luttait contre les poignets métalliques de la chaise.

Même si les contraintes lui laissaient très peu de marge de manoeuvre, les secousses et les coups rendaient la tâche plus difficile à accomplir. Mike le savait, le gamin qu'il était.

"Michael." William attrapa le bras du garçon et le maintint, suffisamment fort pour le blesser. Les yeux de Mike, provocant et furieux, rencontrèrent les siens, et ils hésitait un instant. La peur les envahit.

William ne put s'empêcher de sourire à ça.

"Je n'ai jamais dit que c'était à toi de décider." Il prévient, un sourire narquois sur les lèvres, "Si tu essais de rendre les choses plus difficiles, je briserai ce bras en deux aussi."

La peur qui se répandit sur le visage de Mike était délicieuse William pouvait pratiquement voir la manière dont le garçon envisageait ses options. Les yeux de Mike se détournèrent finalement des siens, mais il s'arrêta.

"Bon choix, gamin." Il lâcha le bras.

"Je suis un adulte." Mike répliqua, mais resta immobile.

William ignora ostensiblement son commentaire et s'est mis au travail. Il sifflait pendant qu'il travaillait, le son aigu remplissent la pièce en béton d'une manière déformée et répercutée. Il fit semblant de ne pas remarquer les frissons de répulsion de Mike. William ne pouvait pas le blâmer, bien sûr. Ce sont ces mêmes mains qui ont été couvertes du sang de son frère à un moment donné. Il sourit au bon souvenir.

"Histoire drôle, j'ai appris à ma fille tout ce qu'elle savait." Il rompit le silence, passant à la lacération sur l'abdomen de Mike. "Elle aime dire qu'elle l'a appris au travail, mais en réalité, elle a dû me rafistoler plusieurs fois. Hé... La première fois étais sauvage. Garrett et toi aver visé la jambe!"

Il ne pouvait pas s'en empêcher, à quelle autre opportunité aurait-il une telle chance ? Pour piquer la mémoire déjà brutes, pour aggraver encore la douleur. Michael était une nouveauté et il comptait en profiter au maximum.

Mike n'a jamais déçu, "Ferme la-"

William laissa échapper un bruit désapprobateur, avant d'appuyer fort contre les nouveaux bandages sur l'abdomen de Mike. Le bruit que fesait le garçon était de la musique, les yeux se fermant alors que l'air quittait ses poumons. Pourtant, William continuait d'appuyer, jusqu'à ce qu'il voie les bras et les épaules de Michael trembler de douleur. Sa bouche s'ouvrait et se fermait avec des cris muets pour lesquels il ne trouvait pas d'air.

"Nous devons vraiment trouver un moyen de t'empêcher de jurer. C'est une très mauvaise habitude à prendre, mon ami." William lui dit en conversation. La seule réponse qu'il reçut fut un gémissement brisé.

Lorsqu'il le lâcha finalement, Mike haletant fort. Le garçon buvait avidement au grand air. Il se pencha en avant aussi loin qu'il le pouvait, comme s'il essayait de contourner sa blessure. Comme si ça allait arrêter William.

Inutile, mais William laisserait le gamin essayer.

Mike resta silencieux tandis que William commença sur sa jambe. Celle-ci était la plus vilaine des blessures, assez profonde. Mike a eu une chance incroyable que rien ne soit sectionné. C'était une blessure dont il pouvait se remettre.

Mettre les bandages ici était difficile, car il devait manoeuvrez la jambe de Mike hors de la chaise. William pensait que Mike pourrait lui donner un coup de pied, mais il semblait que les menaces du début avaient toujours un effet sur lui. William a terminé, content à propos de cette amélioration.

Quand il eu fini, William tira une chaise roulante, s'y assit à l'envers tout en faisant toujours face à Mike.

"Alors. Voilà le deal, gamin, nous allons d'abord établir quelques règles de base." Il dit en retroussent ses manches

Mike ne bougea pas, fixant toujours le mur derrière William, son visage étant un mur de pierre. William espérait certainement qu'il l'écoutait, c'était important.

"Pour commencer, pas besoin d'être aussi formel avec moi. Nous allons être une famille, donc pas de «Monsieur Afton» ou de «William». Appelle moi papa ou père ! Heh... n'importe quoi fonctionnerait".

Le visage de Michael était toujours immobile, sans réaction and hargneux. William attendit un moment, essayant d'étudier l'expression mais ne trouva rien. Il continua avec un soupir.

"Ou, tu sais «Monsieur» fera l'affaire à la rigueur". Il offra, avant de faire le tour de la pièce, "Règle numéro deux ! Tu ne quitte pas cette pièce jusqu'à ce que je te le dise. Jamais, et euh... Hé, ce n'est pas négociable. Tu ne pars pas".

Encore une fois, aucune réaction. Frustré, le sourire de William se ressera un peu.

"Numéro trois ! Pas de.... «crises de colère». Les gens ne peuvent pas t'attendre crier d'ici, crois-moi. Et j'essaierais de garder n'importe quel.... explosions de colère ? Au minimum si j'étais toi. Juste un conseil."

A cela, il se pencha en avant et poussa Michael de manière ludique. Pourtant, Michael restait fixé au mur.

"Numéro quatre !" Anxieux, William se leva et commença à faire les cent pas devant Mike tout en se pointant, "Je suis le «Papa» ici alors je vais prendre soin de toi ! Je vais te chercher la nourriture, de l'eau, m'assurer que tu va bien ! Tout ce dont tu a besoin, je peux l'obtenir ! Tu viens me voir pour ça !"

William s'arrêta juste devant l'endroit où Mike regardait. Lorsqu'il croisa le regarda de l'autre, Mike détourna fermement le regard, vers une autre section du mur de béton. Son visage resta le même.

"Et enfin, tu n'est plus Mike Schmidt. Tu est Michael Afton. Ta soeur est Vanessa Afton,qui... Explore ses options en se moment. Je suis... un gars un peu sentimentale mais je peux la laisser partir un peu et... me concentré sur mon fils pour un moment. Et c'est tout ! Plutôt facile, non ?"

William attrapa la chaise et se rassit, regardant fixement intensément le visage de Mike. Le gamin était bon, il devait l'admettre. Mais il avait une légère crispation de la mâchoire, un clignement bien trop court et une main qui se crispa autour de l'accoudoir de la chaise en métal. Il réfléchissait. Alors William attendit.

"Et si je refuse ?"

Mike regarda finalement William, et toute l'attente en valait la peine. Il avait du feu là, un défi. Une attitude déterminée que William souhaitait si désespérément voir progressivement étouffer. Surtout, il y avait une colère, mais pas le feu de joie de la rage sauvage que William avait vu auparavant, mais une fureur calme et contrôlée. Celui qui menaçait de brûler William de fond en comble.

Il garda ce regard intense pendant un long moment, en savourant chaque seconde.

"Eh bien...Mike. C'est une question très stupide." Il dit enfin, honnêtement, "Il y a...beaucoup de choses que je veux te faire. Genre... beaucoup? Le meurtre est sur cette liste, mais il y a beaucoup de choses que je peux faire qui ne te tueront pas! Je pourrais te casser les deux jambes, te paralyser pour que tu ne marche plus jamais. Je pourrais te regarder mourir de faim pendant des semaines. Je pourrais... hé, je pourrais te montrer le crâne de ton frère!"

Celui-là a finalement suscité une réaction. Le moindre souspcon de peur et de révolution se dessina sur le visage du gamin. William sourit, il était là. Enfin.

'Je peux faire beaucoup de choses Michael, je suis une personne... très créative." Il se pencha plus près du garçon, "Ne me donne pas d'excuse pour faire ce que j'aime. Je le promets... Tu trouveras cela extrêmement douloureux. Tu me comprends, Michael ?"

Mike détourna a nouveau le regard, faisant de son mieux pour remettre son masque tombant. Il hocha la tête, essayant de sauver un peu de sa dignité. Mais William ne voulait pas de ça.

"Non non non." Il tapota son oreille, toujours souriant, "J'ai besoin de l'entendre."

"...Oui" marmonna Mike, presque inaudible.

Le sourire narquois de William s'élargit, il avais mis un pied dans la porte.

"Oui... Qui?"

La réalisation et le d'égout apparurent sur le visage du garçon pendant une seconde avant qu'il ne se ressaisisse.

"Oui, Monsieur." Mike a craché le mot comme si c'était du poison.

Eh bien, c'était un début.

"Bon choix mon enfant..."

Notes:

Désolé pour la grosse absence je vais me rattraper/sorry for the big absence i will make up for it

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